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Lily Hunter

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Nexus

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Nexus
Fiches du joueur :
[url=lien_fiche]Lily Hunter 13060703354916241211269335[/url] [url=lien_techniques]Lily Hunter 13060703354916241211269334[/url]

Niveau : 1
HP : 500/500
MP : 10/10

Tableau d'évolution
MessageSujet: Lily Hunter Lily Hunter EmptyMar 20 Avr - 21:36

Fiche d'identité

• Monde d'origine : Gaïa
• Nom : Hunter
• Prénom : Lily
• Âge : 21 ans
• Avatar utilisé : Kirito (GGO) / Sword Art Online 2

Description

Lash
• Description physique : Je n’ai pas pour habitude de me décrire moi-même mais bon, puisqu’il le faut… Voyons voir… J’ai donc vingt-et-un an et je mesure un mètre soixante-cinq. C’est peu me direz-vous pour tenter sa chance en tant que soldat. Fort heureusement, la détermination prime sur la petitesse. Mon poids plume – cinquante trois kilogrammes – s’avère également un atout de taille puisque cela rend mes déplacements bien plus aisés que n’importe quel officier masculin, tous davantage plus musclés que je ne le suis. Cela ne m’a pas découragée pour autant : ma force réside essentiellement dans mon caractère et non dans mon physique. Nous en reparlerons plus tard. J’ai un visage plutôt fin et de longs cheveux bruns tombent jusqu’au niveau de mon bassin, encadrant mon visage bien qu’une mèche se tienne au milieu de mon front et de mes yeux. La couleur de ceux-ci s’avère gris, virant parfois au pourpre selon la luminosité. Ils n’arborent pas la teinte bleu Mako si distinctive des membres du SOLDAT pour la simple et bonne raison que je n’en ai jamais fait parti : mon corps n’aurait pas supporté la dose minimum requise pour intégrer cette section. Ce fut un coup dur, certes, mais je n’étais pas la seule et pour les soldats tels que nous, il nous était possible de rejoindre les rangs d’une autre faction à l’époque : le Département de Sécurité. Alors cela ne m’a jamais vraiment dérangé.

En ce qui concerne ma tenue, je pense qu’elle rentre dans les cases de l’uniforme de travail. La Néo-ShinRa est bien moins stricte sur le style vestimentaire de ses employés, notamment parce qu’elle n’impose plus l’uniforme obligatoire tel qu’il existait auparavant. J’ai donc pu opter pour une tenue qui me correspondait, tout en offrant des caractéristiques esthétiques plus professionnelles. Ainsi, le haut se compose d’un débardeur noir camouflé par un plastron gris qui épouse mes formes féminines et me protège le torse. Je dispose également d’une veste noire dont les manches sont retroussées au niveau des avant-bras. Des rayures blanches dessinent les contours et suivent les manches jusqu’aux extrémités. Le col dispose de deux boutons-pression que je peux refermer si besoin. Toutefois, je préfère laisser la veste ouverte car elle m’offre plus de confort ainsi. Elle s’avère un peu courte donc cela n’est pas très utile de la fermer. Pour ce qui est du bas de ma tenue, je porte un pantalon noir bouffant militaire qui me remonte assez haut au niveau du ventre. Par-dessus se trouve une sorte de demi-jupe qui sert essentiellement à me couvrir des éléments naturels comme le vent ou encore la pluie. Ce bout de vêtement est accroché par une ceinture autour de ma taille, ceinture qui me sert également à accrocher mes deux armes.

Parlons à présent de mon équipement et de mes accessoires. Sur ces deux points, je n’ai jamais vraiment cherché à me démarquer des autres : aucun bijou, de simples mitaines… Rien d’extravagant, en somme. Après tout, je ne suis pas là pour faire un défilé de mode mais pour exécuter les ordres que mon travail m’impose. Le seul détail qui pourrait valoir la peine d’être mentionné, c’est ce morceau d’améthyste serti dans ma ceinture, qui rappelle ainsi la couleur de mes yeux et celle de mon sabre. Celui-ci peut d’ailleurs s’avérer surprenant car peu de soldats en font l’usage. A vrai dire, la Néo-ShinRa s’est fortement inspirée de la technologie développée par la ShinRa peu avant sa destruction pour fabriquer cette arme. Il s’agit d’un alliage de métal pour la garde avec à son extrémité une ouverture qui, lorsque le sabre est allumé, génère une lame d’énergie essentiellement composée de photons. Toutefois, son activation consomme énormément de batterie, ce qui m’oblige à porter une arme de secours. C’est pourquoi je dispose également d’une arme à feu, un semi-automatique d’une capacité de vingt balles par cartouche. Tout ceci n’a rien de féminin, certes, mais je n’en ai cure.

