Dédale de là ! (Yuffie / Ringu)

Un monde aux teintes rouges apparut tout autour de Yuffie quand elle ouvrit les yeux. Un rapide tour sur elle même et elle remarqua une tour énorme lui faisant face mais elle baissa à nouveau les yeux sur ses pieds pour remarquer qu'elle sentait parfaitement bien le sol où elle fit même deux petits bonds.
« Où je suis ? »

Aucun souvenir de ce qu'elle faisait juste avant... Elle refit un tour des lieux avec les yeux mais rien ne lui suggérait ce qu'elle pouvait faire ou ce qu'elle faisait désormais ici. Elle se pinça les joues et ressentit parfaitement la douleur. « Je rêve même pas ?! C'est quoi ce truc ? »

La tour était la seule destination possible face à elle mais une autre personne n'était pas trop loin et l'avait peut être entendu parler toute seule. Était-ce quelqu'un d'ici ? Non, peu importe qui c'était, il aurait été dans la tour et pas devant s'il avait pu lui répondre.

Enfin, Yuffie leva la tête un peu comme si elle cherchait une issue de secours mais rien ne l'aiderait à trouver comment partir de là si ce n'était s'avancer et voir ce qu'elle trouverait dans ce bâtiment.

Comme elle n'était pas seule, elle fit quelques pas en direction de la personne non loin et posa tout de même la question qui avait le plus d'importance pour elle – ce n'était rien le concernant évidemment. « Salut ! Tu sais où on est ? »

Si encore, elle se souvenait de ce qu'elle avait fait avant de se réveiller ici... Elle ne pouvait pas voir bu en sachant qu'elle ne tenait absolument pas l'alcool et Gippel n'aurait pas osé faire un coup comme ça non plus. D'ailleurs, il était où lui ? Autour d'elle, il n'y avait personne à part celui à qui elle venait de s'adresser.

Trop réfléchir lui donnait la migraine ! Autant avancer et voir s'il y avait quelque chose à tirer de cette tour. Après tout, l'appât du gain restait une motivation comme une autre d'avancer mais elle aurait aimé savoir si tout ceci n'était qu'une hallucination avant de s'y aventurer.

Après quelques pas, elle se retourna pour voir à quoi ressemblait le visage de la seule personne présente dans les lieux et finit tout de même par se présenter vu qu'elle supposait qu'il l'accompagnerait... Il n'y avait pas d'autre chemin que la porte de cette tour de toutes façons.
« Moi c'est Yuffie et toi ? » Elle diminua la distance avec la tour d'un bon mètre encore une fois et retourna la tête. « Tu comptes attendre ici ? »

Note : Je prendrais de l'expérience à l'issue de la tour afin de réduire l'écart entre mon personnage et Gippel. Merci ! ^^

Le ciel au manteau de rouge et d’obscurité fouettait par de grands éclats colériques la terre meurtrie dont les plaintes demeuraient sans réponse. Il grondait, vociférait, hurlait en déchainant un vent puissant dont la poussière emplissait les narines et brulait la gorge. La terre, saignante et carbonisée par ce traitement vindicatif, semblable à une viande que l’on aurait laissée trop longtemps sur le grill, avait tant pleuré qu’elle en était lézardée de toutes parts. Elle dardait d’épaisses roches en forme de pieux vers le bourreau qui ne cessaient jamais de reprendre ses assauts, éblouissant l’espace d’un instant les ténèbres de cette nuit éternelle. Il y avait une tour sur cette terre désolée. Non, plutôt une caricature de tour tant l’ensemble grotesque se contorsionnait en tous sens, défiant les lois de la physique et éclairant d’une lumière chaleureuse des alentours qui ne l’étaient clairement pas.

