Madoka Bayushi

• Monde d'origine: Gaïa
• Nom: Bayushi
• Prénom: Madoka
• Âge: 19 ans
• Avatar utilisé: Rangiku Matsumoto (Bleach)


• Alignement: Guerrier des Ténèbres

• Description physique: Madoka est... Un grand wannabe samouraï blonde aux yeux bleus et à très gros nichons. Non, c’est pas un canular, c’est vraiment la description raccourcie.

Culminant à 1m86, la demoiselle échappe complètement aux idées ethniques qu’on se fait de Wutaï : avec une volumineuse chevelure blonde, une peau claire et de grands yeux d’un bleu acier et son grain de beauté sous sa bouche à droite,  les stéréotypes volent en éclats. Ce qui n’est pas pour lui déplaire, car avec sa peau sans défaut visible, ses interminables jambes et sa paire de seins supersurdimensionnée (sérieux, ces trucs doivent avoir leur propre champ de pesanteur !), la demoiselle met le quota de fanservice très haut et de façon complètement volontaire et assumée. She’s damn sexy and she knows it.

Niveau habillement… Que dire. Wutaï étant le meilleur truc ever pour elle, il va de soi que la mode locale est ce qu’il se fait de mieux. Mademoiselle se balade portant son sempiternel kamishimod’un noir de jais. Une simple ceinture blanche et une écharpe rose complètent l’ensemble, le tout fait avec la meilleure soie que les gils peuvent acheter (on va pas s’habiller chez Lidl hein !) ; de « simples » sandales de paille couvrent ses pieds. Les sous-vêtements sont fort probablement en option, mais à ce niveau, est-ce que ça surprend quelqu’un ?
Seul ornement possédé : un bijou d’or, composé de deux chaînes d’or reliées à un anneau, l’une reliée en deux points et portée autour du cou, l’autre pendouillant entre ses bombes. Ce bijou semble avoir une autre valeur qu’une simple invitation à baisser les yeux sur les ballons de blitzball, car essayer d’y toucher génère une réaction violente. « Doigts coupés » violente.

• Description psychologique: Premier trait principal de Madoka : c’est une patriote de première bourre. Elle pense que Wutaï est, sans nul doute, le meilleur truc à avoir jamais été conçu avec la vaccination, l’énergie solaire et le Nutella. La guerre contre la Shin-Ra ? Pfah, si Wutai avait voulu/si on ne les avait pas trahis/si la Shin-Ra n’avait pas triché/s’ils n’avaient pas joué de malchance (entourez la mention de votre choix), ils les auraient tellement éclatés que Sephiroth en aurait changé de job. D’abord.

Autre point qu’on remarque assez vite : la donzelle est connue pour ne reculer devant rien pour arriver à ses fins. VRAIMENT rien. Il n’y a pas de profit trop petit, de coup trop bas ou de procédé trop déshonorant pour arriver à ses fins : Madoka obtient ce que Madoka veut, même si ça implique de passer la soirée pendue au cou de Don Corneo et tuer toute votre famille. L’exemple le plus probant ? Regardez comment elle est habillée. Regardez bien. Regardez TRES bien… Et VLAN, pied, katana ou sort dans la tête pendant que vous regardiez ses nichons. Le pire est qu’elle est fière comme un coq de ce stratagème, même si face à une fille, ça marche moins bien. Quoique.
Cette idée du « rien n’est trop bas » a pour conséquence de la rendre plus ou moins cupide et obtuse : échouant 9 fois sur 10 à saisir le contexte global des situations auxquelles elle fait face soit par aveuglement dû au gain (fut-il monétaire ou matériel), a l’idée de pourfendre un ennemi puissant ou juste « Pasque réfléchir c’est dur », Madoka ne doit parfois qu’a son décolleté, son talent à l’épée et/ou son entourage de ne pas se retrouver dans les ennuis jusqu’au cou. Ce qui ne l’empêchera pas de s’y re-plonger 2 minutes plus tard.

Alors oui, c’est une tête de mule vénale, belliqueuse et un chouia jingoïste, mais elle a quand même quelques points positifs au compteur (en plus de sa belle gueule et de son 120F).
Primo : code d’honneur (ou libertés prises avec ledit code ou morale personnelle, c’est tangent et elle reste vague là-dessus) oblige, Madoka fera toujours ce qu’elle estime être « le bon choix ». Qu’il s’agisse d’aller tuer un gros monstre ou un bandit qui attaque des voyageurs, aider un gosse à retrouver ses parents ou toute autre tâche qui rapporte du bon karma, ce sera fait. Oh bien sûr, il ne sera pas rare qu’elle demande une « petite » compensation ou qu’elle privilégie les tâches qui se règlent à coups d’épée, mais le principe reste le même.
Secundo : même si quelqu’un doit payer pour ce qu’il s’est passé en 1992, Madoka garde la tête sur les épaules. Le président ShinRa est mort, Rufus n’était qu’un môme quand la guerre a éclaté et la plupart des vétérans avaient juste faire leur job. Donc, il n’y a plus de responsable à proprement parler. Le point ici est que notre rebondissante blonde sait faire la part des choses en termes de culpabilité ; on ne peut pas blâmer les enfants pour les bêtises des parents, par exemple. Autant elle peut être rancunière à mort contre quelqu’un, autant la rancune peut s’évanouir très vite si le type en question faisait juste son job, a été forcé de s’attirer son ire ou toute autre excuse valable du moment qu’il ne voulait pas faire ce qui lui a mis madame bonnets F sur le dos ; le responsable ou le gars qui a donné l’ordre, par contre…


Pour ceux qui penseraient que la génétique revenait d’un voyage à Amsterdam le jour de sa conception, rassurez-vous : Madoka n’est PAS originaire de Wutaï à proprement parler.

