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Suri Tachibana

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Crystal

Admin Gardienne
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Crystal
Niveau : 99
Statistiques :
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Tableau d'évolution
MessageSujet: Suri Tachibana Suri Tachibana EmptyVen 17 Mai - 12:14

Fiche d'Identité

• Monde d'Origine : Gaïa.
• Nom : Tachibana.
• Prénom : Suri.
• Âge : 24 ans.
• Avatar Utilisé: Kureha, de Project Zero II : Deep Crimson Butterfly.

Description

• Alignement : Guerrier des Ténèbres.

• Description Physique :

SuriAu premier abord, l’unique impression que Suri laissera sur vous sera celle d’un ange silencieux, d’un fantôme de passage, d’un simple esprit qui s’effacera dans les secondes à venir. Une belle femme, ça va sans dire, et du haut de son mètre soixante-cinq, elle parait aussi gracieuse que froide. Son épiderme d’un blanc presque cadavérique est témoin de son manque d’expressivité et de vie également, pourtant, elle n’est pas sans être vivante. Ce n’est pas un spectre et elle n’est pas albinos non plus. Sa peau est simplement d’une pâleur anormale et d’une certaine fragilité face au soleil sans pour autant que ce ne soit d’un point de vu critique.

Le terme qui conviendrait à cette beauté hivernale serait ; porcelaine. Elle ressemble effectivement une poupée de porcelaine drapée d’un magnifique kimono et d’une chevelure blanche. Son visage, parlons-en ; il va de paire avec cette image de poupée figée dans une expression neutre. Assez rond, son faciès n’est marqué d’aucune imperfection. Comme si la lune elle-même aurait offert sa perfection cachée à cette jeune femme à sa naissance. Ses lèvres si finement tracées ne s’étirent que passablement en un sourire de temps en temps. Son nez se dresse délicatement au centre de sa figure et, pour trôner le tout, deux perles argenté se dessinent en tant que ses yeux. Calme, doux, comme une neige tombant la nuit sur de vastes plaines solitaires…

Ce délicat minois est ensuite joliment entouré d’un halo blanc. Ce voile d’une douceur impeccable forme la chevelure de Suri. D’une longueur banale toutefois soignée couvrant tout de même le trois-quarts de son dos, cette tignasse se coupe sec au niveau du front de la belle, formant une frange s’arrêtant tout juste au dessus de ses yeux, cachant ses fins sourcils.

Corporellement parlant, il est inutile de chercher de la musculature chez cette demoiselle ; Suri est essentiellement une personne pacifique ne cherchant donc pas à combattre inutilement. Elle possède tout de même une certaine force, mais toute sa puissance réside en son potentiel magique que l’on peut deviner grâce à son arme ; un grand bâton aux teintes noirâtres servant de catalyseur de magie. Malgré tout, elle ne peut être vue comme maigre. Elle possède une poitrine conséquente sans être trop imposante non plus et son ossature n’a rien de celle d’une petite minette fragile. Elle est solide et peut se prendre des coups - elle n’en donne simplement pas.

Le dernier aspect notable chez Suri bien entendu ne peut qu’être sa tenue vestimentaire. S’en tenant à l’aspect traditionnel de sa nation, l’égérie blanche porte un kimono. Il est cependant d’une haute simplicité comparé aux kimonos complexes portés par les geishas. Il s’agit d’un vêtement porté en trois couches, à l’exception des dessous naturellement.

Tout d’abord, Suri porte un très léger kimono de soie vert. Celui-ci est fade et ne porte aucun motif particuliers. Par-dessus, elle revêt un kimono gris-blanc discrètement sillonné d’un damier triangulaire. On peut d’ailleurs deviner une ceinture dorée qui couvre son abdomen, maintenant le kimono fermé. Pour finir, un épais kimono noir tombe sur ses épaules. Elle ne le ferme jamais. Les bordures rouges sont marqués de motifs rappelant des toiles d’araignées tandis que des fleurs blanche, dorée et écarlate se dessinent à la base et sur les manches. L’unique détail à mentionner serait qu’elle est chaussée de petites ballerines noire d’une simplicité enfantine, s’accordant à merveilles avec les couleurs de sa tenue, bien qu'elle préfère habituellement être pieds nus.

