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Roy Di Brodia

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Roy Di Brodia

Lion Flamboyant
Lion Flamboyant

Roy Di Brodia
Fiches du joueur :
Roy Di Brodia 13060703354916241211269335 Roy Di Brodia 13060703354916241211269334

Niveau : 30
HP : 7700/7700
MP : 185/185

Tableau d'évolution
MessageSujet: Roy Di Brodia Roy Di Brodia EmptyLun 23 Jan - 20:48

Fiche d'identité

• Monde d'origine: Héra
• Nom: Brodia
• Prénom: Roy
• Âge: 25
• Avatar utilisé: Diamant de Fire Emblem Engage

Description

RoyAu premier abord, Roy peut sembler imposant et même intimidant. Grand et à la musculature bien dessinée, il a tout de l’allure d’un général des armées d’Alexandrie – bien qu’il n’ait jamais atteint ce grade. Sa famille est riche propriétaire d’un large domaine agricole et il a passé une grande partie de son enfance dans les champs à s’entraîner à l’épée avec son jeune frère Alfred qui n’était malheureusement pas aussi doué que lui dans ce domaine. Le jeune garçon timide et réservé préfère rester loin de tout combat et préfère la lecture et l’art à toute forme d’entraînement physique. C’est probablement cette vie aux champs qui a donné cette apparence si robuste à l’aîné et cette peau brune comme dorée par le soleil. Ses cheveux sont bruns et ses yeux d’une couleur caramel, très bel homme, il a toujours eu beaucoup de succès auprès de la gente féminine bien qu’il n’en ait jamais profité.

En effet, Roy est un homme honnête et intègre, s’il sait profiter de la vie en savourant chaque jour qui passe, il est sérieux et respectueux de chacun, que ce soit de ses supérieurs comme de ses subordonnés et il a toujours su être apprécié de tous. C’est l’une des raisons pour lesquelles son jeune frère se sent mal dans sa peau malgré lui, le jeune homme développe un perpétuel complexe d’infériorité vis-à-vis de son aîné qu’il estime parfait en tout point. Il est difficile en effet de faire le moindre reproche à l’ancien Commandant Brutos, bien que son envie de protéger les autres aille parfois trop loin, il peut devenir agaçant à couver tout à chacun et se mettre en danger pour pas grand-chose également.

La plupart du temps, c’est donc un homme simple malgré ses origines de noblesse, toujours à l’écoute des autres et sans grande histoire. Il a bien eu quelques aventures mais son père lui cherche un bon parti pour le mariage et espère qu’il finira par reprendre le domaine familial. Ce n’est pas vraiment dans les ambitions de Roy qui espère que son jeune frère, plus doué dans les études, prendra cette relève. Il l’y encourage régulièrement même si le jeune Alfred persiste à ne pas se sentir à la hauteur.

Le jeune homme a deux phobies, la première depuis tout petit, une sainte horreur des chenilles velues ! N’allez pas lui demander pourquoi, il n’a jamais su pourquoi ces bestioles le mettaient dans tous ses états. Autant dire qu’il n’hésiterait pas à massacrer les pauvres bêtes à coup d’épée s’il venait à en croiser une.
La seconde est venue bien plus tard. Alors qu’il était commandant Brutos, on le surnommait le Lion Flamboyant pour sa maîtrise hors du commun du feu. Ses attaques rapides et fluides rappelaient les flammes dansantes et il était même capable d’user de techniques élémentaires sans avoir à faire appel à un mage noir. Malheureusement, lors de l’attaque de Bahamut sur Alexandrie, il fut gravement brûlé, manquant de peu de mourir dans les flammes, il a développé depuis ce jour une phobie du feu et ne peut plus utiliser cet élément.  


Histoire

La famille Brodia est l’une des plus anciennes familles de nobles d’Alexandrie. L’un des ancêtres avait un lien de parenté avec le Roi d’Alexandrie en personne et même si au fil des décennies, ce lien de parenté a disparu, elle est restée l’une des familles les plus influentes avec l’un des plus grands domaines agricoles de la région. Ils ont notamment le monopole du thé, produit de luxe très prisé qui fait leur fierté, mais ils disposent également de champs de blé, légumes et d’un élevage de bovins et volaille pour la production de viande, lait et œufs. Autant dire que le jeune Roy ne manquait de rien pendant toute son enfance.
Dès son plus jeune âge, il se montrait particulièrement sage et obéissant, suivant les cours de son précepteur sans broncher, bien que peu motivé par les études trop poussées – lire, écrire et compter lui semblaient être les seules connaissances nécessaires à ses yeux. Suivant son père à Alexandrie chaque fois qu’il fallait y livrer des marchandises ou faire le marché, il admirait avec des yeux brillants les soldats qui arpentaient les rues et ne pouvait voir d’autre vie que celle de soldat. Habile de ses mains, il se sculpta sa première épée de bois à 5 ans et s’entraînait sur l’épouvantail d’un des champs, il brisa le premier à l’âge de 7 ans – provoquant un mélange de colère et d’admiration de la part de son père. Quand il eut 8 ans, un petit frère vint agrandit la famille, du nom d’Alfred, il était petit et chétif, mais Roy se promit de toujours le protéger.

