Fiche d'identité
• Monde d'origine: Gaïa
• Nom: Kuvaru, en mémoire de sa tribu
• Prénom: Kazuma, se fait appeler « Hazama » dans sa profession
• Âge: Indéterminé mais paraît avoir la vingtaine
• Avatar utilisé: Hazama/Yuuki Terumi[/url] de
Blazblue (Original Chara Design : Daisuke Ishiwatari/Katou Yuuki)
Description
• Alignement: Guerrier des Ténèbres
• Description physique:
Son physique est celui d’un jeune homme à la carrure tout juste au-dessus de la moyenne : un mètre quatre-vingt-trois pour environ soixante kilos, avec des membres fins mais suffisamment entretenus pour ne pas paraître maladif.
Sa silhouette naturellement élancée n’est pas souvent mise en valeur, la faute à une mauvaise habitude qu’il n’essaie pas vraiment de corriger : une posture légèrement courbée, soit vers l’avant avec les mains dans les poches, soit vers l’arrière avec les bras ballants. De manière générale, il aura presque toujours la tête très légèrement penchée en avant.
En revanche, ce qui doit probablement sauter aux yeux avant tout le reste chez Kazuma est le vert si singulier (tout ce qu’il y a de plus naturel, qu’il justifie comme d’une simple teinture) de ses cheveux coupés très courts, de sorte à ne laisser ressortir que quelques mèches bien distinctes sur l’avant du visage. Ses yeux, bien plus souvent fermés ou à peine entrouverts, laissent quant à eux apparaître un éclat jaune pâle que les gens décrivent le plus fréquemment comme emplit d’intentions douteuses, sinon malicieuses. Son léger sourire en coin permanent n’aide pas à dissiper cette impression malsaine qui semble parfois émaner par sa simple présence.
S’il semble ne pas vraiment accorder d’importance à mettre en valeur sa silhouette naturelle, en comparaison, il ne lésine pas sur les moyens lorsqu’il s’agit de ses goûts vestimentaires :
Sa garde-robe est essentiellement composée de costumes en plusieurs parties, qu’il interchange selon la situation. Il privilégiera toujours les chemises d’un blanc immaculé couplée à un gilet noir en guise de pièces de torse, accompagnés d’une cravate qu’il noue ou dénoue selon les circonstances.
Pour couvrir ses jambes, il optera le plus souvent pour un pantalon en toile sombre maintenu à sa taille par une double-ceinture en cuir marron, laquelle est renforcée par plusieurs rivets et pièces de métal, et reliée à une chaînette qui se perd dans sa poche arrière droite. Les chaussures qui dissimulent une paire de chaussettes longues sont un modèle personnalisé par l’ajout de plaques métalliques sur le dessus, la pointe et le talon de chacune.
Dans la vie professionnelle, il se pare d’un long manteau noir et dissimule sa chevelure sous un chapeau à bord feutré.
Lorsqu’il décide de s’éloigner des affaires et du travail, il préférera enfiler une longue veste jaune à capuche marquée de motifs tribaux dans le dos et aux manches retroussées, dévoilant des bandes de tissu noir enroulées autour de ses bras.
Habilement dissimulés dans un des pans de son manteau ou de sa veste, Kazuma disposera toujours d’une paire de couteaux papillons pour se défendre en cas de problèmes, ainsi que d’une lame camouflée à l’intérieur de chacun de ses talons. Pour éviter de se blesser lorsqu’il manipule ces outils, il garde enfilées une paire de mitaines grossières en cuir brun, qui ne lui couvrent qu’une partie du dos et de la paume de la main.
• Description psychologique:
S’il ne fait pas forcément bonne impression lorsque l’on s’attarde uniquement à sa posture, Kazuma se rattrape quelque peu grâce à ses manières dans la vie professionnelle :
Chaque nouvelle personne qu’il rencontre est reçue par un individu faisant preuve d’une extrême courtoisie frôlant presque l’indécence. Son discours se révèle formaté, usant de formules préparées longtemps à l’avance pour attirer la sympathie de son interlocuteur. Il évite le conflit dès qu’il le peut, et cherchera le moyen le plus efficace pour amener un compromis en guise de solution aux problèmes qu’il rencontre.
