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Arkh Hilandil

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Crystal

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Niveau : 99
Statistiques :
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Tableau d'évolution
MessageSujet: Arkh Hilandil Arkh Hilandil EmptySam 18 Mai - 17:44

Fiche d'identité

• Monde d'origine: FF8
• Nom: Hilandil
• Prénom: Arkh
• Âge: 23 ans
• Avatar utilisé: Artwork officiel de Aion

Description

• Alignement: Guerrier des ténèbres

• Description physique: D’une taille variant entre un mètre soixante dix et un mètre soixante quinze, Arkh est d’une silhouette plutôt fine quoi qu’on remarquerait toutefois une musculature prononcée sur ce corps ne donnant pourtant pas l’apparence d’être bien musclé une fois habillé. Sa force n’est pas à prouver et il garde tout de même une peau particulièrement lisse tout autant que fine, sans énormément d’imperfection bien qu’il soit un combattant au corps à corps. On notera toutefois une quelques cicatrices sur le torse ainsi qu’une sur le bras gauche, des erreurs de jeunesse que le jeune homme en question pourrait bien mentionner.

Ayant un visage assez fin mais marqué par un voile sombre, Arkh possède des yeux aussi sombre que son être. D’un gris particulièrement anormal. S’ils sont visibles, ils ne le sont généralement pas bien longtemps par sa chevelure rebelle virevoltant devant son front et son regard, ne laissant jamais respirer ses oreilles et s’écrasant contre sa nuque. Ses sourcils de la même couleur brune sont particulièrement épais mais restent la majeure partie du temps camouflés par les cheveux. A noter que si sa bouche ne s’étire jamais ou presque en sourire, elle n’est pas bien grande ce qui donne l’illusion que son nez est plus gros que la normale sans pour autant dépasser la taille moyenne pour les personnes normales.

En terme vestimentaire, il porte plusieurs épaisseurs dont la première à même la peau est constitué d’un chandail noir assez chaud lui permettant de se sentir confortablement installé dans ses vêtements. Il a ensuite une chemise au col largement ouvert sur le haut et se repliant autour de son cou. Si le chandail noir passe sous son pantalon, la chemise arrive pour sa part par-dessus. Mais c’est sans compter le manteau qui surplombe le tout. Plutôt large, cette veste de couleur noire est décorée de plusieurs boutons dorés de part et d’autre de son corps. Le col est d’autant plus large qu’il ne remonte sur les côtés de sa tête, passant donc au dessus de sa nuque aussi mais restant assez ouvert pour ne pas lui obstruer les mouvements de la tête pour regarder sur les côtés. Il a des manches si longues qu’elles sont repliées pour remonter ensuite jusqu’à la moitié des bras environ. A noter que deux poches sont présentes, une de chaque côté de l’ouverture de la veste, symétriquement par rapport à l’axe que cette ouverture forme.

A la base, il dispose d’un pantalon en jean déchiré de manière précise sur l’horizontale à plusieurs points signalant que c’est d’un acte volontaire que ça a été fait. Sur le haut de la cuisse droite, trois points au dessus du genoux droit et un juste en dessous, juste en dessous du genou gauche ainsi qu’un éclat en haut de la jambe gauche sont à noter. Il y en a peut être en dessous des genoux mais au vu des très hautes bottes qu’il porte, montant effectivement jusqu’à dessous les genoux approximativement, il ne laisse pas le loisir de se rendre compte de ce qu’il peut y avoir à ce niveau du pantalon bien que ça ne doit pas différer de la partie visible. Ces bottes reprennent la même apparence générale que la veste pour y aller de paire, dans la même matière de cuire que cette dernière pour donner une résistance accrue à la magie ainsi qu’à tout ce qui pourrait être des coupures.

Bien qu’il ne l’utilise pas tout le temps, il est noter que Arkh dispose d’une épée broyante d’une taille impressionnante qui aura de quoi faire assez peur à quiconque qui cherchera les problèmes au jeune homme. Cette épée pèse tout de même son poids puisqu’elle arrive à une masse similaire à celle du jeune homme lui-même. D’une lame d’un mètre vint de long, de deux centimètres d’épaisseur et d’une largeur avoisinant les dix centimètres, rares sont les personnes qui apprécieraient se faire transpercer d’une telle épée… En le voyant prendre une telle arme d’une main, il n’est plus à prouver que Arkh dispose d’une force titanesque pour l’apparence qu’il démontre.