• Description psychologique : C’est là que ça coince. Etant donné que je travaille pour la Néo-ShinRa, on s’attend de moi à ce que je sois un être sans cœur, qui ne pense qu’aux effusions de sang et à la domination du monde. En fait, j’ai un caractère plutôt bien trempé, certes. Ma détermination est telle que je suis capable de faire n’importe quoi pour arriver à mes fins. Ma mère m’a dit que je tenais ça de mon grand-père, et cela m’en rend encore plus fière. Pourtant, l’on pourrait également me qualifier de têtue. Il faut dire que la différence avec la détermination est assez mince, quand on y pense. Il est vrai que lorsque j’ai une idée qui me trotte derrière la tête, il est nécessaire que j’aille jusqu’au bout pour m’en défaire. Sinon, cela deviendra rapidement une obsession, et tout le monde sait comment cela tourne quand quelque chose vous obsède. Bref. C’est donc cette détermination qui peut faire de moi une personne redoutable car je suis vraiment prête à tout. Ajoutez à cela mes sentiments et cela peut devenir dévastateur, à la fois pour les autres comme pour moi-même. J’ai failli me perdre dans les méandres de la vengeance par le passé, à cause d’un événement personnel qui m’a bouleversée. Il faut dire que je tiens énormément à ma famille. Elle est tout pour moi. Mais bref, je ne vais pas m’étaler sur ce sujet ici.

Tout cela mis à part, je pense pouvoir dire que je suis une femme ordinaire, sympathique parfois. Même si je n’ai jamais vraiment eu d’amis au court de ma vie, je n’ai jamais cessé d’être souriante quand il le fallait. Je suis d’une nature très généreuse envers les gens que j’aime, surtout envers ma petite sœur. C’est sans doute la seule personne qui me connait vraiment, et avec qui je peux être entièrement moi-même. Elle pourra d’ailleurs vous le confirmer : toute notre enfance, je n’ai pas cessé de veiller sur elle et de la soutenir dans ce qu’elle faisait. Cela, je pense que je suis capable de le faire pour d’autres personnes, pour peu que mes sentiments soient assez forts envers elles. Car bien évidemment, j’essaie de ne pas être naïve. Mon père m’a toujours enseigné de garder la tête sur les épaules et de croire en mes convictions. En cela, j’ai toujours essayé de rester sur mes gardes et de ne pas attribuer ma confiance aux mauvaises personnes. Malheureusement, je me suis laissée berner par la ShinRa à un moment de ma vie très important. Je crois que cette rage qui m’animait à cette époque m’a fait donner ma confiance à la mauvaise personne. Et lorsqu’un sentiment et aussi fort, vous avez du mal à vous en défaire, à accepter la réalité. C’est pourquoi j’ai si facilement été vers la ShinRa et que j’ai fermé les yeux sur certaines rumeurs à son égard. Ou peut-être ne voulais-je tout simplement pas y faire face…

D’une manière plus générale, je suis adroite de mes mains. On peut dire que je n’ai pas les deux pieds dans le même sabot en ce qui concerne le travail. Mes années d’adolescence à tenir le bar avec mon père m’ont permis de consolider cela et de me donner confiance en moi. Bien sûr, il m’arrive parfois encore d’avoir peur de l’échec, mais je ne l’ai jamais laissé me tétaniser. Je suis le genre de personne qui pense qu’il y a un temps pour chaque chose : il y a un temps pour avoir peur et un temps pour agir. Et dans le monde du travail, il n’y a de la place que pour l’un d’entre eux. En revanche, en ce qui concerne mes relations sentimentales, je ne suis pas vraiment très douée. Comme je l’ai dit précédemment, je n’ai jamais vraiment eu de véritable ami, et encore moins de petit-ami. Il m’arrive donc d’être maladroite dans ce domaine. Surtout quand les choses deviennent sérieuses et confuses. C’est sans doute la partie de ma personnalité que je déteste le plus car elle me fait douter de moi-même, elle me rend vulnérable. C’est pourtant humain de réagir comme cela mais le fait de n’avoir aucune emprise sur cela, ça m’agace facilement… Autrement, je crois avoir fait le tour sur ce dont vous avez besoin de connaître sur moi.

Histoire


Quand j’y pense, je me demande comment j’ai fait pour en arriver là où j’en suis aujourd’hui… A priori, rien ne me destinait à exercer ce métier et pourtant, les événements de la vie ont rendu cela possible. A moins que ce ne soit une succession de mauvais choix ? Mais bons ou mauvais, je n’avais pas la sensation d’avoir d’autres options à l’époque. Mmh, vous vous demandez sans doute de quoi diable suis-je en train de parler, n’est-ce pas ? Recommençons depuis le début, à cette époque où tout allait encore pour le mieux. Mon histoire commence à Midgar, dans les taudis du Secteur 5. Oui, je n’ai pas eu la « chance » d’habiter sur la plaque supérieure mais c’est quelque chose que je n’ai jamais envié non plus. Mes parents avaient tout de même un travail mais le salaire était bien trop insuffisant pour se faire une place là-haut. Mon père était barman dans un établissement du Wall Market au secteur 6 tandis que ma mère était infirmière dans une petite clinique de fortune de notre secteur. Ses études avaient été financées par ses propres parents avant qu’ils ne meurent dans un accident de voiture. Je ne les ai jamais connus mais ma mère m’assure que je tiens ma détermination de mon grand-père : comme lui, je ferai n’importe quoi pour ma famille.