Le détective, au long manteau rouge, teinté ci-et-là par les grains de poussière qui s’infiltraient dans sa tenue et fouettait sa peau, avait machinalement pris la direction de la seule lumière visible sur plusieurs centaines de mètres. Au fur et à mesure de sa progression, la tempête semblait se calmer et un silence, peut-être dérangeant, s’installa alors. Il maudissait intérieurement sa maladresse qui l’avait poussé à chuter dans cet étrange endroit. Néanmoins, la maladresse seule ne saurait expliquer l’ouverture de ce portail juste sous ses pieds. Il s’agissait indubitablement d’un sort qu’il n’avait jamais vu, mais d’un sort qui le ciblait très probablement. Car s’il pouvait effectivement s’agir d’un hasard de prime abord, il n’y avait aucune raison logique qu’une faille… Spatio-temporelle ? s’ouvre un plein milieu de nulle part et juste sous ses pieds.

Cogité ainsi lui permit de traverser la tempête sans trop s’attarder sur la pénibilité de celle-ci. Lorsqu’il se trouva à quelques mètres de l’entrée de l’édifice, il constata que le vent s’était levé. Un nouveau portail s’ouvrit non loin de lui et il put constater l’arrivée d’une personne. Au moins, il se dit qu’ils étaient deux humains dans cette situation. Au vu de son comportement, la demoiselle n’était clairement pas au fait de la raison qui les avait conduits ici. Elle observa les alentours d’un air béat, si bien que le détective se permit de regarder de nouveau l’édifice. La porte se trouvait face à lui. Il se demandait cependant s’il devait suivre le jeu de ceux qui l’attendaient en ces lieux. Il fut sorti de sa rêverie par la seule âme qui vive dans les environs. Son tempérament jovial laissait deviner une certaine jeunesse. Il regarda les alentours comme pour chercher une réponse pertinente, mais il ne trouva pas grand-chose à répondre qui ne soit évident.

« Je crains que non. Je ne connais pas ce… Désert. Je n’ai jamais rien vu de tel auparavant. »

Il ne lui semblait pas qu’il s’agissait de celui de Corel. Ce climat et la teinte de ce ciel semblaient surnaturels. Il avait déjà vu un phénomène similaire à Tréno, là où le soleil ne se lève jamais. Néanmoins, il ignorait encore ne serait-ce que le monde où un tel lieu pouvait résider. Spira peut-être ? A moins que Dol ne convienne davantage ? Impossible à savoir en l’état. Même le croissant de la lune dans le ciel sans étoile ne saurait l’éclairer davantage sur sa position géographique. La jeune femme le sortit à nouveau de ses pensées en se présentant.

« Yuffie ? »

Il écarquilla un instant les yeux, puis les plissa, reconnaissant, bien entendu, l’origine que pouvait avoir un tel patronyme.

« Tu peux m’appeler Ringu. »

Il mit ses mains dans les poches de son manteau et commença à marcher vers la porte.

« Et toi, as-tu une idée de ce qui a pu nous faire atterrir ici ? As-tu en tête une personne qui pourrait user d’une telle magie pour nous transporter en ce lieu ? »

Les questions étaient multiples dans sa tête. Cependant, il devait y avoir un lien logique, une corrélation à sa venue, concomitante à celle de cette jeune femme. Les deux venaient probablement du même village, cependant, il était possible que certains lieux des autres mondes possèdent des prénoms et un style vestimentaire proche de celui du village qui l’avait vu naître.

« Je cherche un point commun pouvant expliquer notre présence ici. Es-tu, toi aussi, du village du Wutaï ? »

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C'est noté! Pour ma part, je prendrai le doux et délicieux argent claquant et trébuchant!

Dédale de là ! (Yuffie / Ringu) Ringu_10

Deux personnes arrivant au même endroit sans la moindre raison ne pourrait pas être une coïncidence mais ça n'avait jamais été le fort de Yuffie que de réfléchir et résoudre des énigmes si bien qu'elle préférait laisser les questions pour les autres et attendre les réponses.