Voyez-vous, au moment où les choses ont commencé à tourner au vinaigre entre la ShinRa et Wutaï, ce qui est aujourd’hui juste un site à touristes réduit à un simple village était une superpuissance mondiale. Et la guerre entre eux, dernier gros « joueur » contre la ShinRa, attirait les groupes et individus opposés à la mégacorporation désireux de donner un coup de main à Godo et ses troupes ; attirance qui, comme chacun sait, ne s’arrêta pas avec la défaite de Wutaï. Certains étaient motivés par l’idée de renvoyer le SOLDAT dans une boîte à Midgar, d’autres voulaient juste défendre le dernier soupçon d’indépendance de Gaïa, et encore d’autres voulaient se venger pour les contrées et villes tombées plus ou moins violemment aux mains de la compagnie. Des fois, ces gens venaient avec leur famille, histoire de leur offrir un avenir sans la ShinRa ou juste pour les mettre en sécurité vu qu’eux-mêmes étaient sur la « hit list » du SOLDAT.
Toujours est-il qu’à la fin de la guerre, il y avait pas mal de gamins blancs et noirs parmi les orphelins de guerre. Et parmi eux, notre héroïne du jour.

Hors de question de jeter ces gamins dehors, ils furent donc tous adoptés par diverses familles désireuses de leur donner une meilleure chance ou de remplacer un de leurs enfants, tombé au combat ou des restrictions de la guerre. Enfin, presque tous. Quelques-uns furent adoptés par les quelques organisations résistant à la ShinRa, officiellement ou non, dans le but d’en faire des combattants.
Madoka se retrouva là-dedans. Sur le papier, l’endroit où elle vivait désormais était un dojo/école visant à « apprendre aux jeunes le respect des traditions » pour en faire « des adultes dignes de Wutaï » ; pas sur le papier, c’était une usine à endoctrination pour former des guerriers anti-ShinRa qui, un jour, rejoindraient ou fonderaient un ou plusieurs groupes qui iraient, tels les samouraïs des anciens temps, plonger leur sabre dans le cœur du président ShinRa comme s’il était un vulgaire monstre et rendraient à leur nation leur fierté d’antan. Personne ne disait rien, car même si la gamine blonde aux yeux bleus faisait un peu tâche, il n’y avait rien de méchant à voir les gamins apprendre les maths et la cérémonie du thé. Bien sûr, leur apprendre à se servir d’un sabre dans la cave était plus méchant, mais les maîtres étaient doués pour se cacher… Et menacer les gamins de les utiliser comme mannequin d’entraînement s’ils papotaient aidait vachement.

L’entraînement aussi bien physique que mental était dur, et plus d’un môme finit avec des bleus et des névroses, mais la plupart tinrent bon jusqu’à l’adolescence… Ou l’entraînement devint encore plus dur.
Chaque année qui passait apportait son lot d’épreuves toutes aussi truculentes les unes que les autres, comme passer une journée entière assis sous une cascade, dormir dehors sous la neige ou retenir par cœur des pages et des pages de poésies et histoires, tout ceci pour avoir les recrues à l’usure et ne garder que le fin du fin du fin pour aller couper des têtes de Shinra. Madoka avait beau déjà commencer à avoir des problèmes pour faire des pompes et sans arrêt de prendre des regards incrédules en voyant la dernière blondinette en lice résister à la pression, rien ne la stoppait. Enfin, jusqu’à ce que le barouf avec Sephiroth arrive.

Sephiroth, les Armes et la ShinRa éclatés par Cloud et sa bande, tous ces dojos secrets se retrouvèrent vite sans aucun objectif. Certains s’entre-déchirèrent au vu des abus faits aux pensionnaires, d’autres se reconvertirent pour devenir des citoyens lambda afin d’aider le village qu’était devenu Wutaï à prospérer… Et d’autres furent jetés comme des malpropres en leur disant de se débrouiller tout seuls. On devinera aisément dans quel cas est Madoka.
Pendant l’année qui suivit, notre miss traversa Gaïa en long, en large et en travers pour mieux se rendre compte du monde qui l’entourait, de ce qu’elle avait manqué à vivre en vase clos ces 20 dernières années, mais surtout de quoi faire maintenant que la grande quête de vengeance de Wutaï était tombée à la flotte. Elle n’a pas trouvé, mais la fusion des mondes lui donna une piste…
Depuis cette fusion, les matérias (fer de lance de l’économie de la ville, aussi illégale fut-elle) n’étaient plus que des décorations et le monde avait dû apprendre à composer avec de nouveaux voisins. Mais surtout…
Les nouveaux dirigeants, Nanaki et Reeve, avaient été rencontrer les nouveaux habitants de ces mondes. Très vite, une rumeur partit comme une trainée de poudre que d’étranges cristaux magiques, source de grand pouvoir, étaient disséminés aux 4 coins du monde. Selon cette même rumeur, tout ce que voulait celui qui les trouverait lui sera accordé… Des cristaux magiques capables de rendre à Wutaï sa gloire d’antan et un nouveau monde gigantesque à explorer ? Si ce n’est pas une raison de vivre et d’aller se balader, alors Madoka est plate comme un miroir. La fleur au sabre et le soutif en option, notre héroïne du jour partit voir ce qu’il y avait de beau de ce côté du monde…



Quelques questions vous concernant:
• Votre vrai prénom dans la vraie vie? Un canard.
• Votre âge? 24 ans
• Comment avez-vous connu FF Rebirth? Harold III.
• Avez-vous lu toutes les règles? Y a t'il des choses que vous n'avez pas comprises?La réponse D.