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Alphinaud Leveilleur

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Crystal.

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Crystal.
Niveau : 1
HP : 500/500
MP : 10/10

Tableau d'évolution
MessageSujet: Alphinaud Leveilleur Alphinaud Leveilleur EmptyLun 22 Mai - 21:21

Fiche d'identité

• Monde d'origine: Sharlayan, Hydaelyn.
• Nom: Leveilleur.
• Prénom: Alphinaud.
• Âge: Entre seize et dix-huit ans, l’information est assez imprécise quant au passage du temps in-game.
• Avatar utilisé: Alphinaud Leveilleur de Final Fantasy XIV.

Description

• Alignement: Guerrier de la Lumière.

• Description physique:

AlphinaudPour un élézen dans la fin de son adolescence, Alphinaud se démarque par sa petitesse et son visage enfantin. Ne mesurant qu’un mètre cinquante cinq – oui, c’est petit chez les élézens, très petit – il ne doit pas peser plus de cinquante kilos au maximum. Il faut noter toutefois qu’étant donné leur longévité bien plus grande que les hyurs et autres races, les élézens sont généralement très petits avant d’arriver à environ vingt ans, où ils subissent une grande poussée de croissance et deviennent alors grands et sveltes, tel qu’on les connait le mieux.

Pas bien lourd, pas bien gros ni bien grand, il n’impressionne pas vraiment la galerie— mais ce qui l’importe, lui, c’est clairement la grandeur de ce qui se trouve entre ses deux grandes oreilles pointues.
Sa peau pâle aux tons pêche laisse présager qu’il doit appartenir aux élézens sylvestres. A priori, il n’arbore aucune imperfection notable sur son physique, que ce soit une quelconque cicatrice ou autre chose, sauf si bien sûr on aborde le sujet de ses grandes oreilles pointues qui sont pour lui tout à fait normales étant donné son appartenance à la race des élézens.

Alphinaud possède un visage rond aux traits juvéniles. Presque féminins aussi. Il n’est pas rare que quelques personnes le confondent pour une jeune fille aux premiers regards. Des joues rebondies, des lèvres fines, de grands yeux bleus, autant dire que oui, il peut passer pour une fille si vraiment il le cherchait— pauvre de lui cependant, puisque ce n’est pas son objectif et cette confusion est bien gênante !
Son joli minois est couronné d’une chevelure blanche assez longue, bien que sa longueur ne soit pas très notable étant donné qu’elle est toujours attachée en une tresse fine derrière sa tête. Celle-ci est nouée à son extrémité grâce à un ruban bleu, ce qui le distingue de sa jumelle identique qui, elle, en porte un rouge. Les mèches de sa frange toutefois sont rebelles et tombent presque jusqu’à cacher ses yeux. On peut juger grosso modo que s’ils étaient détachés, ses cheveux tomberaient facilement jusqu’au centre de son dos au maximum.

L’érudit Sharlayanais est bien souvent vêtu de bleu, celle-ci étant un peu sa couleur de prédilection. Il porte un manteau bleu sombre aux décorations métalliques argentées, des gants noirs couvrant ses avant-bras ainsi qu’une cravate blanche qui semble venir donner une note distinguée à sa tenue. Le manteau s’étend jusqu’à ses genoux et demeure ouvert sur l’avant, dévoilant des cuissardes blanches qui viennent couvrir ses jambes.
Pour terminer, on notera facilement que le mage possède une boucle d’oreille assez imposante en forme de delta sur son oreille gauche. Celle-ci représente un lien avec Alisaie, sa sœur, qui possède la même sur son oreille droite. Quant à son arme, il s’agit d’une moitié de grimoire à la couverture argentée baptisé Adelphoi, offert par son grand-père il y a des années de cela, un souvenir qu’il chérit précieusement.

• Description psychologique: Un jeune garçon bien éduqué, gentleman et cultivé, Alphinaud est une personne que l’on qualifierait facilement d’éclairé, d’intelligent et de penseur. C’est une personne très calme, dotée d’une maturité étonnante pour son âge et d’une capacité intellectuelle à braver les plus grands. Toutefois, ces qualités offrent un côté plus sombre de la médaille, puisque cela rend l’élézen arrogant, confiant en ses propres capacités et bien trop assuré. C’est toujours celui qui fait le pas en avant non seulement pour guider les autres, mais aussi pour être en tête de proue. Il ne s’estime pas être le chef de bande, mais apprécie être la tête pensante de l’élite. C’est un stratège émérite et son potentiel de réflexion est suffisamment rapide pour attendre de lui une idée de dernière minute en cas de souci.

Charismatique, diplomatique, il fraye son chemin au travers des affaires qui ne le regarderaient pas en théorie mais qui, à ses yeux, le sont. Il fut un temps où il estimait beaucoup trop le nom de son feu grand-père, Louisoix Leveilleur. Il lui suffisait de mentionner son patronyme pour qu’on l’écoute et ainsi trouva-t-il facile de négocier avec les dirigeants d’Éorzéa.
De ce fait, Alphinaud possède un égo assez important, particulièrement confiant en ce qu’il fait et entreprend à la manière d’une personne convaincue de pouvoir sauver le monde de sa chute puisque c’était le vœu de son ancêtre. Cet égo lui donne suffisamment de courage et de cran pour confronter même les grands dirigeants sur leurs idéaux. Il n’a pas peur de faire entendre son opinion sans pour autant penser que sa façon de voir les choses est la meilleure— même s’il peut songer que c’est la plus adéquate à ses yeux.

Malgré toute sa grande intelligence, sa confiance et son humeur calme, l’érudit de Sharlayan n’est pas invulnérable aux émotions. Au-delà de sa trop grande confiance en lui, dès qu’un drame se produit en raison de ses décisions, Alphinaud se retrouve à broyer du noir et à déprimer, regrettant amèrement son attitude et priant pour un retour en arrière. Cela est arrivé une fois par le passé. De nombreuses morts présumées par sa faute, par sa confidence, par son égocentrisme. Du coup, aujourd’hui, l’élézen est bien plus souple et accepte plus facilement l’aide d’autrui, sans trop prendre les devants…

C’est une personne aisément touchée par le dévouement des autres vis-à-vis de lui. Sans avoir la larme facile, lorsque tout semble sombre et improbable, le dévouement de ses camarades le rend toujours bien vulnérable. Il apprécie finalement s’apercevoir que ses proches, que ce soit ses frères et sœurs de combat, le Guerrier de la Lumière ou les Héritiers, soient prêts de lui et toujours avec lui. Il ne craint pas la solitude, mais avoir des amis est toujours plus plaisant pour voyager.
Sur une note plus sobre, on peut déduire qu’Alphinaud apprécie beaucoup de choses dont majoritairement lire, écrire, réfléchir. Ce qu’on lui note tout spécialement, c’est un talent vraiment extraordinaire avec le dessin, notamment les portraits. Il aime s’abreuver de nouvelles connaissances et étudier plus majoritairement des cultures étrangères. Mettre ses sorts éthériques en pratique est également une sorte de hobby mais le plus simplement du monde, il s’apaise en buvant une tasse de thé ou de café et en méditant sur la suite des choses. Des plaisirs simples qui suffisent à s’échapper de ce que la réalité est capable de faire tomber tel un couperet…

Histoire

Spoiler:

Né à Sharlayan, dans les lointaines terres de Dravania à proximité des contrées d’Ishgard, Alphinaud vint au monde en tandem avec une fille baptisée Alisaie. Venu au monde dans une famille prestigieuse, il n’en fut pas moins frappé de malheur dès sa naissance, sa mère perdant la vie en couche. Avec sa sœur jumelle, il fut donc élevé par son père, Fourchenault, et son grand-père, Louisoix Leveilleur.