Ma mère travaillait donc dans une petite clinique du secteur 5 et c’est également là-bas qu’elle accoucha de ses deux filles. L’aînée – moi – fut nommée Lily tandis que ma cadette Amy naquit trois années plus tard. Nous étions toutes les deux aimées et nos parents faisaient toujours en sorte que nous n’ayons jamais faim ou soif. La vie dans les taudis s’avérait bien sûr difficile parfois mais il y avait entre les habitants une certaine entraide. En somme, nous étions un peu comme une grande famille puisque chacun se connaissait. Etant donné que ma mère travaillait dans le même secteur que notre lieu de vie, nous la voyions plus souvent que mon père, qui lui devait tous les jours se rendre à pied au Wall Market, dans le secteur voisin. Afin de ramener le plus d’argent à la maison, il travaillait jusque tard le soir et rares étaient les fois où nous pouvions le voir lorsqu’on était petites filles. Ce ne fut que lorsque j’étais en âge de me déplacer toute seule hors du secteur 5 que j’allais souvent le voir sur son lieu de travail. Vers mes douze ans, juste après l’école, je déposais ma petite sœur chez moi avant de filer à toute allure au bar où travaillait mon père. Il n’aimait pas vraiment ça à cause des monstres qu’il y avait sur la route mais en quelque sorte, me voir voulait dire qu’il ne m’était rien arrivé sur la route, et c’était sûrement plus rassurant pour lui.

Son bar n’était pas très chaleureux mais c’était un endroit dans lequel j’appréciais passer du temps. Etant donné que ma mère s’occupait de la petite clinique, elle n’avait pas le temps de s’occuper vraiment de ma sœur et moi. Surtout, elle ne voulait pas de nous dans ses pattes car cela la dérangeait dans son travail. Du coup, c’était plus simple d’aller voir mon père et de m’occuper là-bas. Très vite, quand ma petite sœur fut assez courageuse pour faire la route avec moi, elle m’accompagna tous les jours de la semaine. Les habitués du bar nous connaissaient mais jamais nous nous faisons remarquer de trop car nous ne voulions surtout pas que mon père en subisse les conséquences. Il n’était pas le patron et, bien que celui-ci n’ait jamais eu rien contre notre présence dans son bar, mon père ne souhaitait pas que cela influe sur le business. Quoi qu’il en soit, il y avait une scène dans le fond de la pièce et ma sœur adorait y monter, sachant qu’aucun des clients ne s’y rendaient. Elle adorait y chanter et se prendre pour une star, ce qui amusait beaucoup certains habitués. Elle avait une voix vraiment belle pour une fille de son âge et cela me rendait toujours joyeuse de l’entendre. J’avais même l’espoir que son talent puisse être son billet de sortie pour vivre une vie meilleure en dehors des taudis.

Vers l’âge de seize ans, un poste de barman se libéra au bar de mon père. Visiblement, celle qui occupait auparavant venait de finir ses études et n’avait plus besoin de travailler au Wall Market pour les financer. Je me souviens d’elle : c’était une jolie blonde qui coiffait ses cheveux avec une couette haute sur le côté gauche. Elle était toujours habillée en tenue d’écolière, aussi. A chaque fois que je la voyais, j’étais un peu jalouse car sa tenue était celle d’une école de la ville supérieure – de l’académie militaire de la ShinRa pour être exacte, mais je l’ignorais à l’époque. Nous n’avions pas ce genre d’établissement dans les taudis, loin de là. C’était souvent des adultes éduqués qui enseignaient aux plus jeunes. Heureusement que nous avions quelques livres pour nous instruire davantage. Quoi qu’il en soit, je crois me souvenir du nom de cette fille… Une certaine Elena, il me semble. Très gentille, elle était toujours prête à écouter et discuter avec les clients. Mais elle avait un but dans la vie et ce n’était pas de travailler dans un bar jusqu’à ses vieux jours. Non, il y avait une histoire avec sa sœur ainée et une organisation de la ShinRa mais à l’époque, je n’y avais pas vraiment prêté attention. Je crois me souvenir que mon père m’en avait raconté davantage, que la sœur d’Elena était membre des Turks mais il ne m’en avait pas dit plus. Il faut dire qu’Elena ne s’était pas montrée réellement bavarde sur le sujet.

