Gradivus

• Monde d'origine: Spira
• Nom: /
• Prénom: Gradivus
• Âge: 22 ans
• Avatar utilisé: Imca (Valkyria Chronicles III)


• Alignement: Guerrier du Néant

• Description physique: Correspondant au standard qu’on attend d’une moine guerrier spiralite, Grad’ est une personne au physique fort sans tomber dans l’imposant. Fricotant avec le mètre 75 et, au vu de sa corpulence, avec  les 75 kilos, Mademoiselle possède un corps fin mais dur, symbole de l’ascétisme attendu des ex-bras armés de Yevon. Arborant toujours un air grognon, pas content ou carrément GRAVE VENERE, Gradivus honore sa réputation de ne jamais sourire. Ou plutôt, la rumeur qu’un chiot explose chaque fois qu’elle sourit. Ce qui est dommage, car avec ses grands yeux bleus  et ses cheveux brun sombre tirant sur le cobalt, si elle daignait arrêter d’avoir l’air d’avoir fait tomber une pelletée de gravier et une famille de mille-pattes dans son slip chaque matin, elle serait fort jolie.

Arrêter de se balader en armure 24h/24 aiderait un peu aussi. Occupation guerrière oblige, ce n’est qu’avec une deuxième peau de fer bleuté (tranchant avec le traditionnel gris ou rouge des moines) que beaucoup la connaissent. Engoncée dans son plastron et ses spalières en haut ainsi que dans sa tassette et ses jambières en bas, le tout complémenté de son uniforme, notre camarade n’a rien de glamour à rendre fou n’importe quel détecteur de métal.

• Description psychologique: Disons les choses comme elles sont : Gradivus est… Une grognasse endoctrinée borderline psychotique. Complètement fanatique d’Asran et ses préceptes, peu de gens ont des choses positives à dire à son sujet ; chose rendue encore moins aisée par son amabilité de porte de prison et ses tendances à considérer tout ce qui vient d’autre part que Spira comme « inférieur » au mieux et « danger public » au pire. Surtout tout ce qui est technologique. Et le groupe de Yuna… Il y a une raison pour laquelle certains disent l’avoir entendu marmonner avoir une douzaine de balles au nom de chacun d’entre eux. Mais surtout pour « la bâtarde qui a plongé le monde dans le chaos ».
Elle n’aime RIEN, n’a PAS bonne réputation et n’est PAS aimable et elle le sait : tant mieux, ça dissuade les gens de dire des bêtises, fricoter avec les méchants ou faire les zazous quand ils se font taper sur les doigts ou envoyer paître. Selon elle.
Le pire est qu’il y a un fond de vérité derrière tout cela : Grad’ a un côté violent qui ressort assez souvent dans son quotidien. Sans être un berserker, il ne faut pas avoir fait de hautes études pour sentir que, dans sa façon de s’exprimer ou de vivre, une envie ténue mais bien présente d’écraser physiquement et mentalement ceux qui ne sont pas alignés sur elle se ressent. Et il y en a peu qui s’alignent sur elle.

Grad’ est persuadée que le monde est rempli de menteurs et d’histoires contrefaites pour le bon plaisir des gens. Tout le monde ment à tout le monde, excepté quelques-uns. Mais si elle se fout complètement des 3 autres mondes, c’est surtout l’histoire de Spira qui l’énerve par sa « perversion ». S’il n’y avait qu’une seule personne complètement convaincue que Yuna et son groupe ne sont que des charlatans arrivistes qui ont bénéficié d’un concours de circonstances pour se faire passer pour les sauveurs du monde, tout en manipulant Seymour Guado pour le faire passer pour le méchant alors qu’il était innocent… Vous l’avez trouvée.
Mademoiselle croit cependant dur comme acier en les réformes et changements proposés par Asran. Impossible, même pour elle, d’ignorer qu’il n’y a plus Sin ou les Priants ; mais ça ne veut pas dire que tout le monde fait ce qu’il veut ! C’est le type à Bevelle qui commande, et elle obéit. Les autres ? Ils vont soit s’aligner, soit finir au bout d’une lame ou à la Via Purifico.



