Victorique De Bastille

• Monde d'origine: Dol
• Nom: De Bastille
• Prénom: Victorique
• Âge: 21 ans
• Avatar utilisé: Rachel Alucard de Blazblue. Le site ne donnait pas d'auteur.


• Alignement: Guerriers des Ténèbres

• Description physique:

Victorique possède un visage plutôt rond, voire même poupin. Elle tend à paraître plus jeune qu'elle ne l'est réellement. Ses larges pommettes ne l'aident en rien à paraître son âge. Il serait judicieux d'éviter de lui pointer ce fait. Les traits de son visage sont quant à eux filiformes avec un nez légèrement retroussé venant lui octroyer un léger air de malice. Ses yeux aux iris rouges sont d'un naturel perçants, bien que demeurant relativement grands. Somme toutes, son visage délicat, en plus de sa blancheur presque surnaturelle lui donnent pratiquement l'apparence d'une véritable poupée de porcelaine. En fait, elle parvient à très bien en tenir l'illusion, de sorte que plus d'un s'en trouverait dupé aux premiers abords. Cette blancheur est fruit d'être une personne fort peu active, ayant usé de sa magie autrefois afin de se permettre une vie aisée. Fruit de cette vie sédentaire, son corps est pour ainsi dire presque complètement dépourvu de musculature. Fort heureusement, un métabolisme rapide vient lui sauver la mise pour lui éviter de ressembler à une baleine.

Malheureusement, ce même métabolisme ne lui aura pas empêchée d'être restée pour ainsi dire très petite pour demeurer dans la politesse. Du bas de son mètre quarante environ, jamais elle n'aura la chance de prendre place dans quelque manège que ce soit. Ses moyens pour se faire grandir, qu'il s'agisse de ses bottes à plate-formes ou encore d'une posture exemplairement droite, rien n'y fait vraiment pour se donner une taille respectable pour une femme de son âge. Ni bien grande, ni bien large, elle saurait aisément se faire passer pour une enfant, d'autant que cela lui arrive aussi quand elle n'essaie même pas. À son grand désarroi une fois de plus, ses proportions menues lui ont aussi apportée une poitrine discrète, cause de quelques complexes, qu'elle dissimule généralement derrière un immense ruban rouge. Sa longue chevelure blonde platine (compensation?), lorsqu'elle est attachée, lui arrive jusqu'au bas du dos, séparée en deux immenses nattes de chaque côté de sa tête, attachées elles aussi par des rubans papillons noirs. Libres cependant, ses cheveux cascadent jusqu'au niveau de ses genoux.

Pour ce qui est de ses préférences esthétiques, elle semble vouer un grand intérêt pour les tons sombres et saturés. Elle se trouve généralement vêtue de longues robes noires et parfois de corsets ou d'une large cape d'un intérieur rouge. Elle se plaît à se vêtir d'apparats classiques et riches, adorant entre autres la dentelle et autres décorations semblables. Elle laisse rarement de la peau exposée autre que son visage et ses mains, et même encore aime-t-elle porter de longs gants noirs de plus, qu'ils soit avec ou sans doigts. Elle ne sort jamais sous le soleil sans avoir avec elle sa grande ombrelle noire, contribuant encore davantage à son teint quasi éthéré. Quant à son arme, il ne s'agit pas d'un objet, mais d'un être vivant. Toujours accompagnée de cette créature au physique singulier, Pooki, oui, c'est le nom, qu'elle lui a donné, suit toujours sa maîtresse avec une loyauté de canin. Cette petite bête ailée est d'un rouge écarlate sur l'entièreté de son corps potelé. Il fait plutôt penser à une grosse chauve-souris rouge obèse, d'ailleurs que ses bras sont ces deux minuscules ailes à membranes. Il est très facile de le prendre pour inoffensif, mais dans les mains de Victorique, il s'agit d'une arme redoutable. À l'aide de petits enchantements par-ci par-là, elle arrive à canaliser des sorts de base à travers du corps de son compagnon, et ainsi le projeter sur ses ennemis. Ce stratagème peu orthodoxe a pour avantage de faire en sorte de lui permettre de mieux projeter ses sorts, elle qui n'est absolument pas sportive et ne possède pas réellement de qualités de guerrière.