Bref, son départ avait donc laissé une place vacante au bar et comme j’avais seize ans à cette époque, j’avais décidé de proposer mes services. Cela allait m’être utile de gagner un peu d’argent de poche, ne serait-ce que pour aider financièrement mes parents mais aussi pour préparer mon entrée future dans la vie d’adulte. Je regardais souvent la plaque au-dessus de nous avec des rêves plein la tête, dont celui de voir le ciel bleu au moins une fois dans ma vie sans avoir à le partager avec cette maudite plaque. Alors je me donnais à fond dans ce que je faisais pour aider au maximum le business du bar. Je prenais même de mon temps libre pour essayer d’organiser des évènements comme des soirées karaoké notamment, afin d’attirer une nouvelle clientèle. Bon, cela n’eut pas le succès escompté mais j’avais au moins le mérite d’avoir essayé… C’était donc ma sœur qui, parfois, s’occupait de donner quelques petits concerts gratuits aux habitués du bar. Mais malheureusement, il y avait de moins en moins de clients avec le temps, si bien que le patron avait du mal à s’occuper de deux employés. Naturellement, je ne voulais pas voir mon père sans travail, donc je démissionnai à l’âge de dix-huit ans. Toutefois, je refusais de retourner à la maison et de ne rien faire de mes journées. Je restais donc au Wall Market et passa quelques temps à la salle de gym.

L’ambiance de ce lieu était assez particulière, dans le sens où il n’y avait que des hommes bodybuildés déguisés en… femme. Je n’avais rien contre leur mode de vie mais je devais admettre que cela m’avait surpris au début car je ne m’attendais pas à tomber sur un lieu comme celui-là. Pourtant, le Wall Market était réputé pour ses activités douteuses… Mais voilà, j’avais envie d’occuper mes journées et, surtout, de me défouler. Fougueuse de nature, j’avais besoin de dépenser mon trop-plein d’énergie et quoi de mieux pour cela que de faire du sport ? Avec l’argent que j’avais accumulé ces deux dernières années, je m’étais pris quelques leçons de boxe auprès d’un membre du club et rapidement, je pris goût à ce nouveau sport. Il faut dire que j’étais un peu un vrai garçon manqué sur certaines choses, contrairement à Amy. C’était plus un moyen pour moi de me défendre contre des monstres voire des hommes mal intentionnés. Au bout d’un an, je n’étais bien sûr pas une experte dans la pratique mais mon niveau était bien plus que suffisant. A dix-huit ans à peine, il était maintenant temps pour moi d’essayer de voler de mes propres ailes. Avec le restant de mes petites économies, j’avais pris un billet de train pour me rendre sur la plaque supérieure et tenter ma chance là-haut…

Coïncidence, destin, fatalité… Appelez cela comme vous voudrez mais le jour de mon départ des taudis, un accident tragique se produisit au secteur 7. Un meurtre, à mes yeux. Ni plus ni moins. Il arrivait souvent que mon père si rende en tant que coursier pour son patron afin d’aller chercher des provisions. C’était le cas ce jour-là, sauf que j’aurais préféré que ça ne le soit pas. Alors que je m’apprêtais à monter à bord du train, une puissante explosion retentit au loin puis, semblable à la fin du monde, une partie de la plaque supérieure s’effondra sur les taudis du secteur 7, alors même que mon père s’y trouvait… Abasourdie, j’étais naturellement revenue chez moi pour m’assurer que ma sœur et mes parents allaient bien. Hélas, mon père n’était pas à la maison, il n’était pas encore revenu du travail. Je sentais la panique monter en moi peu à peu mais il fallait que je garde mon sang-froid. Du moins, devant ma sœur. De plus, rien ne nous disait que mon père n’allait pas bien. Le plus simple était encore de me rendre sur son lieu de travail pour le vérifier par moi-même, ce que je fis donc.

C’était la panique dans les taudis, les gens couraient dans tous les sens et craignaient de mourir écrasés à leur tour. En arrivant au niveau du parc de jeu, aux portes du secteur 7, je devais avouer que ce que je voyais m’effrayait. La fumée se dégageait des décombres encore brûlant et dirigeait mon regard vers le ciel. Ce ciel si bleu dont j’avais rêvé toute ma vie et qui tristement se teintait de gris. Quelques rescapés pleuraient non loin de moi. Les poings serrés, j’avais repris la route vers le Wall Market. Une fois au bar, mes craintes s’estompèrent pour devenir réalité : le patron avait envoyé mon père au secteur 7 au moment du drame. Mon cœur battait plus vite, mes dents se serraient tellement que cela me faisait mal, et pourtant… Cette douleur physique n’était rien comparée à celle que je ressentais au fond de mon cœur. C’était comme si une partie de moi-même s’était envolée à jamais. Je retenais les larmes en retournant à reculons vers le parc, avant de finalement craquer complètement face aux ruines qui se trouvaient devant mes yeux. Je cédais totalement aux émotions qui me submergeaient, sachant pertinemment que j’allais devoir apporter la terrible nouvelle à ma sœur et ma mère. Ma pauvre mère…