Dans le cadre de son travail de manager, il reste attentif au moindre détail et fait preuve d’une grande fidélité envers ses clients : même si ses actions viennent à mettre sa réputation en danger, il fera toujours passer les intérêts de ses clients avant les siens.
En règle générale, il reste calme et ne cherche pas à attirer l’attention sur lui, préférant rester dans l’ombre des gens qu’il estime avoir plus de mérite.
S’il n’est pas aisé de deviner ce à quoi il pense la plupart du temps, il n’inclura presque jamais le mensonge dans ses paroles. L’honnêteté est un facteur important dans sa profession, aussi met-il un point d’honneur ne dissimuler la vérité qu’en cas d’extrême nécessité. Il risque donc d’être plus souvent surpris à omettre certains détails que véritablement les occulter.
Nouer des liens sociaux n’est donc pas un problème pour lui… Seulement, il ne faut pas s’attendre à ce qu’ils aillent au-delà du contact professionnel car il aura toujours à portée de main une excuse pour interrompre toute tentative d’approfondir ces relations. Selon lui, personne n’est à l’abri d’un scandale dans ce milieu.
Cette facette positive semble donc être celle qu’il veut bien dévoiler en public mais lorsque son travail est terminé, c’est un tout autre personnage qui prend alors sa place.
Depuis ses premiers pas dans ce nouvel environnement, le sentiment dominant qui l’habite est une immense culpabilité, ce que l’on appelle communément le syndrome du survivant. La profonde colère qu’il réprime au fond de lui-même se traduit dans un premier temps par une attitude désinvolte, ignorant la plupart des personnes autour, peu importe les conséquences. S’il ne cherche donc pas forcément à ouvrir les hostilités, il n’aura pas vraiment à cœur de s’en éloigner, préférant laisser faire les choses sans se soucier du résultat final. A l’inverse, s’il est provoqué, il ne se contentera pas seulement d’y répondre mais le fera de manière très expéditive et n’hésitera pas à rendre au centuple l’affront subi.
Calculateur, il prend donc soin d’anticiper tous les risques et récompenses découlant des actions qu’il compte entreprendre.
Grâce à son comportement professionnel, il n’aura pas de difficultés à gagner la confiance des gens mais à l’inverse, il sera difficile pour les autres de se voir accorder la confiance de Kazuma s’il ne voit en eux aucun potentiel ou intérêt pour sa profession. Les rejeter ouvertement ne sera pas la première solution, surtout s’ils finissent par démontrer leur utilité par la suite mais en attendant, il tentera de maintenir une certaine distance avec les personnes qu’il préfère éviter.
S’il ne semble ouvertement aimer ou détester rien en particulier, il nourrit toutefois un certain intérêt pour les écrits et documentations portant sur les civilisations qui ont précédé la découverte suivie de l’exploitation du mako par la ShinRa et se renseigne sur de nombreux domaines relatifs à la recherche des énergies alternatives et des avancées technologiques qui en dépendent. Comme en plus de cela, il ne se sert de presque aucun appareil fonctionnant selon les principes de la multi-corporation, cela semble communiquer comme une espèce de sentiment de déconnexion du présent de la part du jeune homme. Il répondra qu’il ne porte aucun jugement concernant les actions de l’ancienne ShinRa, estimant plutôt que les erreurs commises étaient la responsabilité d’individus isolés, égoïstes, incapables de prendre les décisions permettant à la majorité de bénéficier.
Histoire
Environ deux millénaires avant que les mondes ne s’entrechoquent, Kazuma vit le jour au sein d’une tribu du peuple Cetra formée autour d’une caravane depuis plusieurs années, commerçant grâce au troc avec les autres tribus qu’ils rencontraient sur leur route.
Il ne connut jamais sa mère, malheureusement décédée des suites d’un accouchement difficile, lors d’une nuit qui avait vu se produire le passage très remarqué d’un astre déchu suivi d’un tremblement de terre particulièrement violent. Les anciens de la tribu ainsi que le chef interprétèrent ces signes comme annonciateurs de terribles augures et cela eut pour conséquence de faire de Kazuma en peu de temps la représentation symbolique de ces superstitions au sein même de ses pairs. Son père, un chasseur émérite et un fier guerrier, alla jusqu’à refuser de prendre la responsabilité de son éducation, ce qui occasionna chez Kazuma un manque évident de repère familial et une certain retard dans son développement émotionnel.