• Description Psychologique :

Allant de paire avec son apparence pâle et apaisante, Suri est une femme d’un calme olympien communicatif. C’est une personne essentiellement tranquille et posée, ne s’emportant jamais. Elle est à l’image d’une douce et délicate neige tombant en pleine nuit ; lente, progressive, captivante et mystérieuse. Ce n’est pas pour rien qu’elle semble avoir hérité d’une telle apparence. La neige et la lune sont deux aspects naturels qui lui sied à merveilles, lui octroyant un comportement qu’on associerait aisément à ces deux manifestations froides. Pourtant, Suri n’est pas froide. Il serait toutefois correcte, à l’inverse, de la comparer à la neige mais uniquement pour la pureté et la douceur que celle-ci inspire lorsqu’elle n’est pas prise dans un vent trop fort.

Au quotidien, Suri semble drapée de mystères, mais ce n’est pas qu’elle camoufle des secrets. C’est simplement qu’elle parle peu d’elle et qu’elle a tendance à n’ouvrir la bouche que lorsque nécessité il y a. Bien entendu, il n’est pas non plus improbable d’entretenir une conversation avec la belle - si vous lui posez une question, elle répondra. Si vous la saluez, elle vous saluera. Toutefois, ce n’est pas dans ses hobbies que de papoter avec les copines, à échanger inutilement des ragots ou à parler du beau garçon qui a visité le village. Elle est secrète, discrète, peu loquace, mais écoute énormément. C’est un mal pour un bien pourrait-on dire.

A lire tout ceci, il serait à croire que Suri ne possède aucun défaut. Pourtant, en soi, une personne aussi peu expressive qu’elle et si détachée du monde pourrait paraitre désagréable. Elle n’est pas spécialement serviable et ne rendra pas service à qui le demandera sauf si son cœur est à la tâche ce jour-là. Elle ne ressent pas non plus particulièrement de la pitié pour autrui, sauf les enfants qu’elle épargnera toujours. Si mort doit être donnée, mort elle donnera. Elle ne fait souffrir personne, mais elle ne supporte pas non plus que l’on s’en prenne personnellement à elle ou à ses proches. Si la punition est la mort, c’est sans retenue ni larmes que Suri infligera ce sort au coupable.

La curiosité n’est pas son fort, mais elle est pourtant très intelligente, d’où sa capacité d’écoute et une excellente mémoire. Elle apprécie faire des exercices de patience ou de faire de simples jeux comme des châteaux de cartes qui demandent énormément de temps et le majong également parmi tant d‘autres exemples. C’est une personne essentiellement seule qui apprécie sa solitude. Elle aime réfléchir, le silence aussi principalement. Mais un peu de compagnie ne dérange pas, tant que ce n’est pas une personne excentrique et bruyante.

Les objectifs de cette jeune femme sont relativement flous pour autrui, mais pour elle, ils sont clairs dans son esprit ; elle souhaite retrouver les cristaux par-dessus tout afin de pouvoir ramener une vie injustement enlevée. Certes cela est classique. Mais elle n’est pas la seule au monde à vouloir ramener un être cher de la mort, elle le sait bien. Toutefois, c’est là son ambition, aussi peu originale puisse-t-elle être. Trouver les cristaux afin de réaliser son souhait, aussi égoïste soit-il. Elle ignore cependant ce qu’elle a l’intention d’accomplir une fois ce vœu réalisé… Sans doute de simplement retourner à une vie de simplicité en compagnie de cette personne qu’elle souhaite ramener des morts. Elle n’a jamais eu de grands rêves comme de devenir une grande guerrière, ni même une mère de famille. Tout ce qu’elle veut, c’est vivre tranquille, enrobée de cette neige qui la connait si bien.

Histoire

Cher Itsuki,

Je n’ai jamais vraiment pris le temps de te parler de moi jusqu’à aujourd’hui. Pourtant, je me suis occupée de toi tous les jours. Surtout depuis que notre mère est tombée malade. Je n’ai pourtant pas une vie extraordinaire… Rien de très spécial, du moins. Je m’en veux, finalement. De ne jamais t’avoir réellement parlé de moi. Tu es mon frère après tout, n’est-ce pas ? Ma seule famille. C’est vrai, notre mère est encore là, mais tu sais comme moi qu’elle n’a plus toute sa tête. Lorsqu’elle ne dort pas, elle ne se souvient pas de notre visage. Je sais que ça t’a fais énormément de mal… J’en suis désolée. Malheureusement, je ne peux pas changer cela. Elle est toujours malade d’ailleurs. Mes soins n’ont rien apportés de bénéfique à son état.