Cette promesse n’allait pas forcément être positive pour le petit frère qui fut couvé à outrance. Le gamin ne pouvait pas faire un pas sans que son frère ne soit aux aguets pour l’empêcher de tomber ou de se faire la moindre égratignure. Le petit développa alors une certaine crainte de tout, se jugeant incapable de réussir quoi que ce soit par lui-même. Il se réfugiait alors dans les livres, seul loisir qui semblait sans danger aux yeux de son grand frère. À l’inverse, celui-ci ne cessait de grandir et de prendre du muscle. Leur père comprit vite qu’il ne pouvait pas s’opposer aux ambitions de son aîné, il jugeait cependant que les carrières militaires n’étaient jamais très longues et que tôt ou tard, il pourrait reprendre le domaine une fois à la retraite. Cette idée n’enchantait pas du tout Roy qui espérait plutôt que le jeune Alfred se mettrait en tête de s’en occuper.

À quinze ans, il intégra donc l’école militaire. Sa gentillesse et son honnêteté ne l’aida pas vraiment à grimper les échelons au début, les autres avaient tendance à prendre du grade avant lui car il n’aimait pas se mettre en avant et sa tendance à vouloir protéger tout le monde faisait qu’il se blessait plus souvent que les autres. Mais sa stature, son endurance et ses capacités le rendaient bien assez résistant pour ne jamais être blessé trop gravement.

Chaque fois qu’il rentrait chez lui, son frère restait avec lui pour assister à son entraînement. Il aimait le regarder manier l’épée comme personne, aussi facilement que s’il maniait une brindille, et un jour, il lui parla des techniques élémentaires. Au début, il avait pensé à la terre, après tout, ils venaient d’une famille d’agriculteur et il supposait que Roy serait plus à l’aise avec cet élément. Il avait lu de nombreux ouvrages sur la question, en temps normal, ce genre de pratique n’était accessible que dans des conditions très particulières et le jeune garçon était presque sûr qu’il serait impossible à qui que ce soit ne disposant pas de dons de magie, de réussir à user de ce type de techniques. Malgré les tentatives, ils ne parvinrent pas à trouver un moyen d’user de magie en combat. C’est alors que le garçon trouva d’autres procédés, en enduisant l’arme de son frère de produits spécifiques et en usant du frottement de l’air et d’étincelles générées par quelques chocs, ils parvinrent à créer des techniques de feu.  

À partir de là, la carrière militaire de Roy grimpa en flèche ! Peu de soldats étaient en mesure d’utiliser les éléments, il semblait suivre les traces de la Grande Beate, la Générale aux capacités extraordinaires et à l’âge de 20 ans, il devint commandant de sa propre équipe de Brutos. En soit, il ne cherchait pas vraiment la gloire, ni à atteindre le grade de général, il était donc déjà particulièrement fier d’en être arrivé là et il prenait donc grand soin de son unité. Un peu trop comme souvent, restant toujours en première ligne pour combattre, si ses hommes l’admiraient pour sa force et sa détermination, ils se sentaient parfois un peu frustrés de ne pas pouvoir faire leur preuve tant leur commandant les couvait à outrance.

Alfred continuait de se renfermer sur lui-même, ne quittant sa chambre que lorsque Roy revenait à la maison. Il vouait une admiration sans faille pour son aîné, celui-ci essayait tant bien que mal de le faire sortir et de l’intéresser à la gestion du domaine, espérant toujours qu’il pourrait reprendre le flambeau à sa place. Mais difficile tant le jeune garçon avait une mauvaise opinion de lui-même. Heureusement, leur père était d’une patience incroyable avec son jeune fils, l’encourageant à chaque fois qu’il faisait quelque chose de bien et lui rappelant sans cesse que si son frère se faisait appeler le Lion Flamboyant, c’était grace à lui, à ses efforts pour lui avoir permis de développer ces techniques de feu. Mais rien n’y faisait, Alfred se voyait toujours comme un moins que rien.