En duo avec Alisaie, il reçu une éducation riche et prouva être doté d’une intelligence au-delà de la moyenne. Il entra dans les hautes études de Sharlayan à l’âge de onze ans, un âge fort précoce, et acheva ses études avec brio. Entre temps, leur grand-père bien aimé, qu’ils chérissaient du plus profond de leur être, quitta Sharlayan pour rejoindre Éorzéa, où il avait une mission à accomplir. Avant de partir, il offrit à son petit-fils et Alisaie un grimoire, Adelphoi, qui se révéla plus tard être deux parties séparées d’un même livre magique. Car au-delà de leurs différences flagrantes, Lousoix souhaitait plus que tout voir ses deux petits enfants s’entendre et travailler ensemble pour le même destin. Malheureusement, ils ne se le réaliseraient que bien plus tard.

Alors qu’ils terminaient leurs études, Louisoix perdit la vie lors de son combat contre le Primordial Bahamut, à la vue de tous. Il fut élevé au rang de héros, mais pour ses petits enfants, la perte fut douloureuse. Alphinaud ne démontra rien, provoquant une profonde colère en Alisaie qui jugea qu’il manquait de cœur et d’âme. Elle ignorait évidemment qu’il préférait se renfermer, plutôt que de l’imiter elle, et fondre en larmes, laissant ainsi apparaître une vulnérabilité qu’il ne se souhaitait pas.
A la lumière du décès de Louisoix, le tandem, alors âgé de seize ans – l’âge de raison à Sharlayan – décida de quitter la ville.

En dépit des protestations de leur père, les jumeaux quittèrent Dravania pour rejoindre Éorzéa et y poursuivre la mission de leur grand-père. Celui-ci avait longtemps dit vouloir sauver Éorzéa des ténèbres, et comme il était à présent décédé, Alphinaud avait estimé qu’il revenait à eux d’accomplir ce lourd destin. Plus téméraire, Alisaie suivit, mais non pas pour accomplir ce destin de la même manière que son jumeau le voyait. Elle avait l’intention de frapper dans l’œuf en allant détruire les restes de Bahamut, là où Alphinaud comptait passer par une approche plus politique en tentant d’unir les cité-états et en retrouvant les Héritiers de la Septième Aube – un groupe à la tête duquel Louisoix était, de puissants mages et guerriers sélectionnés pour sauver Éorzéa.

Ensemble, ils se rendirent à Ul’dah, où quelques différends s’élevèrent déjà. Alisaie et Alphinaud avaient entendu parler de ce fameux Guerrier de la Lumière qui se baladait partout en Éorzéa, accomplissant tâches et missions pour aider le petit peuple, et Alphinaud voyait en lui un potentiel phare, une tête de proue, une lumière dans les ténèbres pour les aider à accomplir ce que Louisoix souhaitait. Alisaie toutefois était mécontente de cette approche, refusant catégoriquement de laisser les vœux de leur feu grand-père entre les mains d’un vulgaire inconnu. Sans un échange supplémentaire, Alisaie s’éclipsa, la colère au ventre.
Cela dit, Alphinaud gardait à l’esprit qu’ils se retrouveraient un jour, leurs destinées étant inexorablement liées.

Alphinaud rencontra l’élu d’Hydaelyn peu de temps après, et eut le privilège de lui parler de chaque Grande Compagnie des cité-états, celles-ci souhaitant ardemment compter le Guerrier parmi les leurs. Il put ainsi sélectionner ce qui l’intéressa, avant d’être appelé au combat contre le Primordial Titan, que les Kobolds avaient invoqués. Des suites de cet affrontement, alors que Garuda, invoquée par les Ixals, menaçait à l’horizon, un problème surgit ; la furie des rafales était protégée par une tornade impénétrable.

L’élézen eut alors l’idée de retrouver Cid nan Garlond, un prestigieux ingénieur. Celui-ci avait cependant perdu la mémoire, et la route d’Alphinaud croisa celle du Guerrier. Ce dernier dû retrouver les outils de jadis de Cid pour que son amnésie ne s’éclipse, lui rappelant qui il était auparavant et permettant au groupe de trouver le fabuleux vaisseau qui pourrait passer outre même la plus furieuse des rafales. Cid les aida à localiser l’engin, qui s’était écrasé dans le Coerthas, en plein dans un ancien vigile maintenant dominé par des dragons. Grâce à l’élu d’Hydaelyn, qui nettoya l’intérieur de la bâtisse, ils purent mettre la main sur l’Entreprise.

Garuda fut vaincue des suites d’un long combat, mais ils ne purent profiter longtemps de cette victoire. Gaius van Baelsar, l’homme à la tête de l’armée Garlemaldaise – une nation cherchant à s’emparer de l’éther d’Éorzéa pour carburer ses machineries et autres fantaisies – arriva à point nommé et insulta Garuda dans le but de la mettre en colère. Les autres nations invoquèrent leurs Primordiaux dans le but d’anéantir l’individu, mais c’était précisément là le plan ; sous le regard étonné de tous, Gaius utilisa l’Ultima Arma pour absorber l’essence des trois Primordiaux, s’appropriant leur puissance, avant de s’esquiver avec une arme dévastatrice à sa coupe.

En trio avec le Guerrier de la Lumière et Cid, Alphinaud proposa d’unifier les Grandes Compagnies pour anéantir la menace que représentait l’Ultima Arma. L’opération fut baptisée Opération Archon, et tous ensemble, ils envahirent les différentes stations Garlemaldaises afin de troubler et anéantir l’ennemi. Le groupe principal s’enfonça dans le quartier général éorzéen de Garlemald, seulement pour y découvrir que les Garlemaldais étaient manipulés par des entités appelés Asciens.

Les Asciens étaient des créatures forts étranges. Ni hommes ni monstres, ils avaient une apparence humanoïde en dépit de tout, et portaient des plans que nul ne connaissait. Ils ne cessaient d’interrompre les plans du Guerrier de la Lumière comme s’ils cherchaient à directement nuire à Hydaelyn. Ils venaient du néant et manipulaient des créatures qui en provenaient également. A la lumière de cet objectif, ils avaient manipulés les Garlemaldais à récupérer les Primordiaux ainsi qu’Ultima Arma afin d’affaiblir, voire même détruire, Éorzéa. En effet, l’Ascien responsable de tout ceci, Lahabrea, escomptait utiliser le terrible Ultima pour détruire une grande partie du continent d’Éorzéa, si ce n’était pas la détruire toute entière.

Ils se rendirent rapidement compte que de nombreux de leurs alliés étaient prisonniers dans cette infrastructure. Mais le plus douloureux de tout fut la possession de Thancred Waters par Lahabrea. L’homme était un charmant gentleman et ami d’enfance de Minfilia, la dame à la tête des Héritiers de la Septième Aube depuis le décès de Louisoix. Son corps ainsi utilisé brida momentanément le Guerrier de la Lumière, mais celui-ci trouva la force de vaincre son ami tout de même, et de le sauver in extremis, tout juste après avoir désamorcé la terrible Ultima Arma avant qu’elle n’exécute sa funeste magie. L’Ultima fut engloutit sous les ruines du quartier général Garlemaldais, avec à son siège Gaius Van Baelsar, qui ne reverrait plus jamais la lumière du jour.

Des suites de ces aventures, Alphinaud, maintenant un membre à part entière des Héritiers de la Septième Aube, suggéra qu’ils installent le nouveau quartier général au Mor Dhona, une région isolée qui n’était connectée à aucune cité-état, afin de démontrer clairement la neutralité du groupe. Ils n’appartenaient à aucune association et n’avaient aucune allégeance précise, sauf Hydaelyn elle-même. La décision fut acceptée de la majorité, mais Minfilia exprima quelques hésitations étant donné que Ul’dah, la cité-état à côté de laquelle ils se situaient, était sa terre natale. Afin de la convaincre, le Guerrier de la Lumière partit en quête de F’lhaminn, une miqo’te âgée et mère adoptive de Minfilia, qui lui fit entendre raison.