• Description psychologique:

La modestie n'est certainement pas le fort de Victorique, même quand la situation dans laquelle elle se trouve n'a rien de glorieux. Elle fait de son mieux pour conserver les apparences et va jusqu'à utiliser le bluff à son avantage quand elle reconnaît que la situation devient réellement dangereuse. La demoiselle est fort caractérielle et lunatique, et ne se gêne pas pour dire le fond de sa pensée, mis à part bien sûr si elle doit maintenir une façade face à quelqu'un pour la manipuler un peu. Quand elle désire quelque chose, elle se ferme immédiatement à toute négation pour faire mine de n'avoir rien entendu ou tout simplement se mettre en colère. Elle s'est grandement habituée au confort que lui offrait son ancienne vie, ce qui fait d'elle un très mauvais compagnon de voyage par la présente. Moustiques, humidité, sécheresse, chaleur, froid, saleté, les plaintes de sa part ne tarderont pas à fuser alors pour ce qui est de dormir en extérieur... Elle tente de maintenir une façade de femme indépendante et mature, mais au final, force est de constater que beaucoup diront d'elle qu'il s'agit d'une gamine pourrie gâtée avec un sale tempérament une fois côtoyée trop longtemps, surtout quand on assiste à une scène de sa part se roulant au sol en faisant une crise de gamine au supermarché dont les parents ne veulent pas acheter sa collation favorite. Malgré ses meilleurs efforts, sa nature enfantine finit par reprendre le dessus tôt ou tard, que ce soit par sa curiosité maladive ou encore sa quasi obsession pour les mets sucrés de toute nature.

Elle se force à utiliser un langage soutenu en tout temps, et y arrive généralement quand elle est calme. Par la même occasion, elle se réfère à elle-même à la deuxième personne du pluriel, et insiste pour que l'on place les mots «mademoiselle» ou «dame» quand on s'adresse à elle, une marque de politesse essentielle à son avis. En retour, elle sait se montrer plutôt polie dans les bonnes conditions. Elle se trouve de nature plutôt égoïste. Sans vraiment chercher à faire du mal aux gens, elle n'est jamais tourmentée longtemps par le fait que ses actions puissent avoir des impacts négatifs. Elle en est venue à ne pas vraiment prendre en compte les sentiments des autres quand elle agit et, par conséquent, il lui arrive de les froisser sans le vouloir. Puisse ce genre de situations survenir, elle ressentira un malaise sur le coup, mais ce sera rarement de quoi l'empêcher de dormir la nuit. Dans tous les cas, il y a trois catégories de personnes à ses yeux; ceux qui peuvent lui être utiles et ceux qui se trouvent être de véritables boulets, et finalement ceux qui possèdent un je-ne-sais-quoi qui la pousse à éprouver un intérêt envers eux malgré sa raison.

Cependant, malgré le fait qu'elle semble avoir peu d'égards pour les gens qui l'entoure, elle se retrouve très vite désemparée quand une personne la rejette ou l'ignore. Lors de ces situations, il lui arrive parfois de poser des gestes plus irréfléchis qu'à son habitude dans le seul espoir d'obtenir l'attention. Même sans le montrer aux premiers abords, elle possède une véritable phobie d'être abandonnée imprégnée en elle, même si cela veut dire de s'associer avec des êtres peu recommandables. Sa moralité est plutôt malléable après tout, même si elle ne possède pas un fond bien malicieux. D'accord, elle agit pour son propre bonheur, mais cela n'exclut pas de vivre son bonheur avec une autre personne... Ce qui mène au fait que, justement, quand une personne se porte trop directe, elle optera pour une réaction contraire et aura tendance à se distancier, voire même de se montrer désagréable sans pour autant le penser. Les contacts humains auront toujours conservé une part de mystère pour elle, et elle n'est pas des plus adroites dans ce domaine. Comme elle agit très souvent dans un but égoïste, quoi de plus normal qu'elle pense de même des autres et se montre somme toutes méfiante.