Je suis née ici, à Wutai. Je n’ai pas connu grand-chose… Je ne suis pas parti visiter le monde. Beaucoup auraient voulu le faire j’imagine, mais ça ne m’intéressait pas. Je voulais simplement rester à la maison et regarder notre mère danser. Tu sais combien elle aimait danser. C’était son passe-temps, de mettre de la musique et de danser. J’aimais la voir bouger. Elle se déplaçait avec une grâce exemplaire. Ses gestes lents me faisaient penser à de la neige qui tombe en hiver. Tu n’as jamais dû voir cela, toi qui n’a jamais quitté Wutai. Moi non plus, mais récemment, j’en ai vu. C’est froid… C’est très froid mais c’est doux également. Je ne saurais pas vraiment te l’expliquer. Mais j’aime la neige ; je pense que c’est parce que ça me fait penser à nous, à toi et moi.

J’ai grandi tranquillement, je n’ai jamais eu de problème, si ce n’est que la maladie de notre famille. Tous les membres de notre famille ont la peau et les cheveux blanc. Nous sommes fragiles au soleil. Pourtant, nous ne sommes pas albinos, mais ça, tu le sais aussi, puisque toi aussi tu étais comme ça. Tu aimais beaucoup le blanc, d’ailleurs… Je me souviens de ces peluches, de tes futons, de tes yukatas. Tout était nappé de blanc. C’est sûrement pourquoi la neige me fait tant penser à toi.

En grandissant, j’étais très seule. Je sortais peu bien évidemment mais les gens du village n’étaient pas enclin à venir me voir. En même temps, je ne vais pas me plaindre ; j’aimais être seule. Je jugeais que ça m’attirais bien moins de soucis. J’aimais jouer à des jeux solitaires. La compagnie des autres ne me dérangeait pas spécialement par contre mais… Je préférais ma solitude, ou alors regarder notre mère danser. Cependant… Lorsqu’est venu le temps de la guerre de Wutai, que tu as traversée avec nous, elle a arrêtée de danser. Tu n’as jamais compris pourquoi elle ne dansait plus, toi qui ne l’a pas vu énormément danser non plus comparé à moi. Tu n’avais que huit ans, à l’époque. Toi aussi, tu aimais voir notre mère danser. Mais elle n’a plus danser.

Pourquoi ? Tu m’as demandé. Pourquoi maman ne danse plus ? Je me souviens que je t’ai expliqué que c’était parce qu’elle était déprimée, et finalement, c’est un peu ça oui. J’ai eu énormément de mal à supporter le chagrin qui a remplit tes yeux, mais je ne voulais pas te mentir. Je suis désolée. La guerre de Wutai m’a affecté aussi mais ce que je ne t’ai pas dis, c’est que notre père était partit combattre, et qu’il est mort pour sa patrie. La déprime qui a envahit notre mère et qui a fait qu’elle a arrêtée de danser… C’était ça. Ce n’était pas simplement la guerre. Son cœur était déchiré. Elle n’avait plus la volonté de vivre et est tombé malade à cause de ça. Parce qu’elle ne voulait plus vivre. Non, pas même pour nous, ses pauvres enfants.

C’est pour ça que j’ai commencé à m’occuper de toi. Même si notre mère était au lit constamment, à dormir toute la journée et à manger à peine, nous avions beaucoup d’argent caché dans des coffres de la maison. Notre père était un soldat ; il ramenait énormément de gils ce qui m’a permit de t’offrir tout ce que tu voulais. Je ne suis que ta sœur c’est vrai, mais je jouais le rôle de mère malgré moi. Tu n’étais pas très fort, Itsuki. Ton corps était faible. Je te protégeais comme je le pouvais et j’ai été heureuse de le faire. Nous nous sommes considérablement rapprochés pendant les années à venir… Je t’aimais énormément et tu étais aussi la seule personne qui comptait vraiment à mes yeux. Personne d’autre n’avait sa place dans ma vie. Personne, sauf toi, Itsuki.