Malheureusement pour elle, la seule autre personne autour d'elle n'avait pas la moindre solution à ce problème et semblait tout aussi perdu qu'elle. Quoi qu'il en était, il serait bien d'avancer parce que ce n'était pas en restant planté là qu'ils trouveront quoi que ce soit. Aussi, la princesse du Wutai se présenta pour obtenir un nom à minima et pouvoir savoir comment appeler celui qui l'accompagnerait dans cette forteresse.

« Ok Ringu ! On y va ? »
Mais il avait une autre question à lui soumettre avant d'avancer, cherchant lui aussi à avoir le maximum de pistes à exploiter pour trouver qui aurait pu les envoyer là.
« Parce que tu penses qu'une personne nous a volontairement amené ici ? » S'il cherchait une réponse, ce n'était pas celle à sa question qu'elle venait de donner mais se reprit assez vite. « Sinon, non... J'imagine que ça doit être un type puissant pour réussir à nous déplacer comme ça sans qu'on s'en rende compte. » D'où le pourquoi elle s'imaginait plutôt avoir touché ou mis le pied quelque part où elle ne le devait pas mais elle ne parlerait certes pas de sa maladresse.

Expliquant alors ce qu'il recherchait, il analysait tout ce qui pourrait les associer pour comprendre quel point commun aurait pu intéresser quiconque les aurait regroupé ici. Il fit un lien qu'elle ne tarda pas à faire elle même en parlant de leur village natal. « Wutai ? Tu viens aussi de Wutai ? Tu dois me connaître alors !! Je suis la fille du chef. »

Qui pourrait venir de Wutai sans connaître Yuffie Kisaragi ? Oui, peut être une personne qui était née avant elle et parti avant la guerre ? Ou, plus logique, une personne qui serait né après la guerre ? Mais ce type n'avait pas l'air d'avoir dix ans donc la première solution serait plus logique... Ou alors il cachait bien son jeu.

S'il cherchait un point commun, Yuffie ne voyait pas trop qui pourrait avoir fait ça mais si elle pensait à de la magie, elle penserait à Héra bien évidemment et c'était justement le monde où elle se trouvait si bien qu'elle posa à son tour une question. « Et tu venais d'où toi ? Moi j'étais sur Héra. C'est un monde bien plus magique que celui d'où on vient. » En prenant pour acquis qu'il venait effectivement de Wutai.

Maintenant, il n'était pas évident de se faire une idée du monde où elle pourrait se trouver en regardant ce qui lui faisait face et le décor les entourant. Elle n'avait jamais rien vu de tel et c'était bien pourquoi elle s'était imaginée être arrivée dans un rêve en premier lieu... En y pensant maintenant, elle se disait qu'elle était peut être dans une dimension parallèle ? Pour un esprit logique, ça ne serait pas possible mais toutes les pistes seraient bonnes à exploiter.

Il suffisait de voir qu'elle avait toutes ses possessions sur elle pour comprendre que ce n'était pas un rêve et qu'elle pourrait peut être se remplir les poches ici. Il s'agissait d'un château et il devait forcément y avoir un maître des lieux d'où sa proposition suivante. « Celui qui nous a amené ici doit être dans le château. Autant aller directement lui demander. » Fit-elle donc pour pousser son partenaire à se mettre en route. De toutes façons, ce n'était pas comme s'ils avaient autre chose à faire dehors à en juger par le vide les entourant...

Le détective comprit bien vite qu’il avait affaire à une personne jeune. Son tempérament était d’ailleurs surprenant pour une personne venant de sa ville natale. Elle était très communicative, montrant avec aisance ses émotions. Elle était joviale et pleine de vie, là où les années d’expériences de Ringu l’avaient rendu taciturne et, dans une certaine mesure, aigri. Elle ne semblait pas inquiète de la situation, mais la prenait comme elle venait et se lançait à l’assaut de ce nouveau défi. Son entrain pouvait faire plaisir à voir, mais il pouvait jouer contre elle.

Il choisit de lui faire part de sa réflexion sur l’auteur de leur kidnapping.