La délicieuse petite communauté de Winhill. Florissante, charmante et accueillante. Si vous n'aviez pas décelé le sarcasme dans ces paroles, alors nous vous plaignons avec une profonde sincérité, car il saute aux yeux que vous ne viviez pas ici. En réalité, il n'y aura pas plus ennuyeux que ce petit village perdu. Jamais n'aurions-nous su nous habituer aux odeurs qui émanent de ce lieu campagnard. Peut-être notre opinion sur cet endroit était-il biaisé, tout est souvent question de perspective après tout. Il ne nous aura pas été rare de devoir demeurer pendant de longues périodes de temps au lit en raison d'un état de santé précaire. Un sale tour du destin aura fait en sorte que nous possédions une santé fragile et un corps faible, ce qui n'était décidément pas de chance pour une vie de campagne. Passer de longues journée à contempler le même ciel comme les mêmes étoiles tout en tentant d'imaginer à quoi les lumières des villes devaient ressembler. Voilà un endroit qui serait digne d'intérêt. Leur taille immense et imposante, le fait que l'on puisse s'y perdre si aisément, la solitude malgré le flot humain incessant n'était pas un désavantage pour nous. Nous n'aurons pas été de celles à se plaire à demeurer en compagnie des autres enfants de notre âge pour moultes raisons diverses, allant de mon inaptitude à participer à leurs jeux sans devoir passer une autre longue période de temps clouée au lit jusqu'à des intérêts fort divergents.

La seule chose qui nous aura littéralement sauvée d'une mort causée par l'ennui sera les livres sous toutes leurs coutures. Félicité du destin, nous aurons au moins reçu la clef de la librairie du village à force de visites brisant tous les records. Il s'agissait également du seul endroit où nous ne pouvions entendre les plaintes incessantes de ces atroces volailles géantes. Ces chocobos, nous aurons souvent fantasmé étendre nos mains autour du coup de l'une de ces sales bêtes et de le lui tordre. Heureusement pour eux, nous aurons été élevée dans le civisme, ce qui nous poussaient à tolérer l'intolérable. Couvée depuis notre jeunesse à Winhill, rien ne la retenait vraiment ici en fin de compte, et souvent nous espérions avoir la chance de s'en aller très loin. Pour un si petit village auxquels on y rattache forcément la croyance comme quoi tout le monde s'y connais, nous voilà exister ici d'une façon bien solitaire.

Un vent différent venait cependant s'annoncer. Nos périodes de maladie de plus en plus courtes et espacées, nos demandes répétées de pouvoir finalement voyager loin d'ici n'étaient plus tout aussi vites écartées. Notre aspect studieux nous aura au final bien servie, car les conversations au sujet d'universités commençaient à poindre le bout de leur nez. Tout autant d'inquiétudes et de dénis, mais il s'agissait déjà là d'un début. Le premier obstacle en était un de taille, et c'était bien sûr de faire le voyage jusque là-bas. Notre première vie d'indépendance, sous les bons soins de la TGU évidemment, nous ne pouvions nier qu'il s'agissait d'une expérience tout aussi effrayante qu'excitante. À notre arrivée, nous pouvions difficilement nous douter d'à quel point tout serait.. Différent. L'air, l'atmosphère, tout bonnement tout, et pour autant que c'était un spectacle impressionnant, l'assaut de toutes ces visions et ces sons en était étourdissant. Un phénomène semblable à Winhill se sera toutefois produit. Des élèves qui se trouvaient ici, seules les fois où il avait été absolument nécessaire avons-nous daigné leur adresser la parole, situations qui se présentaient plus souvent qu'au village, c'est certain. C'était une vie relativement tranquille dans un lieu qui ne l'était pas. Pour une fois au moins, l'ennui ne se trouvait plus être un problème.