• Description psychologique: En lien au physique, on peut dire que la nature de Arkh n’est pas loin derrière son apparence puisqu’il est tout aussi mystérieux et froid que son corps ne peut le laisser penser. Arkh est une personne calme et dont la patience est très élevée mais il garde tout de même un tempérament fier et orgueilleux qui l’empêche même de démontrer la moindre empathie pour quelconque lui donnant un air de sadique sans la moindre pitié. Sa seule pitié serait d’abréger les souffrances d’une personne par la mort. Malgré ça, il n’est pas méchant bien qu’il est très direct et particulièrement tranchant sur sa manière de penser. Il ne fait jamais rien sans réfléchir au préalable et, point le plus important, il sait ce qu’il veut et comment l’obtenir.

D’une force surhumaine, il désire acquérir un potentiel qui lui donnerait la possibilité de tout écraser par sa seule force brute. Son orgueil n’a donc d’égale que son ambition dans ce qu’il entreprend. Il n’a besoin de personne et n’hésite pas à le prouver : la force n’est pas une chose qu’on peut facilement partager et il ne fait pas de sa force un crédo visant à protéger quiconque. Il ne parle presque jamais ce qui fait de lui une personne très peu sociable voire même détestable sous bien des angles mais il n’a que faire de l’opinion des autres à son sujet. Il vit sa vie et laisserait les autres faire de même tant qu’ils ne viendront pas empiéter sur son territoire.

Seul, éternellement seul, Arkh n’a plus de famille et n’a jamais eu d’amis. Si sa famille est encore en vie, ce n’est que parce qu’il l’a rejeté et qu’il ne désire plus avoir le moindre contact avec eux qu’il ne retourne jamais les voir. Il a déjà eu des connaissances mais il ne leur parlait que trop peu pour avoir été remarqué à l’école. Il est donc et reste seul pour ce qu’il entreprend de faire, il n’aura donc à subir aucune traitrise de quiconque, préférant alors voir tout le monde comme des ennemis plutôt que de devoir chercher qui sera telle ou telle personne vis-à-vis de lui. Il reste néanmoins tolérant et ne tue pas sans raison pour autant.

D’une intelligence insoupçonnée, il est capable de lire une bibliothèque rien que pour trouver un renseignement quelconque et peu importe le temps que ça prendrait. C’est pourquoi il reste indifférent à la réunion de plusieurs mondes puisque ça lui donne non seulement l’opportunité d’étendre ses connaissances autant intellectuelles que corporelles pour devenir plus puissant encore. D’autant plus que cette histoire de cristaux a de quoi l’intéresser au plus haut point. Il ne serait donc pas étonnant de le voir en route pour fouler tous ces mondes maintenant qu’il a la connaissance de ce qu’ils possèdent à offrir…

Histoire


Né dans un monde où la guerre était la seule chose que nous vivions, on ne peut dire que j’eus une enfance facile mais ce fut dans le clan de Galbadia que je vis le jour. Bercé avec l’illusion que les sorcières devraient périr, j’ai grandis avec cette idée en tête sans savoir que je côtoyais la sorcellerie tous les jours dans ce monde. Les sources des magies étaient une réminiscence de ce pouvoir maudit et banni de la société, le leader du continent d’Esthar, Adel, était une sorcière lui aussi et faisait régner l’ordre par la peur. Dans le continent où je naquis, on apprenait à se battre dès notre plus jeune âge dans le seul but de servir de chair à canon contre la dictature d’Adel. Mon père était un combattant de Galbadia, un militaire bien haut gradé qui dirigeait plusieurs cavaleries pendant la guerre contre Esthar. Il a même déjà été le chef de Laguna Loire avant que ce dernier ne se rebelle contre Galbadia pour se joindre à Esthar quelques années plus tard. Mais ça faisait de mon père une personne que je ne voyais presque jamais mais dont la figure ou le nom ferait peur à quiconque de par sa prestance.