L’escouade de Roy fut désignée pour protéger la ville d’Alexandrie lorsque l’alerte se déclencha. Il était le premier sur place lorsque les premières flammes commencèrent à lécher les maisons. Des mages noirs étaient présents un peu partout et il mettait un point d’honneur à les pourfendre de son épée. Les flammes ne lui faisaient pas peur, son armure était protégée – grace à un traitement spécial inventé par son frère – aussi, avec témérité et détermination, il courait dans les rues de la ville pour porter secours à chaque personne sur son chemin. Ses hommes étaient déployés, il ne pouvait pas tout faire tout seul de toute manière, mais le résultat fut qu’il n’y avait aucun de ses hommes avec lui lorsqu’il entendit un cri venant d’une maison à proximité. Il vit une femme à la fenêtre avec quelque chose dans les mains, sans réfléchir, il fonça dans la maison et l’aida à sortir avec son bébé… il y eut un bruit assourdissant, il eut juste le temps de pousser la femme dehors avant qu’une partie de la poutre principale ne lui tombe dessus.

À partir de là, c’était comme s’il était devenu sourd. Le trou noir. Quand il ouvrit les yeux, il ne réalisait pas tout de suite ce qu’il se passait. Un mélange d’obscurité, de rouge et de orange. La chaleur ne se faisait pas sentir au premier abord, mais au fil des secondes, une douleur commença à lui transpercer le dos. Reprenant ses esprits, il lui fallut encore plusieurs minutes pour voir que des personnes d’affairaient autour de lui pour essayer de le dégager. Une poutre enflammée lui était tombée sur le dos, et même si elle disposait d’une couche de protection, cela ne pouvait pas le protéger totalement d’un tel incendie. La plaque de son dos commençait à fondre sous l’effet de la chaleur, se collant à sa peau et lui provoquant une douleur qui devenait insupportable. Lorsqu’il eut reprit totalement connaissance, il se mit à hurler tant il souffrait de la chaleur et du métal qui s’incrustait dans sa peau. Les gens autour de lui prirent peur en le voyant ainsi, comme fou à tenter de ramper pour se dégager par lui-même. Lorsqu’enfin il fut extirpé, plusieurs mages blancs tentèrent de le calmer et ils durent l’endormir avec un sortilège pour pouvoir le soigner.

Il passa plusieurs jours dans le coma, son dos avait des brûlures dont les cicatrices ne partiraient jamais et quand il se réveilla, les souvenirs des flammes et de la douleur restèrent profondément ancrés en lui. Les images de cette soirée le hantaient, il se souvenait qu’avant d’entrer dans cette maison, il avait vu un immense dragon dans le ciel qui avait craché des flammes sur toute la ville. Il apprit plus tard qu’il s’agissait de la chimère Bahamut qui avait affronté Alexandre avant de disparaître à l’aide d’un œil géant dans le ciel.
Il fut difficile de reprendre une vie normale après ça. La Reine Grenat avait tout perdu, sa mère avait déjà été tuée peu avant et maintenant, la ville entière n’était que ruine. Malgré tout, Roy reprit son rôle de Capitaine des Brutos pour assurer la sécurité de la ville et aider à la reconstruction, mais il se rendit compte être mal à l’aise en présence d’un simple feu de bois, et il se tétanisait dès lors que l’intensité du feu grandissait un peu trop. Autant dire qu’il ne lui était plus possible de faire usage de la moindre technique de feu après ça. Mais il restait tout de même un soldat hors pair et en dehors de cette nouvelle phobie, il était petit à petit redevenu lui-même.  Les champs de sa famille n’avaient pas été touchés par les attaques aussi ils aidèrent les habitants les plus démunis en fournissant gratuitement les denrées de première nécessité – ils avaient toujours les nobles de Tréno et de Lindblum pour leur acheter du thé de luxe aussi ils pouvaient se permettre un peu de bénévolat !

Lors des soirées en ville avec ses hommes, il écoutait les rumeurs sur ce qu’il se passait autour d’eux, la disparition de la brume et les chimères. On racontait que la Reine Grenat di Alexandros pouvait les invoquer afin qu’elles lui viennent en aide, mais pourquoi alors Bahamut avait-il attaqué ? Il semblait contrôlé par quelqu’un d’autre, mais comment une chimère d’une telle puissance peut se laisser manipuler par qui que ce soit ? Ces questions l’intriguaient, il n’était pas du genre à réfléchir d’habitude, il avait essayé d’en parler à son frère, mais les livres sur les chimères étaient très rares, selon lui, seul un peuple disposant d’une corne sur le front pouvait normalement les invoquer, c’est tout ce qu’il avait pu trouver, mais la Reine n’ayant pas de corne, il supposait que même ce livre n’était pas fiable… le mystère resta entier, et le commandant ne parvint pas à trouver le fin mot de l’histoire.