« Une magie de ce type est peu commune et je doute que des portails s’ouvrent présentement partout dans le monde, de façon aléatoire, sans que le phénomène ne soit connu du grand public. Il doit s’agir d’une magie qui nous ciblait plus ou moins précisément. »

Mais avait-elle atteint sa cible ? Après tout, il était en groupe lorsque ce phénomène s’était produit. Mélody était peut-être la personne initialement visée. Ce n’était pas impossible, la jeune femme n’ayant pas en tête le nom d’un potentiel ennemi. Néanmoins, elle était du Wutaï et cela leur faisait tout de même un sacré point commun. Il écarquilla les yeux lorsqu’il entendit qu’elle était la fille du chef. Il recula même d’un pas sans s’en rendre compte, puis se reprit. Ses sourcils se froncèrent légèrement et il ne manqua pas de paraître plus sérieux qu’il ne l’était déjà.

« La fille du chef ?!... Hum, s’agit-il toujours de Godo Kisaragi ? »

Peut-être que le chef du village avait changé depuis peu ? Cela faisait quelques temps maintenant qu’il n’avait plus le moindre contact avec le village. Il lui semblait difficile de croire que cette jeune pousse sans discipline et sans gêne soit la fille du grand Godo.

Basculant sa tête en arrière, il réfléchit au temps écoulé depuis sa fuite du village. Cela faisait de nombreuses années. Il avait une trentaine d’années à présent. Cela faisait plus d’une douzaine d’années qu’il avait quitté le village... Quatorze ans. Il avait entendu parlé de la naissance de l’enfant de Godo, mais il devait bien admettre qu’il ne se souvenait plus qu’il s’agissait d’une jeune femme. Ses yeux redescendirent lentement sur la demoiselle.

« Godo a donc eu une fille… Et ce serait toi ? »

Il chercha des points communs, mais constata rapidement l'écart entre le comportement de cette Yuffie et de son paternelle. Il posa sa main sur son front, fermant les yeux et sourit de toutes ses dents, puis laissa carrément éclater son rire.

« J’imagine mal ce vieux bouc coincé avoir une fille aussi débridée que toi ! Lui et ses sermons perpétuels sur l’honneur ! »

Il en eut presque la larme à l’œil. S’il était assuré qu’elle était du village, il doutait clairement de son affirmation. Pour qui se croyait-elle celle-là ? Essayait-elle de lui faire passer un test ?

Le sujet de la discussion finit par changer, le détective reprenant peu à peu sa contenance.

« Je venais d’Héra également. Le phénomène serait donc localisé sur ce continent ? »

Il acquiesça quand la jeune femme proposa d’entrer et il la suivit, franchissant les deux immenses portes qui gardaient l’entrée de cette tour lugubre.

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'Dé Salle' :
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Étage 1

La première salle de cette tour improbable est un immense hall aux dimensions impossibles, d'une taille et d'une surface aussi grandes qu'inutiles et parfaitement vide.

Seule une porte sans poignée ni serrures, marquant la fin du vestibule de l'édifice brise l'uniformité parfaite du lieu, se dresse devant vous. À son sommet vous pouvez comprendre sans bien savoir lire les mots suivants:

La nuit je prends les Hommes, le jour je les rends. M'avoir n'est point un mal mais mon manque est une malédiction. À ma compagnie s'ajoute de bien étranges vision. Que suis-je?

Que dire? Que faire?

La manière dont il parlait était mine de rien pompeuse et rendait les choses plus compliquées à comprendre mais Yuffie put saisir qu'il ne pensait pas qu'ils soient arrivés ici par hasard. Selon lui, ils avaient été volontairement ciblés et il cherchait donc des points communs qui auraient pu les faire se rencontrer dans cet endroit.

Loin d'être la meilleure dans le domaine de la réflexion, elle pourrait donc laisser cette question en suspens ou à cet homme de trouver une réponse. Elle ne voyait qu'un endroit à explorer et peut être des trucs à récupérer sur le passage donc elle était déjà motivée à avancer, faute de pouvoir aller ailleurs que vers l'intérieur du château.