Née dans le « haut » du panier de Spira, d’un des énièmes mariages arrangés entre Yevonites, Grad’ a grandi comme la plupart des gamins de Bevelle : préceptes 3 fois par jour y compris dimanches et jours fériés, apprendre par cœur la liste d’adjectifs insultants contre les Al Bhed et la technologie et prier pour que quelqu’un aille renvoyer Sin dans sa chambre avant qu’il ne fasse trop le zazou et casse quelque chose. Personne n’était à l’abri, bien sûr, mais Bevelle restait malgré tout une sorte de « havre de paix » (et de snobisme) comparé au reste de Spira. Grad’ y grandit bien à l’abri du besoin, des squames et de la majorité des problèmes qui pouvait occuper le péon moyen de Kilika ou Guadosalam. Si cela lui permit de grandir sans l’écueil moral qu’est de perdre un ami ou un membre de sa famille face à Sin, cela ne fit que semer les graines pour son radicalisme.
Avoir les maîtres de Yevon sous les yeux, des parents dans la strate supérieure du culte et sans avoir l’œil sur les réalités du monde ne peuvent que rendre quelqu’un biaisé, et c’est ce qu’il s’est passé : durant la Félicité de Braska, peu de novices purent se targuer d’être aussi extrême dans ses propos et ses pensées que Gradivus. Ses origines la destinaient à un temple ou au pèlerinage, mais c’est au combat armé qu’elle dédia son sacerdoce ; fort probablement dans l’espoir qu’un jour, les prêtres verraient les choses en face et résoudraient le « problème » Al Bhed. Pour de bon.

Pas de grande purge anti-machine au programme durant ses études, mais bien plus intéressant : le pèlerinage de la fille de Braska. Au début un invoqueur comme les autres, cette dernière commença vite à s’attirer les regards de quiconque faisait un peu attention à la politique quand Seymour Guado s’avéra épris d’elle. Un mariage entre ceux deux-là ne ramènerait pas la Félicité, mais il apporterait des auspices politiques plus que réjouissants pour Spira. Bien sûr, Yuna avait du sang de pro-machine de par sa mère, mais personne n’est parfait. Inutile de dire que la réaction de Gradivus en apprenant les soi-disant « nouvelles » de la mort de Seymour et la rébellion de sa fiancée contre Bevelle… Généra des réactions épiques de la part de notre radicale préférée. Certains ont marché dans les salades de Yevon, d’autres ont couru… Et Gradivus y est allée en Formule 1.

Gradivus avait à peine fini son entraînement de moine guerrier quand Yuna amena l’Eternelle Félicité sur Spira. Ce qui lui redonna des crises de furie : comment cette hérétique allait payer pour ce qu’elle avait fait maintenant qu’elle avait sauvé le monde ?! Il n’y aurait eu aucune justice pour Seymour, Mika et les autres et aucun avenir pour Bevelle… Si cette fusion de mondes n’était pas arrivée et si, parmi le boxon ambiant, un « sauveur » ne s’était imposé. Asran.
Comme avant, Gradivus but ses paroles, y crut dur comme fer… Et surtout y trouva une nouvelle raison d’aller de l’avant. Sans les Priants et avec la mort de Sin, il n’y avait plus de raison à croire en Yevon. Maintenant, avec les cristaux et ces « nouveaux amis » (et futurs ennemis à n’en pas douter !), il faut redoubler de prudence.
Une seule chose compte désormais pour elle : ce qu’Asran veut faire pour Héméra. Ce n’est pas les goyots de Gaïa, les gamins de Dol, la « faiblarde » d’Alexandrie ou ces faux héros ayant ramené la Félicité qui vont faire des choses utiles. Il n’y a de la place que pour un seul maître dans ce monde. Et ce maître est Asran. Même s’il faudra composer avec (horreur !) des inférieurs ou (miséricorde !) des machines, ce qu’Il veut, elle fera.

Gradivus a débuté le rp à Alexandrie - ici


Quelques questions vous concernant:
• Votre vrai prénom dans la vraie vie? Nope.
• Votre âge? 24 ans
• Comment avez-vous connu FF Rebirth? L’Harold Contre-Attaque
• Avez-vous lu toutes les règles? Y a t-il des choses que vous n'avez pas comprises ? Je connais un peu mieux FF10, donc on va reprendre l’ancien com’.