Alphinaud ne tarda alors pas à entendre parler de sa jumelle, Alisaie, dont il n’avait plus de nouvelles depuis bien longtemps. Elle s’était aventurée dans les restes de Bahamut avec pour objectif de l’anéantir et d’ainsi venger leur feu grand-père. Le Guerrier de la Lumière accompagna l’élézen, nouant une véritable et intense amitié entre eux deux à partir de ce jour, pour retrouver la sœur du premier. D’abord, Alphinaud resta dans l’ombre, mais alors que sa jumelle allait affronter ce qu’il restait de la tête de Bahamut, il s’interposa et tenta de la raisonner. Puisque sa sœur avait décidée d’être si têtue et le blâmait de ne pas vouloir venger Louisoix, il décida de jouer le même jeu qu’elle cette fois-ci, et poursuivit à ses côtés plutôt que d’aller de son côté.

En plein cœur de Bahamut, ils retrouvèrent ce qu’ils croyaient être Louisoix. Mais rapidement, ils comprirent qu’ils étaient dupés ; c’était là une image que Bahamut projetait sur eux afin de les troubler. L’image si bienveillante se transforma alors en un Primordial, le Phénix. Les jumeaux, effondrés, ne purent lutter contre ce qui représentait leur grand-père bien-aimé, aussi le Guerrier de la Lumière dû s’en occuper lui-même.

Chose faite, ce qu’il restait de l’âme de Louisoix se manifesta aux Leveilleur. Il leur expliqua ce qu’il s’était vraiment passé lors du combat contre Bahamut ; il s’était transformé en éther pour vaincre la bête en frappant en plein cœur, malheureusement, la mauvaiseté qui faisait de Bahamut ce qu’il était avait manipulé cet éther pour le transformer en un Primordial lui-même. Il posa sur eux des mots bienfaiteurs, leur demanda de travailler ensemble, puis leur révéla que leurs grimoires, Adelphoi, étaient supposés n’être qu’un seul et même livre. Comprenant que leur destin était plus lié que jamais, les jumeaux joignirent Adelphoi et utilisèrent l’incroyable puissance pour créer une barrière magique qui protégea le groupe contre une attaque de Bahamut. Le Guerrier de la Lumière passa ensuite, et mit fin à ce qu’il restait de Bahamut.

Alphinaud profita de ce moment pour avouer à Alisaie qu’il avait déduit le funeste sort de leur grand-père, et que la seule raison pour laquelle il était venu la retrouver à l’intérieur de Bahamut était pour justement lui éviter de souffrir de cette vérité. Cette aventure permit aux jumeaux, jusqu’alors semblant être éternellement séparés, à redevenir une famille.

Retournant aux côtés des Héritiers sans sa sœur toutefois, celle-ci ayant d’autres plans en tête pour les aider, Alphinaud entendit parler d’un nouveau problème ; les moogles de la forêt de Sombrelinceuil s’agitaient. Ils étaient parvenus à invoquer ce qu’ils appelaient leur roi. C’était en effet une sorte de roi, le bon roi Moggle Mog XII ainsi que sa garde rapprochée. Ils représentaient cependant une menace, aussi, ils n’eurent pas le choix d’anéantir la créature avant de passer à des choses plus sérieuses. Ils devaient toujours transférer le Refuge des Sables au Mor Dhona, aussi ils retournèrent dans la Baie des Vêpres, où se situait le QG.

Sur place, ils trouvèrent une Minfilia blessée. Elle avait été attaquée par un Ascien ayant souhaité d’utiliser son pouvoir de l’Echo – un cadeau d’Hydaelyn permettant de voir le passé et parfois même de devoir ce que recélait réellement le cœur d’un individu, un pouvoir que Minfilia possédait, mais également le Guerrier de la Lumière – après avoir refusé de marchander avec lui. L’idée qu’un nouvel Ascien, après Lahabrea, sème la terreur était déjà en soi un souci, mais Urianger, un autre membre des Héritiers, annonça une seconde mauvaise nouvelle ; ils avaient perdus contact avec les étudiants de Baldesion, un groupe d’informateurs des Héritiers.

Quoi qu’il en soit, ils parvinrent à s’installer au Mor Dhona, et fondèrent le Refuge des Roches.

Avec Gaius Van Baelsar tué, l’Empire Garlemaldais se retrouva dans un moment d’arrêt. Cet épisode permit à une ville opprimée par l’Empire, Doma, de tenter de s’échapper de ses griffes. Malheureusement, l’Empire n’était pas aussi affaiblit qu’il n’y paraissait, et de nombreux Domiens perdirent la vie. Les quelques centaines de survivants prirent des bateaux et voguèrent jusqu’en Éorzéa pour demander l’asile. Alphinaud rencontra la dame à la tête de leur escadron, Yugiri Mistwalker, et prit sympathie de sa demande. Avec les Héritiers, ils organisèrent une audience avec les chefs de l’Alliance – le nom donné à l’ensemble des cité-états maintenant unies contre l’Empire et les Asciens.

Malheureusement, les dirigeants de l’Alliance refusèrent de prêter main forte aux réfugiés. Ce n’était pas par méchanceté, mais après les déboires avec l’Ultima Arma, ils préféraient mettre en avant la protection de leurs peuples respectifs plutôt que de s’occuper d’une autre nation cherchant refuge.

Malgré la déception que cela apporta, ils eurent une aide imprévu ; Teledji Adeledji, un Lalafell à la tête des Monétaristes d’Ul’dah, suggéra de s’occuper lui-même des réfugiés. Il promit de couvrir leurs dépenses, chose plutôt… étonnante vu l’énergumène. Mais en dépit des doutes et des interrogations, Yugiri accepta l’aide des Monétaristes, permettant donc aux Héritiers de se concentrer ailleurs. En effet, des problèmes commençaient à surgir du côté des Sahuagins. Des rumeurs voulaient qu’ils soient en émois grâce à une promesse d’immortalité qui leur fut faite par une source inconnue, et bien sûr, le groupe crut que c’était encore un coup des Asciens qui voulaient forcer les Sahuagins à invoquer leur Primordial : Léviathan.

Sur place, ils furent surpris de réaliser qu’un Sahuagin en particulier était doté du don de l’Echo. Il parvint à ses fins, invoqua Léviathan, et un problème majeur jaillit : s’ils n’arrêtaient pas le Primordial, celui-ci engloutirait les cité-états dans les eaux. Avec l’aide de Yugiri, ils forgèrent un plan pour attaquer Léviathan et l’anéantir avant qu’il ne détruise les villes côtières. L’opération est un succès, et le roi des océans se retrouva neutralisé grâce aux efforts du Guerrier de la Lumière, encore une fois.

Par la suite, Urianger apprit ce qui était arrivé aux étudiants de Baldesion, ainsi qu’à l’île sur laquelle ils vivaient ; complètement rayés de la carte. Les déductions furent rapides, mais beaucoup pensèrent que l’Ultima avait explosé l’île ainsi que ses habitants. Les suspicions furent nombreuses sur l’implication des Asciens. Malheureusement, ils ne pouvaient être sûrs de rien.

A la lumière du refus catégorique de l’Alliance d’aider qui que ce soit outre leurs propres cités, Alphinaud, frustré, décida de fonder sa propre Grande Compagnie. Une Grande Compagnie qui n’aurait aucune allégeance, d’une neutralité totale, qui protégerait quiconque le demanderait. Il se proclama fondateur des Braves du Cristal et chercha des volontaires. En utilisant le prestige du Guerrier de la Lumière comme appât pour recruter des candidatures, il tomba sur de nombreux refus, mais éventuellement, il forma une équipe qu’il jugea digne de confiance.