Maintenant, il semblait se questionner sur elle mais comme il venait lui même du Wutai, elle supposait qu'il aurait du la connaître et se présenta comme étant la fille du chef même si ce n'était pas la meilleure comparaison qu'elle pourrait vouloir s'attribuer avec le peu d'amour qu'elle portait pour son géniteur.

Malgré ses dires, il semblait douter de ce qu'elle avançait si on passait outre la surprise qui s'était manifestée sur son visage. Il se demandait en conséquence s'il s'agissait toujours de Godo Kisaragi et elle fit un signe affirmatif de la tête. « Oui, s'il s'est pas fait tué comme une merde depuis que je suis partie. Je suis Yuffie Kisaragi. »

Elle supposait qu'en donnant son identité, ça paraîtrait plus tangible pour lui mais elle ne s'attendait pas à le voir devenir hilare non plus. Il donnait l'impression de jauger si elle disait la vérité ou non et de tenter sans doute de trouver des ressemblances entre cette frêle jeune femme et l'ivrogne de père qu'elle avait. « Ouais, il a eu une fille et c'est pas une fierté de l'avoir comme père crois moi... »

D’ailleurs, ça commençait à l'agacer de parler de son vieux et préférait encore avancer en oubliant ce sujet. Il fit une description sommes toutes correcte de son paternel en disant de lui qu'il était si coincé qu'on pourrait avoir du mal à croire qu'il avait mis au monde une pile électrique comme la demoiselle à qui il faisait face.

« Tu parles d'un honneur, il a transformé le village en parc touristique pour essayer de récupérer l'argent et la puissance que la Shinra nous a pris après la guerre... Il me fait honte... »

Honneur ? S'il en avait un avant, il l'avait clairement perdu en rendant les armes. En tout cas, sur leur situation, il précisa finalement qu'il était lui aussi sur Héra avant de débarquer ici ce qui pourrait vouloir dire que c'était un phénomène qui touchait seulement cette partie du monde et, manque de chance pour Yuffie, elle ne connaissait pas davantage les lieux si ce n'était que la magie y était autrefois bien plus dominante que sur le leur...

La conversation pourrait continuer mais ils avaient un peu avancé pour arriver dans une très grande salle qui semblait faire toute la superficie du château. Elle était vide et semblait pouvoir accueillir tout un village... La seule chose qu'on pourrait noter était la porte au fond... Bien fermée, la poignée ne tournerait probablement pas tant qu'ils n'auraient pas fait leur preuve. Et au vu de sa taille, Yuffie s'imaginait déjà la taille de la créature qui pourrait leur tomber dessus.

Mais il semblerait que ça ne serait pas un combat quand elle vit du texte s'afficher au dessus de la porte. Il s'agissait d'une énigme et, à défaut de savoir lire ce texte, elle le sentait vibrer en elle comme si c'était les écrits qui lui parlaient. Loin d'être douée dans ce genre de trucs, elle regarda Ringu en quête d'une solution plutôt que de dire une bêtise. Elle avait certes eu quelques pistes mais elle n'était pas du tout persuadée d'avoir la réponse.

« C'est le sommeil ? Ou les rêves ? » Ou peut être la lumière ? Ou l'imagination ? Ce dernier point rappellerait alors sa deuxième solution quand elle avait parlé des rêves mais... Sûre de rien, elle ne préférait pas donner la réponse et espérait que son acolyte serait aussi intelligent qu'il voulait le laisser paraître depuis qu'ils s'étaient rencontrés.

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Étage 1

Au moment où le mot "Sommeil" est prononcé, un mécanisme prend vie et la porte s'ouvre doucement devant vous, révélant un escalier ascendant. Rien ne semble plus se mettre en travers de votre inexorable ascension.

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Félicitation, la réponse était bien le sommeil. Vous pouvez accéder à l'étage suivant.

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