C’est étrange comme la mort soudaine d’un proche vous transporte vers différents états d’esprit. Les quelques jours qui suivirent le drame, je m’étais dans un premier temps isolée dans mon coin avant de finalement désirer connaître les raisons de cet accident. Un violent sentiment de justice m’envahissait et je souhaitais venger la mort de mon père. Les informations diffusées à la télévision faisaient mention d’un groupe de terroristes appelé AVALANCHE et qui seraient les responsables de la destruction du secteur 7. Aveuglée par le désir de vengeance, sans me douter une seule seconde que ces informations fausses avaient été montées de toutes pièces par la ShinRa, mon choix était fait : j’allais rejoindre le SOLDAT et mettre toutes les chances de mon côté pour avoir un jour la chance de les faire payer. Ne vous avais-je pas dit que ma détermination était sans faille lorsqu’il s’agissait de ma famille ? On pourrait aussi dire que je suis têtue comme une mule et lorsque j’ai une idée derrière la tête, il est presque impossible de m’en détourner. Ainsi, à peine quelques jours après l’accident, je pris le train vers la plaque supérieure et alla me présenter au bâtiment ShinRa, au centre de Midgar. Les enrôlements dans le SOLDAT s’avéraient libres mais des tests sanguins étaient tout de même nécessaires, afin de voir si vous aviez le potentiel requis pour prétendre recevoir l’injection de Mako si populaire chez ces SOLDATs.

Les résultats me furent transmis rapidement : mon corps n’était malheureusement pas compatible avec la Mako et n’aurait pas supporté ce corps étranger dans mon organisme. Malgré une certaine déception, il existait d’autres moyens d’être officier dans le corps militaire de la ShinRa. Ainsi, comme la plupart des refoulés à l’entrée du SOLDAT, je choisis d’intégrer le Département de Sécurité. Il fut difficile dans les premiers temps de me faire accepter à ma juste valeur auprès de mes collègues, du fait que je sois une femme. Et pourtant, mes entrainements de boxe me permirent de leur démontrer ce que j’étais capable de faire et de me faire respecter par la même occasion. Là où c’était le plus difficile, c’était vis-à-vis des membres du SOLDAT. Mon corps n’était peut-être pas capable de supporter la Mako mais je ne souhaitais pas me laisser rabaisser par cette bande d’assistés. Ma force, je la devais à ma seule détermination et mon maintien physique. Pas à une piqûre de substance douteuse dans la cuisse. Je consacrai donc ma vie à l’entrainement et aux missions que l’on m’assignait, dans l’espoir de trouver un jour ces membres d’AVALANCHE et de les tuer de mes propres mains.

Ce genre de pensée me traversait constamment l’esprit et pourtant, je n’avais encore jamais ôté la vie de quelqu’un. Je ne suis pas le genre de personne que l’on aurait pu penser en être capable mais parfois, vos sentiments vous poussent à faire des choses que vous regretterez et qui vous suivront tout au long de votre vie. Il est clair que le décès de mon père transforma mon caractère. J’étais davantage fermée aux autres sur le plan sentimental et mon jugement s’avérait obscurcit par la haine et le désir de vengeance. Je n’acceptais tout simplement pas sa mort. Et pourtant, aucune mission ne parvint à me rapprocher de mon objectif initial. AVALANCHE ne semblait plus aussi actif qu’autrefois. L’apparition du Météore dans le ciel eut pour moi l’effet d’un petit électrochoc. Lorsque Midgar tout entier fut menacé de destruction, le Département de Sécurité fut chargé d’évacuer les civils. Retrouver ma mère et ma sœur fut donc bénéfique pour moi car cela me rappela que malgré la perte de mon père, il me restait encore des personnes que j’aimais et que celles-ci avaient besoin de moi. Je mis donc tout en œuvre pour les mettre en lieu sûr, allant même jusqu’à les escorter personnellement à Kalm. Il faut dire que dans les derniers instants avant la chute, je n’avais que faire de penser à mes obligations en tant qu’officier de la ShinRa. Je voulais simplement protéger ma famille. C’était un tel chaos que la ShinRa ne s’en était même pas rendue compte. Finalement, la Rivière de la Vie jaillit de la surface de Gaïa pour détruire le Météore qui la menaçait.