Grandissant avec tout l’amour qu’une mère pourrait apporter, je ne pris réellement connaissance que j’avais un père que lorsque j’eus environ deux ans. Cet étranger qui venait tous les week end à la maison et qui éclipsait ma mère de ma vue pendant ce temps était finalement nulle autre personne que mon père. Il avait de grands espoirs en moi et détruisait ma mère à chaque fois qu’il lui disait qu’il allait me former lui-même et qu’il m’entraînera ensuite pour que je devienne même meilleur que lui. Bien qu’elle ne me souhaitait pas un tel avenir, ma mère ne disait rien et se laissait faire, une femme n’avait effectivement pas son mot à dire à la maison, dans cette dictature que mon père faisait. Finalement, à mes yeux, il ne valait pas mieux que cette sorcière au gouvernement d’Esthar mais je taisais bien entendu cette remarque afin de ne pas me faire méchamment reprendre.

Déjà dans l’enfance, je n’étais pas bien bruyant, je ne disais presque rien mais je pus prononcer mes premiers mots de manière très claires prouvant alors que même si je ne disais rien, j’étais attentif à tout ce qui m’entourait et je pouvais parler de manière très facile. Mon père en fut le premier surpris puisque du jour au lendemain, je pus faire des phrases complexes et plutôt longues pour une personne de mon âge. Ca ne faisait que de renforcer son intérêt pour moi dans le fond. Je n’étais pas le seul dans cette ville où le soleil ne voyait jamais le jour qui était comme ça mais si les autres enfants ne disaient rien, ce n’était que parce qu’ils ne comprenaient pas ce qu’on leur disait, une nuance majeure avec moi qui comprenait parfaitement ce qu’il se passait.

Avec un père comme celui que j’avais, je n’eus pas de mal à comprendre tout ce qui était attrait à la guerre, à un combat. Mais grâce à cette personne qui avait été administré par mon géniteur, Laguna Loire, la guerre prit fin alors que j’entrais dans ma cinquième année d’existence. Cette guerre qui avait autant duré touchait à sa fin et des personnes qui avaient grandies dans les combats ne savaient plus où mettre de la tête, à quoi passer leur temps libre ou à quoi vouer le vide qui resterait de cette lutte acharnée pour la paix. En ce qui concernait mon père, il préféra revenir aux côtés de ma mère et donc du mien et ce fut le moment où commença ce cauchemar dans lequel je m’enliserais.

Mon intelligence et ma faculté d’adaptation ne passa pas à côté de mon père. Il chercha à m’en inculquer le plus possible sur les valeurs de Galbadia, sur tout ce en quoi il croyait mais, comble du bonheur, je n’étais absolument pas intéressé sur tout ça. J’avais passé trop de temps sans lui pour maintenant le voir comme mon père. Même si c’était ce qu’il souhaitait, même si ma mère me disait de lui faire confiance ou de l’appeler Papa, je n’y arrivais simplement pas. Pour moi, ça ne resterait que le caporal Hilandil sans plus… Je ne l’appréciai pas et comme je ne parlais déjà pas beaucoup, je ne dis plus un mot à partir de ce moment là. Et surtout pas en sa présence même si c’était pour directement parler à ma mère.

Terré dans mon mutisme, je ne pouvais pas entendre les conversations qu’ils tenaient ensemble et au vu de mon manque total de coopération, mon père abandonna tout espoir de pouvoir me former sur ce en quoi lui croyait, la guerre et tout ce qui tournait autour. L’avantage que Laguna Loire ait été choisi pour gouverner Esthar, c’était que la paix était revenue au point où plus aucune onde hertzienne n’était émise. Il n’y avait plus de télévision, plus de radio, plus rien pour passer le temps et donc je ne pouvais que lire pour m’instruire. Je crois même que c’était la seule passion que j’avais vraiment lire… Mais toute bonne chose ayant une fin, ce ne fut pas les psychologues que j’allais voir qui me firent ouvrir la bouche, ni même les spécialistes que j’étais contraint d’aller voir qui ne me voyais pas même ouvrir la bouche pour soupirer.

Ce fut six ans plus tard qu’une nouvelle institution fut créée pour former des étudiants dans un domaine militaire. Alors âgé de onze ans, apte de comprendre ce dans quoi je m’orientais, ma mère accepta l’idée de mon père que de m’envoyer sur place, soit disant que ça me permettrait de devenir un vrai homme et non pas de rester tel une femme au foyer à lire et faire des corvées ménagères. Sans avoir mon avis, je fus envoyer à la Galbadia Garden University.