La guerre n’a finalement pas été remporté par Wutai. Mais Shinra n’a pas implanté son réacteur dans nos terres. A la place, ils nous ont soutirés toutes matérias. Nous n’avions plus le droit d’utiliser de matérias… Shinra nous a enlevé toutes manières de nous défendre, transformant Wutai en un lieu touristique. Je n’ai jamais été spécialement peinée par cette métamorphose, mais les gens affluaient, et je n’aime généralement pas la présence d’autrui. Surtout ces idiots. Ils étaient tous affamés, ils voulaient dévorer notre héritage, et tout connaitre de Wutai. C’était déprimant à regarder. Toutes nos traditions se sont envolées…

Tu grandissais bien au moins sous ma tutelle. Toi aussi, tu n’aimais pas beaucoup les autres enfants. Tu te contentais de moi comme amie. Comme amie, comme sœur, comme confidente, tu me racontais tout et j’aimais écouter tes histoires. Ce que tu préférais, c’était me raconter tes rêves. Lorsque tu te réveillais, tu venais me voir pour me raconter les aventures extraordinaires que ton subconscient te faisait vivre. Moi qui dormait généralement peu, j’étais toujours réveillée, à attendre que tu surgisses pour venir me conter ces histoires. J’aimais cet éclat dans tes yeux. L’émerveillement. Ce que je donnerais pour pouvoir les revoir aujourd’hui…

Le jour le plus dévastateur de ma vie est arrivé trop rapidement. Le jour qui m’a transformé en neige, comme notre mère. Le jour qui m’a rendu aussi froide et inerte que la lune. Ce jour-là, tu étais venu me raconter ton rêve encore une fois. Tu me disais avoir rêvée d’un grand manoir d’où surgissait des centaines de milliers de papillons écarlates qui illuminaient le ciel. Un rêve magnifique je le conçois, même si cette fois, contrairement à toutes les autres fois, je n’ai pas pu te donner de significations. J’aimais donner des symboles à tes rêves. Aujourd’hui, lorsque j’y pense, je crois que j’aurais pu te dire que ça signifiait ton envie de liberté, de découvrir le monde. De t’envoler. Comme un papillon écarlate. De découvrir des merveilles, comme dans tes rêves.

Depuis plusieurs jours déjà, notre planète était menacée. Menacée par un gigantesque météore. Brûlant, d’un rouge saignant, il était terrifiant dans sa descente si lente et progressive. Je me souviens que tu m’as confié avoir peur de mourir, et tu as dormi avec moi. Je t’ai serré dans mes bras, je t’ai promis que rien ne t’arriverais. Je t’ai promis. Promis que rien ne t’arriverais…

Avec la folie que ce météore engendrait, beaucoup de touristes et d’habitants de notre village ont estimés la fin du monde proche. Au lieu de se serrer les coudes, ils ont dévalisés des maisons. Ils ont commencés à détruire tout ce qui ne leur appartenait pas afin de profiter des derniers jours sur terre en tant que bandits. Des hommes sont venus chez nous. C’est justement le soir où tu étais venu dormir contre moi de peur de ne pas te réveiller. Tu manquais beaucoup de courage… Tu n’étais pas très fort… Tu étais souvent anxieux et tes cauchemars te terrifiaient. Tu avais peur des ombres de ta chambre et refusait de t’aventurer dans le noir. Pourtant, ce soir-là…

Lorsqu’ils sont venus pour dérober les biens de notre famille, tu as voulu t’interposer. Je t’en ai empêché et ils s’en sont prit à moi, forcément. J’ignore ce qu’ils auraient fait si tu n’aurais pas prit ton courage à deux mains pour les confronter. Oh, j’imagine bien ce qu’ils auraient fait, une femme telle que moi devait réveiller en eux un appétit pervers. Mais il ne s’est rien passé, parce que tu étais là, Itsuki. Tu as pris ton courage, ton si petit courage, et tu l’as utilisé pour attaquer ces hommes. Lorsqu’ils m’ont lâchés, d’un unique coup, l’un d’eux t’a frappé d’un couteau et je n’ai rien vu. Mais le sang perlait le tatami et effrayée, je les ai littéralement détruit à l’aide d’une magie qui m’était propre. Et c’est là que j’ai vu l’étendu des dégâts.