Peu de temps après, des problèmes commencèrent à surgir à Ul’dah. Des émeutes rugissaient dans les rues, provoquées, semblerait-il, par les réfugiés de Doma. Le Général Raubahn Aldynn, l’épée de la Sultane d’Ul’dah, exprima penser que c’était l’œuvre de Teledji Adeledji, qui souhaitait renverser le sultanat. Alphinaud fut blessé pendant l’émeute, mais rien de suffisamment grave pour le détourner d’une autre menace qui pointait à l’horizon ; les Sylphes, subjuguées par le pouvoir d’un nouveau Primordial, menaçaient la forêt de Sombrelinceuil et les quelques sylphes pacifiques qui vivaient là. Elles avaient invoquées le Primordial de la foudre, Ramuh.

Encore une fois, le Guerrier de la Lumière fut appelé à mettre fin au règne foudroyant de l’entité. Il fut découvert que Ramuh n’était pas un Primordial en furie, il était au contraire fort calme et refusa de faire confiance aux mortels. Le Guerrier le provoqua donc en combat et des suites de cet affrontement, Ramuh consentit à donner le rôle d’ambassadeur au Guerrier de la Lumière, jugeant qu’il était digne de représenter un signe de paix entre les êtres humains – et toutes races confondues – et les sylphes de Sombrelinceuil.

Entre temps, une nouvelle ombre venait se mettre au tableau : une femme au sein des Braves du Cristal était une traîtresse. Cette fille, supposément nommée Ivy, était une agent triple. En tandem avec le bras-droit d’Alphinaud, Illbert, elle filtrait des informations non seulement aux Monétaristes, en ayant infiltré la Grande Compagnie d’Ul’dah il y avait de cela fort longtemps, mais aussi à un groupe nommé les Hérétiques de la Horde de Dravania, des individus vouant un culte aux dragons, chose considérée comme étant illégale aux yeux de la religion d’Ishgard, une cité-état logée dans les hautes-terres du Coerthas.

Grâce à Ivy et à ses manigances, les ressources en provenance du Coerthas jusqu’au Mor Dhona furent coupées, les routes ayant été envahit par les hérétiques. Sir Aymeric de Borel, venant d’Ishgard, offrit son aide pour régler le problème. Ils apprirent qu’une mystérieuse femme nommée Dame Cœur-de-Glace était à la tête de ces hérétiques, et qu’elle avait l’intention d’appeler le Primordial de Sainte Shiva, une femme qui représentait leurs idéaux ; jadis, la légende voulait que Sainte Shiva soit tombé amoureuse d’un dragon, le grand et puissant Hraesvelgr, et cette union inspirait chez les hérétiques une fascination notable.

Portée par son plan, Cœur-de-Glace parvint à fuir. Elle détruisit l’éthérite – des pierres utilisant l’éther pour téléporter leurs utilisateurs – qu’elle utilisa pour empêcher quiconque de la suivre et de l’empêcher de mener à bien son plan. Afin de réparer l’éthérite et de poursuivre Cœur-de-Glace, Minfilia appela une ancienne amie à elle, Moenbryda. Celle-ci, en plus de réparer l’éthérite, annonça avoir une façon de tuer un Ascien une bonne fois pour toute. Ils avaient en effet plus ou moins découvert que les Asciens étaient des êtres constitués d’éther, et que cela les rendaient pour ainsi dire immortels. Moenbryda affirma avoir un moyen pour remédier à ce problème ; une auracite blanche, une pierre capable de renfermer une quantité phénoménale d’éther. Et, donc, l’âme d’un Ascien.

Priorités obliges, ils foncèrent à la poursuite de Cœur-de-Glace, qui s’était réfugié dans l’Amphithéâtre d’Akh Afah. Ils n’eurent cependant pas le temps de l’arrêter, et Cœur-de-Glace se transforma elle-même en Primordial, devenant une Shiva destructrice. Le Guerrier de la Lumière dû venir à bout d’elle pour lui rendre sa forme originelle et, vexée, Cœur-de-Glace maudit le Guerrier en disant qu’il gaspillait le don de « Mère ». Puisque le Guerrier semblait encore dans l’ombre au sujet de certains détails, elle lui proposa d’aller chercher le Gardien du Lac s’il tenait tant que ça à connaître la vérité. Elle s’éloigna ensuite, puis disparut.

Avec cette nouvelle information sous le bras, il était donc temps de rendre visite au Gardien du Lac. Sir Aymeric de Borel remercia les Héritiers pour leur aide avec le problème que représentait Cœur-de-Glace ainsi que ses hérétiques, mais au-delà des remerciements et des soulagements passagers, il y avait encore énormément d’interrogations dans l’air.

En attendant que les choses se tassent, les Braves du Cristal, sous la gouverne d’Alphinaud, se retrouvèrent dans la confusion lorsque Riol, un membre de confiance des Braves, commença à suspecter une trahison au sein des rangs. En effet, des cargaisons destinées aux Braves n’arrivaient guère. Une enquête se déroula alors que le Guerrier de la Lumière se rendait sur les terres du Gardien du Lac, où reposait la dépouille de Midgarsormr, le grand dragon-wyrm qui fut jadis vaincu lors d’une bataille contre un vaisseau Garlemaldais. Là-bas, le Guerrier de la Lumière perdit la bénédiction d’Hydaelyn, bien que temporairement, des suites de son affrontement avec Midgarsormr. Cette expédition aura permit au héros d’apprendre qu’une guerre menaçait d’éclater sur Ishgard, l’un des six enfants de Midgarsormr, Nidhogg, ayant poussé un rugissement pour appeler ses compatriotes à passer à l’action.

Peu de temps après, ils eurent la malchance d’entendre parler d’un nouvel Ascien ; Nabriales ; qui souhaitait s’emparer des restes de l’ancien sceptre de Louisoix Leveilleur, le Tupsimati. Il souhaitait s’en emparer pour sa puissance mais Minfilia refusa de coopérer. Les négociations furent interrompues par l’arrivée du Guerrier de la Lumière et de Moenbryda, mais l’Ascien n’ayant pas dit son dernier mot, il kidnappa Minfilia et blessa mortellement Moenbryda avant de s’esquiver dans une dimension parallèle appelée la Chrysalide, où le néant et les ténèbres régnaient en maîtres. Sans hésitation, le Guerrier de la Lumière fonça dans la brèche pour sauver son amie, laissant une Moenbryda mourante sur les sols du Refuge des Roches.

Des suites du combat, Moenbryda perdit la vie, non pas sans que son sacrifice soit en vain ; grâce à elle, Nabriales se retrouva scellé dans l’auracite blanche. Un Ascien en moins, mais combien d’autres à anéantir ? Ils pleurèrent leur amie, l’enterrèrent à proximité du Mor Dhona, puis furent appelés à aider Ishgard qui était sous l’assaut de dragons, ceux-ci ayant décidé de passer à la guerre. Alphinaud et le Guerrier demandèrent de l’aide auprès des Grandes Compagnies, mais celles-ci refusèrent catégoriquement, empirant la colère de l’élézen à leur sujet. Il estimait qu’ils n’avaient cure de l’Alliance qu’ils étaient supposés former, étaient égoïstes, et ne se préoccupaient que d’eux. Leur unique raison était qu’Ishgard s’était caché au-delà de ses murs lorsque le reste d’Éorzéa était en danger, et bien que ce fusse une bonne raison, ça n’en était pas une suffisante pour abandonner des innocents à leur sort.

Alphinaud décida donc de mener les Braves du Cristal ainsi que le Guerrier de la Lumière au Coerthas, où ils mèneraient bataille sur les Marches de la Foi, où le dragon Vishap avançait dans le but de détruire la porte isolant Ishgard du reste du monde, et ainsi laisser entrer ses wyvernes, dragons et autres semblables. Avec l’aide de Cœur-de-Glace, les dragons semblaient prendre le dessus, mais le Guerrier de la Lumière triompha en achevant Vishap et en repoussant les menaces alentours. Si la victoire était la leur, les forces Ishgardiennes essuyèrent de nombreuses pertes et étaient épuisées. Mais au moins, la cité-état était sauve.