Se faire des amis était une chose que je ne connaissais pas. Depuis toujours, et ce même à l’école, je n’avais jamais apprécié me rapprocher de personnes de mon âge, les jugeant trop immatures pour moi, jugeant que je valais bien mieux qu’eux et je ne désirais même pas me tenir avec ces personnes. Dans cette école, ce ne fut pas différent… Le peu de monde à qui j’acceptai de parler n’était que de rares enseignants et ces trois ou quatre personnes n’étaient pas choisies au pif. Ce n’était que si je me sentais à l’aise avec eux que je pouvais leur parler. Généralement, ils n’avaient pas d’enfants et vivaient dans une solitude qui faisait que prendre la parole ne les rendait pas chiants ou gaga directement. Je pouvais m’entendre avec eux comme avec des amis mais plus encore, ils comprenaient parfaitement mon point de vue. Était-ce pour me faire plaisir ou simplement parce que c’était vrai ? Encore maintenant, je ne pourrais le savoir…

En tout cas, arriver dans cette école m’aurait effectivement ouvert de nouveaux horizons puisqu’il y avait une bibliothèque entière pour passer le temps. Lorsque je n’étais pas en train d’étudier, j’étais soit dans la bibliothèque en train de lire, soit dans ma chambre après le couvre feu toujours en train de lire. Je pus apprendre l’histoire de ce monde concernant Hyne et les sorcières entre autre, concernant la géographie de la planète, les légendes la concernant et tout ce qui allait de paire. Lorsque je quittais mon monde le matin pour aller en cours, je n’avais qu’une hâte, revenir le soir continuer d’apprendre toute cette histoire. Je ne m’épargnais pas les quelques livres romancier qu’il y avait non plus, ni les livres policiers d’ailleurs, je lisais tout sur tout sans la moindre exception.

En grandissant, mes cours évoluèrent aussi puisqu’on laissa le livre pour brandir une épée. Rapidement, on abandonna les salles de classe pour aller dans des salles d’entraînement au tir. Et au lieu d’une punition ou d’un cours de rattrapages, on devrait faire des pompes devant la salle. Personnellement, je n’ai jamais eu une seule pompe à faire mais j’ai déjà été repris. Il se trouvait que je disposais d’une force incontrôlable et que dès la première leçon où il fallait frapper l’objet qui remplaçait une épée, j’avais frappé si fort cet objet que je l’avais brisé. Les vibrations dans le bras de celui qui défendait l’envoyèrent à l’hôpital avec une fracture du coudes et une entorse du poignet sans compter l’épaule qui s’était fait déboitée. Je fus suspendu pendant une semaine mais en quoi étais-je fautif ? Ne leur avais-je pas dit que je ne désirais pas me battre ?

Pourtant, plus ça allait et plus je me renfermais sur moi-même, le peu de personne que je jugeais digne de confiance semblaient s’éloigner et je n’avais pas la moindre nouvelle de mes parents. Ce n’était pas comme si je m’y intéressais beaucoup dans le fond mais ne serait-ce qu’une lettre m’aurait signalé que je comptais un minimum pour eux. Je soupçonnais surtout mon père d’avoir monté ma mère contre moi mais je n’irais pas vérifier.

Plus le temps passait et plus je me retrouvais seul. J’étais devenu tellement antisocial que je ne parlais à plus personne et je restais toujours dans mon coin jusqu’au jour où le directeur en personne me convoqua avec le conseil disciplinaire afin de mettre les points sur les i. Mes parents étaient présents également et, si je n’ouvris pas la bouche une fois de plus, j’en pris de tous les côtés. Aucun de mes parents n’était vraiment attentif à ce que le directeur pouvait dire, ils n’avaient strictement rien à faire avec moi et le directeur leur mentionnait que j’étais un élève avec du potentiel qui ne faisait aucun effort pour s’intégrer, aucun effort pour se manifester et que pour l’instant, le seul maigre talent que j’avais exploité, c’était de faire perdre l’usage d’un bras un autre étudiant. Mes parents devraient payer d’ailleurs et ce fut la goutte qui fit déborder le vase : ils ne voulaient plus rien savoir de moi et ils devraient payer pour ce que j’avais pu faire sous l’influence d’un enseignant qui m’avait contraint à le faire. Ma mère eut beau tenter de le retenir, mon père se rua sur moi pour me rouer de coups.