Je t’ai bercé longtemps. Tu avais peur, et tu ne pouvais plus parler, puisque cet homme t’avais tranché la gorge. C’est la seule fois de ma vie où j’ai pu enfin comprendre pourquoi notre mère se laissait ainsi mourir dans sa chambre, enfermée dans ses rêves. Tu as mis énormément de temps à rejoindre la planète… Tu ne voulais pas partir, mais chaque fois que tu tentais de me parler, tu ne faisais que souffrir et tu perdais suffisamment de sang comme ça. Alors je t’ai juste serré contre moi, je t’ai bercé, je t’ai parlé, j’ai chanté, j’ai tout fais pour t’apaiser. Je te disais que ça irait… Mais je savais que ça n’irait pas… Parce que désormais, je serais seule. Seule au monde.

C’est au moins une heure après que tu as lâché prise. A la seconde où je t’ai embrassé sur le front, ton corps s’est dissout en filaments d’un vert pur. Aussi pur que ton âme. Et tu as disparu. Il ne restait sur moi que le sang qui a coulé de ta gorge pendant tout ce temps… Pour la première fois depuis que je suis entrée dans l’âge adulte, des larmes m’ont échappées. Mais je ne pourrais jamais me venger… Parce que ces hommes sont morts. Ils sont déjà morts.

Pensant à tort que le météore nous tuerait tous de toute manière, j’ai été attendre sur le Mont Da Chao que la mort m’emporte. Mais le Météore n’est jamais tombé sur la planète. Tu y crois ? La planète elle-même s’est défendue… Elle a protégée le monde… Je ne sais pas si ça m’a rendue heureuse sur le moment, je sais seulement que je suis retournée chez nous tel un automate pour me changer, puisque j’étais encore couverte de ton sang, et je me suis occupée de notre mère. Je ne voulais pas le faire, mais que me restait-il à faire ? Tu n’étais plus là, Itsuki. Il ne me restait donc qu’elle.

Dans les semaines à venir, quelque chose changea pourtant ma vie à nouveau. Le monde changea… Le monde se métamorphosa et ont raconta rapidement que d’autres continents s’étaient joint à notre univers déjà existant. Je ne sais aucunement comment ce fut possible… Mais ce qui m’interloqua vraiment dans l’année à venir, c’est qu’on parlait de cristaux apte de réaliser des vœux, n’importe quel vœu, si nous parvenions à les réunir. En entendant parler de ces rumeurs, aussi grotesques soient-elles, j’ai décidé de partir de la maison. Oui, j’ai abandonné notre mère. Mais que je sache, c’est ce qu’elle a toujours voulu. Elle nous a abandonné aussi. Et peut-être que si elle n’avait pas été aussi égoïste, tu ne serais pas mort. Tu ne serais pas parti loin de moi.

Dans mes voyages, j’ai visité une section du monde qui s’appelait Dol. C’est un monde très technologique, je ne pense pas que tu aurais aimé, toi qui préfères la nature et toutes ces choses. Mon voyage m’a conduit jusqu’à un endroit qu’ils ont appelés Trabia. La neige y est abondante… Je suis certaine que tu aurais aimé cette zone-là. La blancheur de la neige y est vraiment incroyable. Il y a aussi un établissement qu’ils appellent une université, un système que je ne connaissais pas. Ces nouveaux mondes sont vraiment extraordinaires. Il y a tant de choses à découvrir… J’aurais tant voulu les découvrir avec toi.

Nous reviendrons, ensemble. Lorsque j’aurai retrouvé les cristaux… Je te ferai revenir. Je suis certaine de pouvoir le faire. Je ne sais pas quand, comment, où. Je ne sais pas par où commencer les recherches. Mais un jour je les trouverai, et ce jour-là, tu reviendras. Tu es mort trop injustement, ton heure n’était pas arrivée. Tu n’avais pas le droit de partir, pas le choix… Je vais rectifier ça. Et je te montrerai la neige. Lorsque tu reviendras, Itsuki… Je te montrerai la neige, je te le promet.

Suri.


Et pour finir...

Quelques questions vous concernant:
• Votre vrai prénom dans la vraie vie ? : Ishtar.
• Votre âge ? : 20 ans.
• Comment avez-vous connu FF Rebirth ? : Je suis Runeon.
• Avez-vous lu toutes les règles ? Y a t'il des choses que vous n'avez pas comprises ? : Non, depuis le temps, tout va bien et tout est comprit !


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