Durant cet événement chaotique, la ville de Midgar fut considérablement endommagée. Même si certains secteurs possédaient encore des maisons debout, qui aurait voulu reconstruire sa vie là-bas, au milieu de toutes ces ruines ? Pour moi, ce lieu représentait tant de souvenirs, bons comme mauvais, que je préférais les laisser là où ils étaient et faire ma vie dans un autre lieu. Qui plus est, la ShinRa fut fortement touchée dans tout ça. Son siège social était parti en lambeau, ses réacteurs principaux complètement détruits et son organisation interne démantelée. Au final, on pouvait dire que la ShinRa n’existait plus, bien qu’aucun ne savait vraiment quoi en penser. Moi-même, j’ignorais si j’en faisais encore partie ou non. J’ignorais encore tout des véritables agissements de cette organisation. J’ignorais encore qu’elle était en réalité la responsable de la mort de mon père, par exemple. Mais il était difficile d’avoir accès à ce genre d’information et au final, je n’aimais pas trop écouter les rumeurs. Cela ne faisait qu’embrouiller mon esprit. Non, pour l’heure, je voulais me concentrer sur la recherche d’un nouveau foyer pour ma famille.

Les semaines qui suivirent la chute du Météore furent éprouvantes pour tous les habitants de Midgar. Beaucoup souhaitait reconstruire leur foyer parmi les débris présents, tout comme ma mère et ma sœur. Cette idée ne m’enchantait pas beaucoup mais je ne voulais plus les quitter, du moins, pas aussi tôt. Alors je les suivi dans leur démarche et les aidai dans la construction d’une maison de fortune, avec quelques morceaux de taules et de draps. Au final, cela ne nous changeait pas vraiment des taudis, bien que nous manquions cruellement d’électricité et d’eau. Il y en avait par endroit, mais pour tous ces rescapés, c’était loin d’être suffisant. Mais petit à petit, les choses s’organisèrent pour permettre de trouver un certain équilibre dans la reconstruction de Midgar. Cela allait prendre du temps mais rien n’était impossible. Du moins, c’est ce que les gens pensaient à ce moment-là. Mais lorsqu’un nouvel événement mondial se produisit, le doute s’installa à nouveau.

En effet, la population commença à se rendre compte que les Matérias perdaient leur pouvoir, comme si la Mako dont elles étaient extraites avait disparu. Je ne pouvais moi-même plus en faire usage. Très vite, des rumeurs coururent les rues en prétendant que la Rivière de la Vie ne coulait plus sous nos pieds, et d’autres – venant de Junon – que des continents inconnus étaient apparus à l’horizon. Tout ceci était étrange et un nouveau vent de panique souffla sur Gaïa, avant que les choses ne finissent par s’éclaircir d’elles-mêmes. Il semblait que de nouvelles contrées soient effectivement apparues au large des côtes et finalement, Junon décida d’envoyer quelques navires en éclaireur. Très vite, la population fut mise au courant : il semblerait qu’une fusion de plusieurs mondes ait eu lieu. Pourquoi ? Comment ? Par qui ? Nul ne le savait. Une chose était sûre : des gemmes avaient remplacé le pouvoir des Matérias. Bien que je ne me considérasse plus officier ShinRa, je m’en étais procuré deux pour avoir de quoi me défendre. En effet, ces petites pierres pouvaient libérer de la magie pour leur utilisateur. Pratique.

J’entrais dans l’année de mes vingt ans lorsque l’annonce d’une nouvelle organisation émergea. La ShinRa venait de renaître de ses cendres mais arborait dorénavant le nom de Néo-ShinRa. Habile. Un nouveau moyen de produire de l’électricité fut mis à la disposition du peuple de Gaïa, plusieurs mois après la fusion de ce nouveau monde que les gens appelaient « Héméra ». Grâce à une collaboration entre la Néo-ShinRa et le gouvernement de Gaïa, des stations hydrauliques furent construites pour permettre à la population d’avoir accès à nouveau à l’électricité. Bien qu’il fût difficile d’en avoir à Midgar, encore bien trop endommagée par l’attaque, ses alentours captaient des chaînes de télévision, comme à Kalm par exemple. C’est là-bas, lors d’un voyage pour ramener quelques vivres à ma mère et ma sœur, que je fus mise au courant de certains événements récents grâce aux informations. Ainsi, certains personnes auparavant morte revenaient à la vie via un endroit sur Spira appelé « l'Au-Delà ». Pendant un instant, l'idée que mon père pouvait revenir d'entre les morts me parcourut l'esprit, mais très vite, je chassai l'idée qui ne m'apporterait que de la tristesse et du regret. J’appris également d’autres choses diverses, comme la présence de cristaux de pouvoirs qui attiraient la convoitise de certains. Tout cela me fit prendre conscience que je m’étais trop longtemps éloigné du reste du monde. Ainsi, je m’étais fixé de me rendre plusieurs fois par semaine à Kalm afin de me tenir au courant des événements d’Héméra.