Après le retour de la Reine sur le trône, il refusa une promotion, préférant rester avec son unité et n’ayant pas vraiment envie de se retrouver au sein d’une guerre impitoyable comme ce fut le cas lors de l’attaque de Bahamut. C’est alors qu’il y eut un grand bouleversement dans le monde, les terres et les océans s’étendirent, de nouveaux continents apparurent et les magikolithes perdirent tout leur pouvoir. À la place, d’étranges gemmes commencèrent à être extraites des mines, elles étaient terriblement rares auparavant, mais maintenant elles devenaient faciles à trouver dans toutes les forges du coin. Tout le monde sembla perdre ses forces, Roy avait l’impression de devoir tout recommencer à zéro, et il retourna donc dans sa famille quelques temps. Alfred n’avait pas eu de grand changement de son côté, n’ayant jamais été très combatif, il fut surtout très curieux de mieux connaître ces autres mondes et espérait pouvoir se faire livrer des livres d’un peu partout.

Les nouvelles de l’attaque de Dali lui parvinrent, il se sentit coupable d’être soulagé de ne pas avoir été là bas pour ne pas s’être retrouvé dans les flammes qui avaient ravagé la ville, ce qui lui laissa penser, petit à petit, qu’il n’était peut être plus vraiment fait pour être soldat. Il se rendit à Tréno avec son père, la ville se développait et ils avaient besoin de conseil en matière d’agriculture et de commerce. Sa famille les aida pour leur fournir des graines de toutes sortes et il proposa même quelques bêtes pour leur permettre de démarrer des élevages. Roy resta quelques temps en ville, jusqu’à ce qu’une fête se prépare là bas. Autant rester jusque là au moins.

La Reine était présente à la fête, plusieurs de ses hommes étaient venus aussi et il tomba sur l’un d’eux dans une taverne. Alors qu’ils buvaient ensembles, celui-ci lui annonça à voix très basse pour ne pas être entendu, avoir rencontré Ramuh, la chimère de la foudre. Il montra à son commandant un orbe doré qui semblait lancer des éclairs, le jeune homme n’y toucha pas, mais écoutait avec attention le récit de son subordonné. Ainsi, il était possible de rencontrer les chimères, et même de leur parler ? Il l’interrogea alors sur Bahamut, s’il était possible de le trouver également et d’avoir un orbe, mais le soldat l’ignorait, Ramuh ne semblait pas lui avoir dit quelles étaient les autres chimères qui se cachaient encore dans ce nouveau monde.

Ce jour-là, Roy démissionna de son poste de Commandant. Il rejoignit son père à la fête et lui expliqua qu’il comptait partir de Héra quelques temps, qu’il avait besoin de se trouver une nouvelle voie mais qu’il ne se sentait pas prêt à reprendre le domaine familial. Son père en fut chagriné, mais il avait toujours été ouvert et compréhensif envers ses enfants, il accepta donc sans trop rechigner, et ils profitèrent ensembles de la fin de la fête de Tréno. Roy irait surement voir sa mère et son frère avant de quitter Héra de toute manière, il ne comptait pas partir comme un voleur.


Et pour finir...

Quelques questions vous concernant:
• Votre vrai prénom dans la vraie vie? Alix
• Votre âge? 40 ans (gloups)
• Comment avez-vous connu FF Rebirth? c'est une longue histoire d'amour ^^
• Avez-vous lu toutes les règles? Y a t'il des choses que vous n'avez pas comprises? vaut mieux je crois Smile
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Void

Admin du Néant
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Niveau : 1
HP : 1/1
MP : 1/1

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MessageSujet: Re: Roy Di Brodia Roy Di Brodia EmptyLun 30 Jan - 10:59

Salut! Salut!

Désolé pour l'attente!
Bonne nouvelle : j'ai tout lu et il me semble qu'il n'y a aucun problème avec ta fiche! 
Steiner sera triste d'avoir perdu un bon subordonné, mais tant pis :p 

Tu pourras sous peu commencer tes aventures si tu as l'aval d'au moins un autre modérateur (soit d'ici la fin de la semaine normalement).

Un conseil cependant : ne parle pas tout de suite de la fin du festival dans ton RP si ton personnage y est resté jusqu'au bout. Il y aura un petit quelque chose à prendre en compte lors de la conclusion qu'il serait dommage que ce cher Roy ait loupé Wink ...
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Admin Impartial
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Karma
Niveau : 666
HP : 666
MP : 666

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MessageSujet: Re: Roy Di Brodia Roy Di Brodia EmptyDim 5 Fév - 13:10

Bonjour,

Sans grandes surprise ton personnage est validé, tu peux envoyé si ce n'est déjà fait les statistiques, ainsi que les autres informations et détails de la fiche de combat à l'un des modérateur mais tu connais déjà bien la chanson.

Tu peux renseigner la date de l'anniversaire du personnage ici.
Et faire une demande de titre etc ici.

en attendant de démarrer un rp tu peux poster dans l'évent puisque c'est en rapport direct avec la fin de ta présentation.
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MessageSujet: Re: Roy Di Brodia Roy Di Brodia Empty

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