A cette époque, il était un jeune homme timide, rêveur et fasciné par les mystères entourant le cycle des âmes et la connexion avec l’énergie primordiale contenue dans la Rivière de la Vie. Il lui arrivait souvent de délaisser les autres activités et rester des heures à écouter le chant de Gaïa sans interruption. Son physique assez frêle et son aversion pour les activités physiques lui valait les railleries des autres adolescents plus en chair en plus du reste mais il endurait ces mots durs autant que possible, rêvant de découvrir des territoires encore inexplorés une fois passé le rite de passage à l’âge adulte.
Durant ces années passées à parcourir inlassablement les mêmes plaines et plateaux, Kazuma et ses semblables avaient pour coutume de croiser au moins une fois par an le chemin d’une autre tribu nomade, réputée pour ses membres en charge de perpétuer les rituels chamaniques et cérémonies hérités de leurs ancêtres. Pour ce faire, elle sillonnait les terres de leur peuple à contre-courant des parcours de migration et se chargeaient d’organiser de grandes célébrations appelées les Grandes Conjonctions, pendant lesquelles elles bénissaient les tribus rencontrées sur la route, qui elles-mêmes préparaient victuailles et denrées sélectionnées pour faire la fête.
Parmi les membres de cette tribu, Kazuma avait noué une profonde relation avec la fille du chef de cette tribu, prénommée Trinity et de peu son aînée. Un jour qu’il s’était mis à l’écart, elle était venue le trouver et lui prodiguer des paroles se voulant réconfortantes, bien qu’un peu maladroites par moment. Tous deux s’étaient alors trouvé pour point commun de se projeter vers l’avenir et envisager ce que leur peuple serait amené à réaliser par la suite. A défaut d’avoir pu se confier auprès d’une mère, celle qui se présentait alors comme une grande sœur de substitution lui apporta la chaleur qu’il réclamait depuis toutes ces années. Chacun se soutenait mutuellement et leur réunion annuelle était chaque fois attendue avec anticipation par le jeune homme.
L’année de ses treize ans, alors que le convoi de sa tribu avait établi un campement non loin des glaciers au nord du continent, un incident se déclara :
Un groupe d’hommes envoyés chasser le dernier des gibiers prévus pour le festin de la Conjonction qui allait bientôt avoir lieu était rentré en catastrophe après avoir été attaqué par une créature encore inconnue dans la région depuis leur passage de l’année précédente, la panique les obligeant à malheureusement abandonner l’un des leurs.
La caravane se préparait donc à repartir en urgence quand le chasseur disparu refit son apparition. Le regard vide, il commença à s’en prendre à ses camarades qui s’étaient approchés pour l’interroger sur ce qu’il s’était passé, usant à la fois de l’arme qu’il tenait en main ainsi que de son corps en ignorant les blessures qu’il pouvait s’infliger lui-même.
La confusion s’installa dans la tribu, provoquant des mouvements de foules dans la direction opposée, empêchant de clairement discerner ce qu’il se passait tandis que l’homme s’approchait dangereusement du centre du campement, où le chef actuel faisait de son mieux pour coordonner l’évacuation et la défense du camp. Si certains des guerriers firent de leur mieux pour restreindre leur camarade et de tenter de lui faire retrouver la raison, ils se rendirent bien vite compte que rien ne semblait pouvoir l’arrêter et la décision fut prise de l’exécuter sur le champ mais sans l’annoncer au reste de la tribu.
N’ayant pas pu assister à la scène, Kazuma n’appris que le lendemain que l’homme qui avait été tué par ses camarades était son père.
Malgré l’attitude froide et distante de son seul parent depuis sa naissance, l’évènement marqua profondément Kazuma, qui se renferma plus encore sur lui-même et s’isola du reste de la tribu, ne se joignant à eux que pour les repas qui ne lui étaient servis que parce que le chef en avait donné l’ordre.