Cherchant alors à me protéger avant tout, je me défendis et d’un seul coup dans le visage. Je manquai de tuer mon paternel. Où était donc passé toute la gloire qu’il avait acquis dans le passé si son propre fils pouvait l’aligner aussi facilement ? Au final, le bilan de cette réunion fut un mot du directeur comme quoi je devrais faire plus d’effort pour m’intégrer et sur un ton de provocation, je lui assurai que s’il voulait que je devienne un soldat, dans ce cas je deviendrais le meilleur des soldats. Je lui affirmai que j’étais meilleur que n’importe qui dans cette université, meilleur même que lui dans tous les domaines où il pourrait vouloir m’affronter alors que je ne savais même pas tenir une épée. Sur le ton de défi que je lui parlai, le directeur crut même bon de demander à sa garde de venir dans le cas où je deviendrais violent mais j’étais bien motivé à le faire couler lui et son école si bien que je partis sans demander mon reste, plantant tout le monde sur place.

Ce directeur était le même depuis la création de la GGU, Martine. Il était un bon ami du major Caraway, le chef de mon père. C’est ainsi que je pus savoir que mon père avait pu s’en tirer pour assez bon compte au final et il n’y eut pas de suite. Néanmoins, si je restai dans cette école, ce n’était que pour mettre un terme à cette envie de leur prouver que j’étais le meilleur mais ce n’était pas ici que je pourrais avoir ce que je chercherais. Les premiers jours suite à cette révolte, je fis le schéma d’une arme qui me correspondrais mais la GGU était une spécialiste des armes à feu. Il n’y avait que très peu de soldats qui préféraient les armes blanches et ce fut pourquoi sur ce schéma, je dessinai une arme apte de contrer les balles, de contrer les épées mais qui était suffisamment lourde pour que seul moi puisse la manipuler.

Inconscient que cette arme était à peu de chose près celle que Cloud avait dans un autre monde, je me rendis seul, sur le temps des cours, jusqu’à Deling City, m’efforçant de ne pas croiser mon père en route pour autant ainsi que ma mère, pour passer une commande à un forgeron réputé dans le monde entier. Je lui donnai le schéma et il m’avertit lui-même qu’une telle épée allait coûter son prix en acier mais plus encore, que seul une personne apte de soulever sans mal une cinquantaine de kilogrammes serait à l’aise avec une telle arme. Je lui assurai avoir de quoi payer et pour lui ça suffisait, je savais ce que je faisais et il le comprit. Cette arme serait prête en une semaine mais le temps qu’il ne me la crée, je le passai à rechercher des méthodes pour amplifier un pouvoir et ce même si je devrais avoir recours à la sorcellerie.

Le problème que je rencontrai, ce fut qu’il n’y avait actuellement plus une seule sorcière de connue depuis que Laguna avait envoyé en orbite celle qui régnait sur Esthar jusqu’à mes cinq ans. La seule chose que je voyais, c’était que je m’entraîne avec cette arme que j’obtiendrais d’ici peu. L’autre partie du temps, je la passai à travailler pour gagner l’argent nécessaire à cette arme. Les quelques passants que je voyais à la GGU n’avaient pas à aller plus loin pour demander un contrat puisque je les interceptais, je leur faisais part de mes capacités et je leur proposais moins cher que ce que Martine pourrait lui-même le faire. Je ne sus jamais s’il s’en était un jour rendu compte mais je savais que ça ne pourrait pas aller bien pour ses affaires.

Nouvellement armé, je retournai à la GGU. Cette fois, je pourrais faire des missions avec l’école. Personne n’osait ne serait-ce qu’être dans la même équipe que moi. Je faisais donc ces missions généralement seul et c’était généralement quelque chose de plutôt chiant mais on me faisait confiance tout de même. Escorter une célébrité d’un endroit à l’autre était un exemple. Je pouvais aussi aller dans une ville pour calmer un groupe de résistant, à Timber par exemple. Il y avait beaucoup de choses à faire au point où je ne me rappellerais pas de toutes mes missions mais je sais que je n’avais pas mis beaucoup de temps avant de pouvoir manipuler parfaitement une arme telle que celle là.