Lorsqu’ils retournèrent au Refuge des Roches, le Guerrier de la Lumière fut tâché d’aider Tataru Taru, la secrétaire des Héritiers de la Septième Aube, à devenir une véritable aventurière plutôt qu’une simple gestionnaire de paperasses. Pendant ce temps, d’autres iraient aider un étudiant à observer l’éther dans la forêt de Sombrelinceuil. Alors que Tataru se décide à laisser tomber des suites de nombreux échecs, que ce soient en mineuse, arcaniste ou autre, l’étudiant dans la forêt découvrit le corps inerte de Wildred, un des membres des Braves de Cristal. Peu de temps après, Alphinaud découvrit que le tiers des Braves de Cristal avaient été corrompus par les Monétaristes d’Ul’dah – et plus directement Teledji Adeledji – et Riol, l’un des rares restés fidèles au jeune Leveilleur, dévoila que Wildred avait commencé à poser des questions, et que c’était pourquoi il avait été traîné dans la forêt et tué.

Pendant l’enquête, le Guerrier de la Lumière fut convoqué à un grand banquet à Ul’dah, accompagné des Héritiers. Avant d’y aller cependant, Alphinaud apprit qu’un nouveau Brave de Cristal était porté disparu. Sans savoir une seconde ce qu’il se passait à Ul’dah – la sultane Nanamo Ul Namo, en repas privé avec le Guerrier de la Lumière, venait d’être empoisonnée, dupant les gardes à croire que le Guerrier avait assassiné la sultane – Alphinaud faisait l’arrogant en discutant avec d’autres, mentionnant que les Grandes Compagnies étaient hypocrites à chercher l’aide de Sir Aymeric maintenant qu’ils étaient dans la panade, alors qu’ils avaient refusés d’aider Ishgard en temps souhaité. Il ignorait toutefois ce qui l’attendait vraiment.

Illbert, le second d’Alphinaud, dégaina l’épée et menaça son ancien leader de celle-ci, confirmant à l’élézen que la trahison était au-dessus de sa tête comme une épée de Damoclès. Tous les Héritiers de la Septième Aube furent arrêtés et accusés de conspirations contre le sultanat et du meurtre de Nanamo Ul Namo. En apprenant la mort de sa chère et tendre protégée, Raubahn perdit la raison et tua Teledji, avant d’être arrêté par Lolorito, un autre Monétariste. Il tenta de tuer le Lalafell, mais Illbert lui trancha un bras en l’arrêtant dans sa course, l’empêchant de mener à bien son attaque. En dépit de l’horreur de l’instant et de son démembrement, Raubahn exigea des Héritiers qu’ils prennent la fuite pendant qu’il ralentirait les troupes ennemis.

Ils parvinrent à fuir, non pas sans lourds sacrifices. La majorité des Héritiers – Thancred, Y’shtola, Papalymo, Yda et Minfilia – furent alors portés disparus, pour ne pas dire déclarés morts. Il ne restait plus qu’Alphinaud, le Guerrier de la Lumière, Urianger ainsi que Tataru. Profondément désespéré de ne pas avoir put « sauver Éorzéa » comme son grand-père le désirait tant, Alphinaud se mura dans un silence de mort alors que Cid nan Garlond et ses compagnons Biggs et Wedge venaient secourir ce qu’il restait des Héritiers de la Septième Aube avant que les traîtres ne parviennent à les rattraper pour les tuer.

L’humeur d’Alphinaud ne s’améliorant aucunement, il se mit à broyer sévèrement du noir, revoyant son attitude de tous les angles et se sentant extrêmement coupable des événements récent. Voyant l’état de son jeune ami, Tataru s’approcha de l’élézen et lui souffla des paroles somme toute bénignes, mais incroyablement réconfortantes pour le garçon.
« Tant qu’il y aura des Héritiers, l’aube brillera à nouveau. »

Puisqu’ils n’avaient plus aucun endroit où se rendre sans être arrêtés ou retrouvés par les Braves de Cristal, ils décidèrent de se rendre sur les terres du Coerthas, où Ishgard leur ouvrit les bras en remerciement pour leur aide. Ils se réfugièrent au manoir des Fortemps, une famille dignitaire d’Ishgard qu’ils avaient aidée par le passé. Puisqu’ils ne pouvaient pas se permettre de simplement crêcher là sans les remercier, le Guerrier de la Lumière offrit son aide au Lord Edmont de Fortemps, qui consentit à le laisser accompagner ses fils, Antoirel et Emmanellian. Il avait un autre fils, illégitime cette fois, Haurchefant, qui était un ami très proche du Guerrier. Celui-ci toutefois se débrouillait formidablement seul, aussi le Guerrier s’occupa des deux autres.

Pendant que le Guerrier de la Lumière vaquait à ses occupations, découvrant au passage l’existence du Primordial Bismarck – qui était le dieu des Vanu Vanu, un peuple vivant sur les îles flottantes d’Abalathia et de Dravania avec une apparence de hibou obèse anthropomorphe – mais également que Cœur-de-Glace vivait encore, Alphinaud et Tarutaru furent trouvés par l’autorité la plus haute d’Ishgard, les Chevaliers de l’Azur, et accusés d’hérésie. Ils cherchaient à en apprendre plus sur ce que faisait le Guerrier et, à tort bien sûr, ils furent accusés de travailler avec les hérétiques dont faisait justement partie Cœur-de-Glace.

Lorsque revint le Guerrier de la Lumière pour apprendre tout ceci, Alphinaud avait déjà tenté de demander de l’aide auprès de Sir Aymeric, mais celui-ci ne pouvait rien contre l’autorité des Chevaliers de l’Azur. Ils étaient donc obligés de prendre part à cette mascarade. Sir Grinneaux de Dzemael, l’un des Chevaliers, se présenta comme premier challenger en tandem avec l’un de ses frères d’armes. Tataru ne sachant pas se battre, le Guerrier de la Lumière prit sa place, et combattit aux côtés d’Alphinaud pour la première fois. Ils vinrent à bout de leurs bourreaux, à la grande déplaisance de Grinneaux qui ne semblait absolument pas apprécier la présence du Guerrier de la Lumière et de ses petits copains en Ishgard.

Le combat remporté, Alphinaud et Tataru furent libérés, et purent communiquer au Guerrier les rumeurs qu’ils avaient entendues. Ils avaient eut la chance d’entendre qu’il était possible de libérer Raubahn, leur ami qui avait été enfermé des suites de l’épisode du banquet d’U’dah. Le Général était supposé être exécuté dans les profondeurs du donjon d’Halatali, un lieu d’entraînement pour la Grande Compagnie d’Ul’dah. Ensemble, ils sauvèrent Raubahn, et emmenèrent l’ancien Général au Refuge des Sables dans la Baie des Vêpres, où ils trouvèrent Urianger, Papashan – un gladiateur d’Ul’dah – ainsi que Dewlala Dewla – un membre du Syndicat d’Ul’dah – qui révélèrent une incroyable surprise ; Nanamo n’était pas morte, mais plongée dans un profond sommeil.

Ils apprirent en effet que Lolorito, connaissant les projets de Teledji, avait payé la dame de compagnie de Nanamo pour remplacer le poison par un puissant somnifère afin de passer outre le plan d’assassinat des Monétaristes. Une certaine célébration s’ensuivit, le bonheur et le soulagement étant à son comble, mais tout fut de courte durée lorsque Tataru entendit parler de la Horde Dravanienne qui se dirigeait vers Ishgard.