Quelques semaines passèrent ainsi jusqu’à ce qu’ils rejoignent enfin une autre tribu alliée qui les informa du grave danger qui les guettaient en réalité un peu plus au nord. La formation du glacier autour du point d’impact du mystérieux astre avait certainement amené son lot de problème treize ans plus tôt, à commencer par la chute brutale de température dans la région, mais ce n’était que très récemment que plusieurs créatures difformes avaient fait leur apparition et qu’elles commençaient à se déplacer et envahir progressivement le reste du continent. La tribu de Kazuma fut intimée de repartir d’où elle venait et d’aller se réfugier dans les abris qui avaient commencé à être aménagés au cours de la dernière décennie. Si toute sa tribu était d’accord pour obéir à ces consignes, Kazuma s’empressa de refuser après s’être rendu compte que Trinity et sa tribu n’avait pas croisé leur route et demanda à savoir où elle se trouvait. On lui expliqua qu’elle avait été envoyée au pied du glacier aux côtés des shamans des tribus principales pour aider aux préparatifs de guerre. Ne comprenant pas pourquoi son amie était parti au-devant du danger, l’adolescent prit alors la décision de se joindre aux efforts pour contenir la menace. D’abord quelque peu réticents à l’idée de laisser un enfant seul partir au combat, le groupe de messager acceptèrent après que le chef de tribu de Kazuma leur fit savoir qu’il était prêt à envoyer d’autres hommes en plus, tandis que le reste irait se mettre à l’abri.
Kazuma et le reste de ses camarades ne réapparurent jamais auprès des siens. D’après les témoignages des quelques survivants aux alentours du glacier, le jeune homme disparut lors d’une mission d’escorte des shamans aux alentours d’un sanctuaire à l’écart du champ de bataille, suite à quoi on rapporta l’apparition d’une bête féroce s’en prenant aux monstres qui avait envahi la région. Cette même bête fit parler d’elle une quinzaine d’année durant, parcourant les quatre coins du monde pour décimer autant de créatures menaçantes que possible sur sa route, avant de disparaître pour de bon au lendemain de ce que les générations futures appelleraient la victoire sur « La Calamité venue du ciel ».
Le monde continua sa course dans le temps, oubliant les exploits des Anciens, et ce n’est qu’après l’évènement connu de tous comme « La Grande Fusion » que les traits familiers d’un jeune homme arborant une cape cousue grossièrement de motifs tribaux refirent surface dans un port du continent de Midgar.
Kazuma avait quitté Spira quelques jours à peine après qu’il s’était réveillé au sein de l’espace mystique appelé l’Au-Delà, désireux d’apprendre ce qu’il était arrivé à ses compatriotes. Le désespoir parut l’assaillir, dans un premier temps après avoir appris la décimation dont avait été victime la plupart d’entre eux et savoir que le reste s’était tout simplement mêlé avec le reste de la population ne lui occasionna qu’un réconfort mineur, profondément attristé par la perte définitive des rites et traditions, ainsi que l’état désastreux de la planète rendu possible par l’industrialisation massive de Gaïa par les seuls actions de la Shinra en à peine quelques dizaines d’années.
Son enquête se voulant plus approfondie l’amena à côtoyer des milieux de moins en moins fréquentables mais cela lui permit d’accéder à des documents qu’il n’aurait probablement jamais pu consulter, découvrant ainsi que les tentatives de ses camarades pour éradiquer la menace qui avait élu domicile au Cratère nord avaient en réalité échoué et que les restes excavés de la créature avaient amené toujours plus de souffrance par la faute de cette même entreprise à la tête de laquelle s’étaient succédés incompétents, hypocrites, imbus d’eux-mêmes et psychopathes, souvent même tout ça à la fois. Ces hommes et femmes avaient leurs défauts mais il parvint tout de même à faire la distinction entre l’impact qu’ils avaient pu avoir durant leur courte vie, comparé à celui incessant que la créature dénommée en tant que « Jenova » avait eu sur Gaïa au cours des derniers millénaires.
Dans sa quête à la recherche de toujours plus d’information sur le développement du monde, il se retrouva à gagner de plus en plus d’intérêt à se renseigner sur l’industrie musicale de Gaïa d’abord, puis des autres continents nouvellement apparus. Le chant de la Rivière de la Vie ayant disparu, les artistes indépendants de même que ceux que la Shinra avait autrefois tenté de produire semblait lui convenir en tant que substitut. Plus il en apprenait sur la manière dont avaient évolué ces derniers, plus il se demandait ce qui les avaient poussés à vouloir dépendre du conglomérat pour leurs activités.