Je me souviens qu’une des missions qu’on m’avait proposé se situait dans la ville portuaire de Dollet, mais j’avais eu le choix pour cette fois entre protéger des techniciens chargés de réactiver la tour satellite de Dollet ou alors aller au front pour mettre hors d’état de nuire un groupe de rebelle qui s’en prenait au réseau administratif de Timber. Mon choix se porta sur Dollet et peut être que ce fut une bonne initiative puisque ça m’évita de croiser les seeds nouvellement formé de la BGU, l’université homologue de Balamb.

La tour Satellite put être réactivée correctement. Ainsi, les émissions purent se remettre à tourner ainsi que la radio. Ca faisait tout de même dix sept ans, depuis que j’avais cinq ans, que ça ne tournait plus et ça fit un choc que de revoir toutes ces images briller. Le premier direct fut d’ailleurs un discours du président Deling en personne, le boulet qui gérait ma ville natale, afin qu’il parle d’un traité de paix dans le monde entier. C’était bien beau tout ça mais tout le monde put voir la supercherie jusqu’à ce qu’un membre de la BGU n’interrompt le direct. Au vu de la capture du président par cette personne, Seifer Almasy, le trouble provoqué toucha tout le pays. Le président ne tarda pas à réapparaître avec une femme dont il avait fait ambassadrice comme si de rien était.

Ce fut alors que j’eus une nouvelle mission. Il fallut que je me rende jusqu’à Deling City pour suivre un ordre commun de la GGU et du major Caraway : assassiner cette ambassadrice. Le groupe principal, des seeds de la BGU se chargeraient de l’élimination pendant que mon groupe serait chargé de dissimulé une attaque plus discrète suite à la parade en cas d’échec. Cette mission fut un échec sur toute la ligne puisque si le groupe principal ne parvint pas à arrêter cette ambassadrice qui se révéla être une sorcière, l’attaque que je dus mener ne mena à rien. La sécurité autour de cette sorcière était trop haute pour faire quoi que ce soit : tous les pigeons de la ville avait reconnu leur leader et je ne pus que retourner à la GGU en attente de nouveaux ordres.

Avec tous les troubles qu’il y avait ces derniers temps, je songeais surtout à quitter cette place en réalité. Mais c’était comme si le directeur le sentirait puisqu’il me nomma instructeur avant que je ne puisse lui faire part de ma décision. Je restai alors un peu plus longtemps que je ne l’aurais du sans me tenir informé de tout ce qu’il se passait autour. Les nouvelles étaient de toutes façons déprimantes donc autant rester sans les écouter. Au vu de la manière dont on m’avait formé, j’étais certainement le pire de ce que les élèves pourraient désirer. Je faisais faire des pompes à la moindre seconde de retard, j’étais sans pitié, je prenais même presque plaisir à en faire baver les étudiants mais quelque chose changea dans la GGU : Martine fut recalé par Edea Krammer elle-même. Cette ambassadrice qui aurait du être assassinée prit le contrôle de l’école et elle en découvrit un fonctionnement aérien pour la faire bouger.

La présence des autres écoles était gênantes et il faudrait les anéantir. Alors que des missiles étaient partis sur les écoles de Trabia, au nord, et de la BGU, il s’avérait que la BGU avait aussi découvert qu’elle pouvait voler si bien que Seifer prit les commandes de cette école pour la diriger vers un endroit où il était sûr que son rival retournerait : l’orphelinat d’Edea. Bien que je fus dans le vaisseau pendant l’attaque, je ne sortis pas de ma chambre. Le dimanche était un jour sacré où je ne travaillerais pas après tout et je ne voyais pas même pourquoi je devrais me fendre le cul pour défendre une école avec des principes si stupides.

Résultat des courses : la GGU fut coulée par la BGU et Edea retrouva ses esprits, perdant ses pouvoirs dans le même temps et perdant ainsi son statut de sorcière. Le tout changea de nouveau à partir de ce moment là. J’aidai les quelques personnes encore restant à ramener la GGU à son emplacement initial et on laissa les choses se tasser… Je ne prenais toujours pas autant de contact avec quiconque et on ne me proposa même pas de prendre la place de Martine pour avoir un nouveau leader. Je n’aurais pas accepté une telle place de toutes façons.