Ce sera un peu plus tard que les choses seront devenues plus... Surréelles. Au retour à notre propre dortoir, une étrange masse rouge entra en collision avec nous au détour d'un couloir. Tombée au sol, nous tentions de comprendre ce qui venait de se produire. Le croisement entre un pudding et une chauve-souris nous regardait directement dans les yeux, en proie de tremblements. Une voix fusa plus loin, et cette chose prit encore plus peur, jusqu'à même se jeter sur nous pour trouver refuge. Un cri strident vint presque nous faire saigner des oreilles. Une hystérique arriva et nous arracha la gélatine rouge des mains. Cette commotion avait entraîné la curiosité d'autres étudiants, plus grande densité de journalistes au kilomètre carré au monde oblige.

-Tu tentais de me voler mon Pooki n'es-ce pas!? Regarde-le, il est terrifié le pauvre.
-À le voir se débattre, c'est à se demander qui le retiens contre sa volonté.
-Ah je vois, tu lui as embrouillé la tête avec tes pouvoirs. Si tu veux en venir à ça, alors soit. Je ne me laisserai pas avoir sans me défendre.
-Plait-il?
-Cet accoutrement, tu es sorcière toi aussi, n'est-ce pas?

La situation prenait un tournant pour le plus étrange. Les spectateurs faisaient caucus pour chuchoter entre eux. Il fallait croire qu'elle pensait que l'habit faisait le moine et me prenait pour une sorcière. Mais qu'avait-elle dans la tête celle-là? Un duel? Puis quoi encore, elle n'était pas à la bonne université pour cela. Nous avions presque pitié pour cette créature qu'elle menaçait d'étouffer dans son décolleté en le serrant beaucoup trop fort. Nous préférions de loin lui tourner le dos et ne plus jamais la revoir.

-Tout bonnement ridicule, nous partons.
-Je vois, la poupée miniature se défile pour frapper sournoisement plus tard? Je ne t'en veux pas de refuser de m'affronter face à face.
-Minature!? C'en est assez. Nous, Victorique de Bastille, nous acceptons votre duel selon vos termes!

La colère dont nous avions été sujette suite à avoir été appelée de la sorte s'était estompée, et la peur s'installait au ventre. Ce n'était qu'après avoir offert cette déclaration que nous nous étions rendue compte de la portée de ces paroles. Nous battre avec cette sorcière!? Sa stupidité était-elle donc contagieuse? Son rire théâtral ridicule nous y avait poussée. Nos genoux tremblaient sous notre robe rien qu'à cette idée. Les autres élèves nous observaient, et certains se préparaient même à filmer ce qui allait se produire. La sorcière agrippa la chauve-souris potelée, et celle-ci se retrouvait en flammes dans sa main. Mes protestations pour lui demander d'attendre, de se calmer un peu tombaient dans l'oreille d'une tête creuse. Nous avions fermé les yeux, et pouvions voir le fil de notre vie se dérouler devant nos yeux. Les bras écartés devant, nous attendions que la fin arrive. Fin qui se trouvait être particulièrement longue. Au bout d'un moment, nous avions lentement rouvert les yeux. Tous se tenaient bouche-bée pour observer la sorcière. Elle se trouvait au sol, la boule de gras Pooki se relevait tout juste de sur elle. Incroyable. Elle venait de s'envoyer au tapis avec son propre sort. Tout cela était encore plus difficile pour nous de le concevoir. Les étudiants nous entourèrent tandis que nous tentions encore de comprendre ce qui venait de se produire. En réponse, ce fut un rire hystérique que nous avions relâché, heureuse d'être simplement vivante. La nouvelle s'était répandue comme une traînée de poudre, et comme convenu, l'animal m'avait suivie, bien que cela, nous ne l'avions jamais réellement souhaité. L'un des élèves s'approcha cependant avec un air inquiet.