Alphinaud et le Guerrier décidèrent donc de laisser Raubahn retourner au chevet de Nanamo pendant qu’eux retourneraient à Ishgard. En route, Alphinaud partagea ses impressions comme quoi il était convaincu que Cœur-de-Glace était la clef pour arrêter la guerre entre les Ishgardiens et les Dragons avant que les deux ne s’entretuent jusqu’à l’annihilation totale. Ils se mirent donc à la recherche de Cœur-de-Glace, accompagnés depuis peu par Estinien, le Dragon Azur, un chevalier dragon cherchant à se venger de Nidhogg pour avoir mis à feu et à sang son village natal. Il possédait l’œil de Nidhogg, une arme à ne pas sous-estimer contre le dragon lui-même.

Lorsqu’ils retrouvèrent Cœur-de-Glace, qui leur expliqua qu’il était tout à fait inutile de négocier avec Nidhogg. Il avait une haine sans pareille contre toutes races qu’il jugeait inférieure à la sienne. Cœur-de-Glace suggéra donc d’aller discuter avec un autre fils de Midgarsormr, Hraesvelgr, qui portait davantage les mortels dans son cœur. Il s’agissait, après tout, du grand dragon-wyrm qui était parvenu à tomber amoureux de Sainte Shiva, et Cœur-de-Glace avait bon espoir d’être dans ses bonnes grâces.

Pendant le cheminement, Cœur-de-Glace dévoila son véritable nom : Ysayle. Pendant tout le voyage, Ysayle et Estinien n’avaient de cesse de se chamailler au sujet des intentions des dragons, Ysayle souhaitant les protéger et Estinien désirant les anéantir. Alphinaud essayait tant bien que mal de calmer les choses, mais ce n’était pas si simple. Un nouveau problème pointa le bout de son nez en plus avec la tribu des Gnathes, des créatures insectoïdes dotées d’intelligence, qui avaient invoqués leur Primordial, Ravana. Ils souhaitaient profiter de la guerre entre les Ishgardiens et les Dravaniens – dragons – pour attaquer Ishgard et se venger de cette unique fois où un chevalier ishgardien avait eut la mégarde d’abattre un dragon et de diriger sa carcasse dans les ruches gnathes, détruisant leur demeure.

Ravana vaincu par les efforts du Guerrier de la Lumière, ils parvinrent jusqu’à Nid Mog, où, comme on pourrait rapidement le déduire, des mogs vivaient. Après quelques basses tâches – Alphinaud se souviendra longtemps avoir été traité comme un moins que rien en allant vulgairement chercher du bois – ils gagnèrent la confiance des mogs qui, aujourd’hui, protégeaient les dragons. Ils eurent donc le droit de récupérer un cor qui permettait d’appeler Hraesvelgr.

Malheureusement, la rencontre ne se déroula pas aussi bien que prévu. Le dragon-wyrm n’avait absolument aucune envie d’aider de vulgaires mortels. Alphinaud apprit la véritable histoire de Sainte Shiva et de ce qui démarra réellement la guerre entre Ishgard et les Dravaniens. Il était vrai que, selon la légende, Sainte Shiva avait été dévorée par son tendre aimé, Hraesvelgr, pour signer la paix entre les deux nations, mais ce traité silencieux fut brisé par un homme avide de puissance : le roi Thordan I. En entendant parler de la puissance extraordinaire que les yeux de dragon apportaient à leur possesseur, le roi tua Ratatoskr, la sœur de Nidhogg et Hraesvelgr. Lui et ses chevaliers de jadis dévorèrent les yeux pour devenir plus puissants, et depuis, cette trahison était le carburant pour la haine inépuisable du dragon aux écailles noires.

Ysayle tenta d’utiliser la méthode douce en disant qu’elle était Shiva, mais cela ne fit qu’enrager davantage le dragon-wyrm qui la maudit en lui disant qu’elle n’était qu’une vulgaire ombre de ce qu’était sa bien-aimée. Il refusait de les aider à vaincre Nidhogg, par affection pour sa fratrie, tout comme il était hors de question qu’il prenne part à la quête de vengeance de son frère par amour pour sa Sainte Shiva, quand bien même cela faisait maintenant plus de mille deux cent ans qu’elle avait quitté ce monde.

Comprenant qu’ils ne pouvaient que compter sur eux-mêmes, Estinien déclara devoir tuer Nidhogg lui-même étant donné son statut de chevalier dragon, et décida de pénétrer dans le domaine du dragon-wyrm, l’Aire. Alors qu’ils se préparaient, le groupe entendit parler du réveil de Nanamo, au soulagement de Raubahn mais également du reste des Héritiers – pour ce qu’il en restait. Ils apprirent aussi via Lolorito que l’Empire Garlemaldais menaçait de mener une attaque sur Éorzéa, laissant Alphinaud se lamenter sur l’idée que c’était précisément ce qu’il aurait voulut pouvoir vaincre avec les Braves de Cristal à sa suite. Plutôt que de pleurer sur la nostalgie et ses erreurs, il décida de n’être qu’un Héritier de la Septième Aube, ni plus, ni moins.

Après quoi le Guerrier de la Lumière et Estinien se rendirent dans l’Aire pour tuer Nidhogg. Si la chose fut exécutée avec brio, il y avait encore une ombre au tableau. Ils retournèrent à Ishgard pour voir que les Hérétiques mettaient la ville à sac. Haurchefant et Ysayle tentaient de calmer le jeu, mais tout ne semblait que chaos. Ils eurent tôt fait de se rendre au manoir des Fortemps, où le Guerrier de la Lumière révéla avoir eu une vision du passé grâce à l’Echo. La fondation même d’Ishgard était un puissant mensonge, perpétré par le premier roi qui dévora les yeux de Ratatoskr. Les écrits de l’église de la Sainte-cité disaient que la guerre avait été commencée par les dragons alors, qu’après tout, cette histoire avait commencée par la soif de pouvoir du roi Thordan I.

Sir Aymeric décida de confronter l’Archevêque Thordan VII au sujet de cette histoire. Les choses ne se déroulèrent pas comme prévu bien sûr, et Aymeric se retrouva enfermé dans la Voûte, une section de l’église d’Ishgard, pour trahison et hérésie. Puisque la vérité au sujet de la guerre entre les Ishgardiens et les Dragons commençaient à faire surface, Thordan VII ordonna à ses pairs d’occire quiconque pourrait connaître la vérité. Alphinaud et le reste des Héritiers décidèrent bien sûr de secourir Aymeric, mais ce n’était pas si aisé de pénétrer dans la Voûte, comme son nom l’indiquait si clairement.

Avec l’aide d’un groupe révolutionnaire de Brouillasse, la section d’Ishgard moins aisée – pour ne pas dire le quartier des pauvres – ils parvinrent à se frayer un chemin dans la prison de l’église. Ils ne parvinrent pas à arrêter l’Archevêque cependant, qui prenait déjà la fuite. Alors qu’ils tentaient de rattraper l’individu, l’un des Chevaliers de l’Azur, sir Zephirin de Valhourdin, attaqua Aymeric en traître dans l’objectif de l’assassiner. Haurchefant s’interposa cependant et prit le coup à sa place, mourant dans les bras du Guerrier. Thordan VII parvint à fuir, laissant derrière lui une seule indication quant à l’endroit où il se dirigeait : Azys Lla. Ce nom ne disait absolument rien au Guerrier ni même à ses proches, aussi Alphinaud ne put l’éclairer à ce propos.

Ils découvrirent que Azys Lla était une île artificielle jadis créée par le peuple, aujourd’hui éteint, des Allagois. Ils avaient une technologie incroyable, malheureusement perdue pour la majorité. L’endroit était considéré comme étant interdit par les Vanu Vanu qui guidèrent les Héritiers dans cette direction. Ils entendirent parler d’une clef située dans un sanctuaire sur une île flottante, une clef permettant d’entrer sur l’île, mais avant de pouvoir l’atteindre, Bismarck décida qu’il avait une petite faim, et jaillit d’entre les nuages pour avaler l’île, ni une ni deux. Ils devraient donc combattre Bismarck pour récupérer la clef, mais en dépit de la victoire sur le dieu de la mer des nuages, l’Archevêque paraissait attendre que quelqu’un se salisse les mains à sa place, car l’un de ses sbires arracha la clef au Guerrier de la Lumière et prit la fuite.