Loin d’être conscient de ce qu’il se passait à Esthar, ou encore dans d’autres dimensions où l’espace temps aurait pu se compresser, j’envisageai de faire un voyage à Trabia pour voir ce qu’il en restait par simple curiosité. Ce qui ne tuait pas rendait plus fort après tout et y aller pourrait être bénéfique au vu de toutes les créatures importantes que je pourrais croiser dans ce coin… Mais avant ça, j’avais pu lire des éléments concernant une île de l’enfer non loin d’ici. Je comptais donc m’y rendre et aller ensuite sur l’île du paradis qui était même au-delà encore de Trabia.

Sans demander à quiconque si je pourrais partir, sans prévenir quiconque, je fus peut être considéré comme un déserteur mais sans leader, cette école était vouée à l’échec : elle ne pourrait plus rien m’apporter et l’hésitation sur le fait de la quitter qui me travaillait depuis quelques mois venait enfin de m’abandonner pour une certitude ; je partais… L’île de l’enfer n’était peut être pas si loin que ça mais il me fallut tout de même un bon moment pour la rejoindre. Il s’agissait d’une mine d’or en terme de magie, il s’agissait d’un lieu très dangereux ou le premier monstre que je pus remarquer manqua de me bouffer sur place. Je dus plonger dans l’eau pour ne pas me faire attraper par ce dinosaure. D’autant plus qu’il y avait un Xylomid qui venait d’envoyer un puissant pollen nauséabond qui, par chance, ne me toucha pas une fois dans l’eau. Je retournai alors sur le continent que je venais de quitter pour changer mes plans.

Je fis une pause à Winhill où je pus avoir accès à un journal comme quoi les G-Force aurait disparues, que des gemmes seraient en outre tombées du ciel ou qu’encore que le monde avait été lié à un autre mais je en voyais aucune différence : je ne battais pas par des gemmes personnellement, je me battais avec une arme sans plus, rien de moins mais surtout pas avec quoi que ce soit de plus. Le plus important dans ce que je retins de ce passage : les sorcières n’existaient plus et on ne nous casserait les plus les pieds avec ça…

Un point qui fut intéressant et que j’appris un peu plus tard en passant à Dollet pour prendre un bateau, ce fut que des cristaux étaient apparus et qu’il permettrait d’après des légendes de pouvoir obtenir tout ce qu’on souhaiterait. Si je voulais devenir le plus puissant des hommes, non seulement le chemin pour l’atteindre pourrait être intéressant mais la demande pourrait être accordée si je trouvais tous les cristaux. Je m’orienterais là-dessus une fois que je serais allé à Trabia dans ce cas, je comptais déjà aller voir cette île du paradis avant d’aller faire autre chose: chaque chose en son temps, c’était là le point le plus important dans une aventure telle que celle dans laquelle je m’engageais. Dans le même temps, je pourrais voir ce qu’était devenu Trabia puisque du temps était passé depuis l’impact des missiles que Galbadia avait envoyé sous le joug d’Edea…

Maintenant qu’il n’y avait plus de sorcière, je n’aurais même plus à craindre qu’une personne comme Adel ne revienne ou même comme Ultimécia qui pourrait bien jouer avec le temps pour faire une surprise à tout le monde. Mais jusqu’à présent, je n’avais pas encore entendu parles des autres mondes ou vu des personnes qui venaient des autres mondes. Je me disais simplement que ça me donnerait d’autres planètes à connaître sur le bout des doigts bien qu’elles aient fusionnés à celle là.

Avant de continuer pour aller sur l’ile que je visais, je ferais tout de même une petite pause à Trabia pour repartir ensuite plein est. Ce n’était plus très loin mais les montagnes qu’il faudrait que j’escalade me donneraient bien plus de temps de route que si je devrais y aller tel un oiseau…

Et pour finir...

Quelques questions vous concernant:
• Votre vrai prénom dans la vraie vie? Josué
• Votre âge? 25 ans
• Comment avez-vous connu FF Rebirth? Je suis Ayane
• Avez-vous lu toutes les règles? Y a t'il des choses que vous n'avez pas comprises? Pas de nouveauté depuis la dernière fois


Arkh Hilandil 19112008040722262016520002
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