Les travaux à Midgar avançaient lentement mais sûrement. Ma mère se chargeait toujours d’occuper son rôle d’infirmière mais donnait également un coup de main dans les réparations. Ma sœur, maintenant une jeune femme de dix-sept ans, aidait également mais souhaitait aussi tenter sa chance dans le domaine de la chanson. Longtemps restée aux côtés de ma mère, elle éprouvait plus de difficultés à la laisser que je n’en avais eues. Pourtant, cette dernière lui avait fait comprendre qu’elle saurait se débrouiller seule. A la fois soulagée et anxieuse, Amy pouvait donc quitter les ruines de Midgar pour tenter sa carrière de chanteuse dans une autre ville. Malheureusement, aucune cité de Gaïa n’aurait su l’accueillir comme il se devait. Finalement, Héméra était une formidable occasion d’explorer d’autres horizons. Naturellement, je m’étais proposé de l’accompagner dans son voyage pour m’assurer que tout se passe bien. Elle était peut-être grande maintenant mais je ne voulais pas qu’il lui arrive quelque chose. Pas après tout ce que nous avions vécu. Nous nous étions rendues dans un premier temps à Junon car c’était là-bas que nous allions avoir plus de chance de trouver les réponses à nos questions. C’est ainsi que nous entendîmes parler d’une ville dans la région de Dol : Deling City. Le voyage jusque là-bas s’avérerait plutôt long mais Amy semblait vraiment vouloir s’y rendre.

Nous mirent donc plusieurs jours à nous rendre sur le continent de Galbadia, où se trouvait la fameuse cité. L’homme qui nous avait renseignées à Junon – originaire de Dol – avait fait mention d’une célèbre chanteuse qui y avait vécu, une certaine Julia. Amy pensait donc avoir toutes ses chances de faire carrière là-bas. Nous arrivâmes à Deling City par le train assez rapidement tout de même, et la première chose qui nous frappa était de voir qu’il faisait constamment nuit là-bas. En somme, cela nous rappelait un peu notre vie dans les taudis de Midgar, à la différence qu’ici, il y avait beaucoup de verdure. Nous nous mîmes donc en quête d’un endroit où elle pourrait proposer de chanter en public. Un bar, donc. Il y avait bien cet hôtel qui faisait également office de bar dans son étage inférieur. L’intérieur était luxueux et la clientèle très riche. Si Amy s’enquit de savoir si elle pouvait chanter auprès du barman, je m’étais pour ma part assise au comptoir. Un homme un peu saoul à côté de moi m’adressa la parole. D’une voix basse, il m’avoua son attirance pour mon physique avant de me demander d’où je venais. Ma réponse semblait lui plaire puisqu’il proposa de me dévoiler un secret. Je me laissais prendre au jeu, ne voulons pas faire de scène en attendant des nouvelles d’Amy. J’appris ainsi qu’une organisation s’était installée dans les sous-sols de la ville. Et ce n’était autre que la Néo-ShinRa.

Si cet homme en savait autant à son sujet, c’est parce qu’il en faisait tout simplement parti. Ce n’était qu’un soldat chargé de la sécurité, actuellement en repos. Savoir que je venais de Gaïa, ainsi que quelques verres d’alcool en trop, lui avait probablement suffit pour me parler de tout ça, dans l’espoir sans doute que je rejoigne leur cause. Il me proposa effectivement cela, même si au final, ce n’était pas vraiment à lui d’en décider. Si l’entrée dans la ShinRa s’avérait autrefois assez libre, les choses étaient différentes maintenant. Mais je devais avouer que rencontrer cette nouvelle organisation m’intéressait. Cette conversation avait ressuscité quelques vieux souvenirs et cette envie que j’avais eu autrefois de les rejoindre refit surface. Les choses ne se firent pas en un soir. Tout d’abord, je tenais à ce qu’Amy réussisse à s’installer ici. Ce bar semblait lui convenir et elle réussit à obtenir un entretien de chant pour se présenter sur scène certains soirs de la semaine. En contrepartie d’un petit salaire, elle possédait également une chambre dans l’hôtel. Elle n’avait donc plus besoin de moi dans les parages pour s’occuper. Je m’étais donc mise en quête de retrouver ce soldat et par la même occasion de tomber sur la base de cette Néo-ShinRa.