Ils tentèrent de passer la barrière d’Azys Lla sans la clef, mais c’était inutile. Ils retournèrent donc à Ishgard où Tataru leur apprit qu’ils avaient des pistes sur l’emplacement de Y’shtola. Elle était parvenue à se téléporter avant que le tunnel d’où ils tentaient de fuir ne s’effondre, et avec l’aide des Padjals de Gridania – un peuple profondément lié à l’éther de la forêt de Sombrelinceuil – ils parvinrent à ramener Y’shtola du courant de l’éther. Même s’il n’oserait pas le dire à nouveau aujourd’hui, Alphinaud se souviendrait longtemps de cet épisode, Y’shtola ayant reparu devant eux nue comme lors de son premier jour.

Lorsque Y’shtola eut reprit ses marques, elle proposa d’aller voir son ancien mentor pour trouver une façon de percer la défense d’Azys Lla ; Matoya. Ils voyagèrent donc dans l’Arrière-pays Dravanien pour trouver la grotte où vivait Matoya, non pas sans un petit détour pour discuter avec les gobelins du coin qui souhaitaient fonder une ville nommée Idyllée pour les voyageurs. En dépit de son mauvais caractère, du fait qu’elle connaissait – et méprisait gentiment – Louisoix et qu’elle crut que Alphinaud était Alisaie de prime abord, Matoya consentit à les aider. Elle connaissait une façon de percer la barrière d’éther mais pour ça, ils devaient aller chercher un livre spécial, que le Guerrier alla chercher dans l’ancienne bibliothèque de Gubal. Chose faite, Matoya les informa qu’ils devraient créer une sorte de perceuse d’éther pour passer la barrière.

Puisque pour la faire fonctionner, il fallait une grande source d’énergie, Alphinaud songea à l’œil de Nidhogg qui était une source formidable d’éther. Ils allèrent donc chercher Estinien avant de se préparer et d’améliorer l’Entreprise, qui devint l’Entreprise Excelsior. Ils se rendirent à Azys Lla, seulement pour être intercepté par une armée Garlemaldaise. Il s’agissait de l’armée dont Lolorito avait parlé auparavant. Ils foncèrent alors sur la barrière en espérant passer avant que l’armée ne détruise le vaisseau, mais la puissance de l’œil commença peu à peu à consumer Estinien, et les choses semblèrent désespérées.

Dans un souci de réussite, Ysayle se transforma en Shiva à nouveau, donnant sa vie pour lutter contre le vaisseau Garlemaldais. Elle tomba ensuite, perdant la vie pendant la bataille mais permettant au groupe de gagner du temps. Brisé par la perte de leur nouvelle amie, Alphinaud hurla son nom avec désespoir, mais rien n’y fit ; Cœur-de-Glace était morte, défendant une cause qu’elle estimait juste. Ils passèrent la barrière d’Azys Lla peu après, laissant le vaisseau Garlemaldais derrière la barrière impénétrable.

Afin de pouvoir retrouver Thordan et le reste de son escadron rapprochée, le Guerrier de la Lumière nettoya le Laboratoire de Magismologie, où il rencontra deux Asciens désireux d’utiliser la puissance de l’Echo – la vraie puissance – pour fusionner ensemble et anéantir le Guerrier. Ce dernier les détruisit cependant, avant d’être confronté par Thordan VII qui était venu sur place pour utiliser les yeux et adopter une forme de Primordial, pour ainsi devenir un roi-dieu qui règnerait sur Éorzéa, forçant la paix sur le peuple en utilisant la force de la peur. Naturellement, le Guerrier de la Lumière ne comptait pas laisser ceci se dérouler.

Armé des deux yeux de Nidhogg, Thordan et ses sbires adoptèrent une forme ultime, mais le Guerrier parvint à venir à bout de leurs plans maléfiques. Estinien arriva juste alors pour récupérer les deux yeux, mais la puissance de ceux-ci étant trop grande pour le Dragon Azur, l’homme se retrouva submergé et devint un nouveau réceptacle pour Nidhogg qui vit là une occasion d’assouvir sa vengeance en utilisant le corps physique de l’homme qui avait tant souhaité sa mort jusqu’à présent.

En dépit de cette catastrophe, ils avaient encore des choses à régler. Alphinaud et ses compagnons mirent en place des funérailles pour dire au revoir plus proprement à leurs amis, et creusèrent une tombe au nom d’Haurchefant. De son côté, Midgarsormr demanda à Aymeric, maintenant à la tête d’Ishgard, s’il souhaitait la paix. Evidemment, le peuple d’Ishgard répondit positivement, signant ainsi, semblerait-il, une paix entre les Ishgardiens et les Dravaniens pour la première fois depuis longtemps. Mais dans l’ombre, bien entendu, de nombreux problèmes se préparaient encore. Cette histoire était loin d’être terminée. Après tout, ils devaient encore libérer Estinien, et retrouver les autres Héritiers.

De par sa dévotion pour son ami, Alphinaud déclara sans aucune retenue qu’il libérerait Estinien de l’emprise de Nidhogg, même si pour cela, il devait y laisser sa vie. De lourdes paroles, mais pleine d’affection et de motivation. En compagnie d’Aymeric et du Guerrier, ils retournèrent voir Hraesvelgr. Il refusa de les aider de prime abord, mais plutôt que de rester catégoriquement fermé cette fois, il décida de les tester. Ils durent passer au travers Sor Khai, l’ancien domaine de Ratatoskr, avant de combattre individuellement contre un dragon chacun. Le Guerrier lutta contre Hraesvelgr lui-même, là où Alphinaud dû se battre contre Vidofnir, l’une des filles du dragon-wyrm. Le tout se déroula impeccablement, et Hraesvelgr accepta de les accompagner.

Une longue bataille s’ensuivit entre les dravaniens et les ishgardiens. Hraesvelgr perdit la bataille contre son frère, mais le Guerrier et ses compagnons prirent Nidhogg de revers et s’ensuivit alors une pénible bataille. Pourtant, Nidhogg fut enfin mit au tapis, Estinien, retrouvant ses moyens, demanda à ses amis de le tuer pour qu’il ne soit plus possédé. Refusant catégoriquement, Alphinaud proposa plutôt d’arracher les yeux de son corps – non pas ses yeux à lui bien sûr, mais bien les yeux de dragon qui étaient implémentés sur son armure. Malgré le danger que cela représentait, Alphinaud et le Guerrier y arrivèrent, avec l’aide des esprits d’Ysayle et Haurchefant pour les soutenir dans leurs efforts. Estinien fut libéré, et bientôt, Nidhogg sembla être une histoire ancienne.

Estinien sombra dans un certain coma, et Alphinaud resta à son chevet jusqu’à ce qu’il récupère. Aymeric jugea qu’il se sentait proche du chevalier dragon parce qu’il le considérait comme une sorte de grand frère qu’il aurait souhaité avoir, ce qui n’était pas tout à fait faux. Un élézen aux cheveux cendrés, protecteur et fort à la fois, un peu arrogant. Il fallait bien admettre que ça correspondait.

Maintenant que la guerre entre les dragons et les ishgardiens était terminé, le groupe devait se concentrer sur les plans des Asciens. Ils n’eurent guère vraiment l’opportunité d’y réfléchir qu’un conflit de taille pointa le bout de son nez, des Guerriers des Ténèbres. Ils venaient d’une dimension parallèle à Éorzéa – une sorte de « seconde » Éorzéa – et escomptaient occire le Guerrier de la Lumière de ce monde-ci pour condamner Hydaelyn, qu’ils estimaient être responsables de la destruction de leur Éorzéa.