Il comprit rapidement qu’ils n’avaient pour la plupart pas eu le choix, forcés d’intégrer le département de communication de la compagnie, sous la supervision de bureaucrates dont la seule consigne était de créer des produits de propagande formatés, sans âme ni passion, qu’il pouvait difficilement qualifier de marquant.
Une seule cependant lui parut être parvenue à se détacher de la masse avec un unique succès éphémère 15 ans auparavant, des suites duquel elle préféra abandonner sa carrière pour partir s’installer à Junon en tant que photographe pour les agences de presse. Kazuma, après avoir actualiser sa garde-robe, se présenta à elle en tant que Hazama, jeune homme ayant pour ambition de mettre en place une initiative pour les jeunes talents d’Héméra. La proposition folle parut amuser la femme qui l’avait accueilli mais elle se reprit très vite en voyant le travail de recherche minutieux accompli en amont par le jeune homme.
Si elle ne disposait pas encore des fonds pour une telle entreprise, elle connaissait néanmoins quelques personnes qui seraient susceptibles de les aider à se lancer ; après quelques coups de fils passés çà et là ainsi que l’achat de locaux dans la ville haute et enfin les premières annonces publiées dans les revues numériques et physiques, l’agence baptisée Edge of Tomorrow était officiellement en service et il ne fallut pas attendre longtemps pour qu’apparaissent des résultats plus qu’encourageants au niveau local, puis régional avant d’être reconnue comme la référence numéro un dans la production et l’accompagnement des artistes de Gaïa, au prix cependant d’un nombre de dettes allant en s’incrémentant.
Quelques mois passèrent et peu après l’anniversaire de la Fusion de Mondes, un groupe d’individus en costume gris frappèrent à la porte de l’agence pour offrir un contrat qui les rattacheraient au département de la communication de la Néo-Shinra.
Kazuma ne fut pas surpris par cette proposition car en restant attentif aux activités des milieux underground, il était au courant de la résurgence imminente de l’organisation et c’était là l’évènement auquel il s’était préparé depuis qu’il avait débarqué sur le continent oriental.
Sa partenaire-slash-employeur ne manqua évidemment pas de manifester sa désapprobation quant à la perspective de retourner dans le giron de l’organisation qui l’avait si mal traité auparavant mais Kazuma la rassura du mieux qu’il pût en évoquant le fait qu’il s’agissait pour le moment de profiter des ressources mises à dispositions par la Shinra pour rétablir leur situation financière et il comptait bien négocier pour ne pas avoir à dépendre exclusivement de la compagnie de Midgar pour développer les activités de l’agence.
Mettant à profit la collecte de données effectuée au préalable et le fait que l’image de la Néo-Shinra était encore bien trop négative, l’agence parvint à négocier des termes particulièrement avantageux, incluant une totale liberté dans la sélection des artistes qu’ils seraient amenés à produire dans le cadre des campagnes publicitaires de la Néo-Shinra et un accès presque illimité aux documents d’archives et équipements pouvant servir à la bonne organisation et la logistique des évènements promotionnels.
La première étape de son plan s’étant brillamment déroulé, Kazuma était prêt à se lancer dans la phase 2 : maintenant qu’il avait un pied dans la machine infernale de la Néo-Shinra, il allait devoir surveiller de très près leurs agissements pour ne pas qu’ils retombent dans leurs anciens travers et lancent un nouveau projet Jenova.
Sa meilleure chance pour éviter une nouvelle catastrophe serait de mettre la main sur les cristaux évoqués un peu partout. S’ils étaient vraiment à même d’exaucer un souhait, aussi irréaliste puisse-t-il paraître, alors il ne pouvait en exister de plus approprié : l’existence de Jenova, la Calamité responsable de tous les maux de Gaïa depuis plus de deux milles ans, doit être effacée à tout jamais !
Et pour finir...
Quelques questions vous concernant:
• Votre vrai prénom dans la vraie vie? Ça n’a pas changé
• Votre âge? Vingt-sept printemps
• Comment avez-vous connu FF Rebirth? Un des nombreux comptes de Nexus, après Mégane et Mélina Hartford
• Avez-vous lu toutes les règles? Y a-t-il des choses que vous n'avez pas comprises? Il serait bien malvenu de ma part de ne pas les connaître.