-Dis... Est-ce que c'est vrai que tu... Es une sorcière toi aussi?
-Quoi? Évidemment que non, quelle idée saugrenue. Nous possédons une G-Force tout bonnement, vous pouvez la tester si vous souhaitez vraiment...
-Je vois... C'est soulageant à savoir.

Au moins c'était en partie vrai, que nous n'étions pas sorcière dans tous les cas... Ce répit fut de courte durée cependant, nous n'avions pu terminer nos études avec une guerre qui battait son plein. C'était douloureux de savoir que l'université avait été pour ainsi dire rasée, et retourner à Winhill l'était tout autant, pas que le fait de revoir sa famille n'était pas plaisant, nous nous retrouvions toujours tout aussi étrangère face au reste des gens ici. Tout ce que nous ne pouvions supporter de ce village s'y trouvait toujours malheureusement, cet endroit s'était entêté à résister au passage de la technologie. Au moins, nous savions que nous l'allions pas devoir reprendre la ferme de chocobos. En fait, une place s'était ouverte aux archives du village, nous qui y étions déjà très familière. La nouvelle de la défaite d'Ultimecia était finalement parvenue jusqu'ici, événement qui valait bien des réjouissances. La reconstruction de la TGU avait elle aussi été lancée. Nous pouvions une fois de plus avoir une raison de demeurer très loin d'ici. La croyance comme quoi nous possédions une G-Force était toujours bien forte, et beaucoup étaient venus présenter condoléances au fait que celle-ci ne servirait plus à rien. Dans les faits, c'était très soulageant de ne plus devoir maintenir cette façade. Cependant, les choses ne pouvaient pas demeurer calmes bien longtemps.

La nouvelle de cristaux avait causé sensation, et ça ne faisait pas de doute que les différentes universités allaient être sollicitées pour les retrouver. Comment? Que nous participions aux recherches également? Le karma aura prit son temps pour nous punir de ce mensonge, mais le voici enfin. Comme la TGU était une université principalement civile, envoyer de la «main d'oeuvre» serait difficile. Difficile à moins qu'une certaine ancienne détentrice de G-Force se joigne à la cause...

-Tout cela est fort flatteur, mais les G-Forces ne sont plus...
-On y avaient pensé. Il n'y a plus de sorcières ni de G-Forces, mais c'est toujours possible de faire de la magie. Il y a les gemmes maintenant. Vu votre affinité avec la magie, je parie que ce serait un jeu d'enfant.
-Plait-il?

Il dévoila une pierre d'opale, nouvelle source de magie disaient-ils. En temps normal, il aurait été facile de simplement refuser, mais la façon avec laquelle ils se tenaient autour de nous avec des yeux pétillants... Manifestement, ils plaçaient leurs espoirs en nous afin de les représenter. Un groupe tout entier de personnes qui fondaient leurs espérances sur nous, des cristaux d'un grand pouvoir gardées par des chimères et des calamités, dont Ultimecia évidemment, qui sont à présent de retour. Si peu de pression! Nous allions nous effondrer, mais nous étions reprise tout juste avant. Notre rire était plutôt nerveux, mais ils ne semblaient pas en avoir prit compte.

-Et nous pensions que vous alliez nous demander quelque chose de difficile...

Et ainsi nous avions scellé notre destin au prix de notre vanité...


Quelques questions vous concernant:
• Votre vrai prénom dans la vraie vie? Pléonasme
• Votre âge? 19
• Comment avez-vous connu FF Rebirth? Harold Rainhard
• Avez-vous lu toutes les règles? Y a t'il des choses que vous n'avez pas comprises? Survolées par endroits, mais l'idée principale est là J'ai déjà été admin plus d'une fois alors... Les avatars en 150x300 par contre est un peu ennuyeux. :I