Alphinaud retrouva peu de temps après sa sœur jumelle, Alisaie, qui espionnait les Guerriers des Ténèbres mais se fit repérer. Gravement blessée, elle fut récupérée par Thancred, qui l’emmena au manoir des Fortemps où Alphinaud veilla sur elle. La jeune femme leur apprit que Garuda allait bientôt être invoquée à nouveau par les Ixals, dans les terres de Xephaltol, leur domaine. Le Guerrier de la Lumière se rendit sur place pour arrêter les plans des Ixals, et des suites de ces aventures, Alisaie décida de se joindre aux Héritiers de la Septième Aube plutôt que de faire comme jadis, et de rester sur le banc pour voir les choses se développer depuis l’ombre.

Ils luttèrent à nombreuses reprises contre les Guerriers des Ténèbres, jusqu’à finalement les anéantir une bonne fois pour toute grâce à l’intervention d’Alisaie. Cette résolution permit de renvoyer les Guerriers dans une autre Éorzéa sous la protection de l’âme de Minfilia qui, des suites des événements du banquet d’Ul’dah, était devenue le porte-parole d’Hydaelyn en quelques sortes. Elle disparut ensuite, laissant derrière elle le reste des Héritiers. En retournant au Refuge des Roches, ils discutèrent de qui pourrait prendre la tête des Héritiers, et si Alphinaud fut proposé, le jeune homme, complètement vacciné depuis l’épisode des Brades de Cristal, refusa. Du coup, ils décidèrent qu’ils pouvaient se gérer seuls, sans avoir de leader attitré.

Par la suite, ils retrouvèrent Yda et Papalymo qui se cachaient parmi des militants Mhigois. L’ancienne cité-état d’Ala Mhigo était une force extrêmement puissante jadis, avant que l’Empire Garlemaldais ne la piétine. Aujourd’hui, nombreux étaient les mhigois qui désiraient retrouver leur cité de jadis. Les Héritiers se faisaient du souci parce qu’une figure dominante appelée le Griffon faisait de longues et larges promesses au peuple mhigois, et cela menaçait d’éclater en conflit.

Plus tard, ils entendirent parler du plan du Griffon ; il comptait attaquer la Muraille de Baelsar, qui servait de barrière entre Sombrelinceuil et l’ancienne Ala Mhigo. Les Héritiers se rendirent sur place afin de l’arrêter, et si le Guerrier eut raison de lui, le plan du Griffon était toujours en fonction. Celui-ci, qui se révéla être nulle autre qu’Illbert, ce qui suscita une haine notable en Alphinaud. Mais l’homme, de toute façon, perdit la vie dans le combat. En mourant toutefois, il enclencha son terrible plan ; créer un nouveau Primordial avec l’aide des yeux de Nidhogg – qu’il avait récupéré dans la mer des nuages, où ils avaient été jetés par le Guerrier et Alphinaud.

Ils ne purent arrêter Illbert, si bien que Papalymo, utilisant le sceptre de Louisoix, donna sa vie pour sceller le Primordial dans une sphère d’éther. Le procédé tua le Lalafell dans le processus, blessant profondément Yda qui ne jurait que par la présence de Papalymo à ses côtés depuis si longtemps. Malheureusement, les efforts de Papalymo ne furent pas totalement victorieux ; le Primordial menaçait de se libérer, bien que très lentement. Ils devraient donc songer à une façon de détruire cette force incroyable qui promettait d’être encore plus puissante que le Bahamut qui était venu à bout de Louisoix et de nombreux autres soldats auparavant. La menace planait lourd jusqu’à ce qu’un allié inespéré ne pointe le bout de son nez : Nero Tol Scaeva.

L’individu était un ancien suivant de Gaius van Baelsar. Maintenant sans travail depuis longtemps, il avait décidé de prêter main forte aux forces éorzéennes plutôt que de chercher à les entraver. Même si c’était extrêmement louche, ils décidèrent de lui faire confiance, et il proposa une solution des plus soudaines : Omega. L’Omega Arma était une arme enfouie depuis longtemps, plus puissante encore que l’Ultima Arma. Elle aurait certainement la puissance de venir à bout de ce nouveau Primordial. Bien qu’ils furent tous très soucieux des conséquences de l’utilisation d’une machine de cette envergure, c’était là leur seule option, aussi décidèrent-t-ils d’y avoir recours.

L’Omega Arma s’activa comme prévu, et pourchassa violemment le nouveau Primordial qui sortit de son cocon de lumière. A priori, elle parvint à son objectif, mais elle fut rapidement perdue dans la nature. Ils ne surent guère ce qui était arrivé de la machine allagoise, mais une chose était sûre ; le Primordial avait été abattu. Yda put le confirmer, car le tatouage qu’elle avait sur le cou, un tatouage que tous les Héritiers avaient pour souligner leur allégeance, disparut, preuve que ce qu’il restait de Papalymo – le cocon de lumière – s’était éteint.

Maintenant seule, Yda n’avait plus de raison de se cacher. Elle retira le masque qu’elle portait depuis le départ – littéralement – et dévoila non pas être Yda, mais Lyse. Sa sœur aînée, Yda, était morte pendant la révolte d’Ala Mhigo, et elle avait prit son identité pour adopter sa bravoure et son courage. Elle voulait transporter ses idéaux et libérer Ala Mhigo en son nom. Personne ne sembla vraiment surpris cependant, aussi la révélation fut accueillie avec compréhension. Maintenant que la menace des dragons était terminée, maintenant que le Griffon avait été éliminé, et maintenant que la paix semblait revenue, il y avait donc encore une chose à faire : libérer Ala Mhigo.

Après ce combat, ces combats, même, Alphinaud retourna au Refuge des Roches rejoindre sa sœur. De nombreux autres affrontements les attendaient, mais pour l’heure, ils pouvaient déjà se reposer. La suite de l’histoire n’est que brouillard, cependant, pour Alphinaud. Il vécu certainement de nombreuses aventures, la plupart d’entre elles riches en émotions, positives ou négatives. Avec l’âge, il oublia une partie de ce qu’il avait traversé. Et un jour, il s’éteignit. Quand ? Pourquoi ? Difficile à dire. Une chose était sûre, il fut bercé d’une chaleureuse et ravissante lumière qui lui promit un renouveau certain, déchargé du fardeau que son grand-père avait involontairement posé sur ses jeunes épaules. Peu importe comment il s’éteignit, ce fut avec pureté, sagesse, et calme.

Éorzéa était sauvée. Oui, ça, il en avait la certitude.

Lorsqu’il revint à lui, il venait d’être bercé par une nouvelle lumière. Moins douce, toutefois accueillante. Elle le guida jusqu’à une contrée dont il ne savait rien, et lorsqu’il rouvrit les yeux pour la première fois depuis certainement un moment, Alphinaud put contempler un paysage des plus extraordinaires. Debout sur la plaque des souvenirs de Guadosalam, il put contempler ce qu’il croyait être un amoncellement incroyable d’éther. Quoi d’autres pourrait donc créer un paysage aussi bien féerique qu’irréel ? Il l’ignorait totalement, mais peut-être que c’était ainsi, au sein du courant de l’éther ?

Une voix l’interpella pourtant. Peut-être était-ce simplement une autre aventure qui démarrait pour lui…

Test rp

X

Et pour finir...

Quelques questions vous concernant:
• Votre vrai prénom dans la vraie vie? : Trisha.
• Votre âge? : 24 ans.
• Comment avez-vous connu FF Rebirth? : Un joli caillou m’a guidé, une fois, il y a longtemps.
• Avez-vous lu toutes les règles? Y a t'il des choses que vous n'avez pas comprises? : Tranquille, depuis le temps mdr.
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