Je ne connaissais pas les égouts de la ville mais il ne fut pas difficile d’y accéder. En revanche, il n’y avait pas un chat dans ce dédale d’eau et de briques. Enfin, c’est ce que je croyais puisqu’au détour d’un croisement, je tombais nez-à-nez sur des soldats dont l’uniforme rappelait un peu celui des fantassins ShinRa. Quel soulagement. Ces hommes s’avéraient un peu hostile mais il me suffit de montrer mon badge d’appartenance au Département de Sécurité – que j’avais gardé tout ce temps – pour les apaiser un peu. Au final, je crois que c’est cela qui me permit d’avoir un rendez-vous dans les plus brefs délais avec l’un des supérieurs de cette nouvelle organisation, Helena Grieve. Au cours de cet entretien – d’embauche, car on peut dire que c’en était un – mon parcours au sein de la première ShinRa fut le sujet de la conversation, puis les objectifs de cette nouvelle organisation. Je leur avais également fait part des raisons de ma présence ici. Tout ce qu’il fut dit me convenait puisque ce que je voulais avant tout, c’était de retrouver du travail pour m’occuper. Les missions me manquaient et au fond de moi, la faible lueur de vengeance que je pensais éteinte se raviva à nouveau. Je fus donc embauchée très rapidement. On me donna un téléphone portable ainsi qu’un nouvel équipement. En plus de mon traditionnel pistolet, l’on m’offrit la possibilité de choisir une arme supplémentaire. Un sabre à photon, inspirée d’une technologie en cours de développement peu avant la chute de la ShinRa, m’intrigua fortement, aussi optais-je pour celui-ci.

Après quelques semaines sans vraiment faire grand-chose, on me confia quelques missions. Assez basiques pour débuter, mais cela me permit de me remettre dans le bain. On m’attribua également un coéquipier : son nom était Alvin et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il avait tout d’un beau parleur. Je ne voyais pas trop comment un homme comme lui avait réussi à se faire embaucher par la Néo-ShinRa mais très rapidement, je changeai d’avis en le voyant agir sur le terrain. Il était d’une efficacité déconcertante. Impossible de croire qu’il n’avait jamais fait ce métier auparavant. En fait, j’ignorais tout de lui, mais je suppose qu’avec le temps, nous allions nous ouvrir l’un à l’autre petit à petit. Même si au final, le contraire m’importait tout aussi peu. Quoi qu’il en soit, notre première mission ensemble fut de traquer une enfant, en possession de l’orbe de la lumière. La Néo-ShinRa souhaitait récupérer cet objet qui n’avait sans doute rien à faire entre les mains d’une gamine. Un pouvoir si dangereux ne devait pas être mis entre toutes les mains.

Cette mission nous rapprocha fatalement, sur le plan amical j’entends. Nous avons d’abord été à Junon, où vivait Alvin, puis nous nous sommes rendus au Wutai. Tout en exécutant notre mission, nous avons appris à nous connaître davantage, et une grande confiance mutuelle s’était installée entre nous. C’est surtout lorsque nous nous rendîmes à Alexandrie que la tournure de notre mission devint plus sérieuse, plus grave. Déjà, cela ne m’enchantait guère de devoir voler l’orbe à une pauvre enfant, quitte à en venir aux mains… Heureusement pour moi, Alvin était de mon avis aussi. Même si nous travaillions pour la Néo-ShinRa, il était impensable pour nous deux de commettre ce genre d’acte. Nous n'avons malheureusement pas pu passer l'épreuve d’Alexandre car au dernier moment, nous fûmes rappelé par la Néo-ShinRa à Deling City. De toute façon, nous devions faire notre rapport comme quoi nous avions perdu la trace de cet enfant...

Ce n’est qu’à notre retour au QG de la Néo-ShinRa, à Deling City, où Alvin me fit comprendre qui était réellement cette organisation. Après leur avoir d’abord donné notre orbe de la lumière, il me raconta ce que la ShinRa avait fait à l’époque – avant la fusion du monde – et notamment qu’elle était responsable de la destruction de la plaque au-dessus du secteur 7 de Midgar. Quelle claque dans la figure je venais de me prendre ! Et moi qui avais toujours blâmé AVALANCHE, je me sentais vraiment idiote d’avoir pu être aussi naïve… Finalement, Alvin et moi avions vraiment besoin de vacances pour nous remettre de cette mission, et c’est ainsi que nos chemins se sont séparés. Je crois qu’il est retourné à Costa Del Sol. Moi, j’ai retrouvé ma mère à Midgar, qui avait bien changé depuis le temps. La ville était de nouveau habitable grâce notamment à une course de chocobos qui avait amassé des dons pour la reconstruction. C’était une bonne chose, je pense… Ma mère me raconta brièvement ce qu’il s’était passé à Dollet pendant ma mission – il est vrai que nous avions été un peu coupés de la réalité – et d’autres petites choses. Tout en attendant la reprise de mon travail, je me questionnais sur mon avenir au sein de la Néo-ShinRa, et sur ce que je voulais vraiment désormais. Cette histoire de morts qui revenaient à la vie m'intriguait malgré tout et, au fond de moi, un peu d'espoir renaissait...

Et pour finir...


• Votre vrai prénom dans la vraie vie ? Guillaume
• Votre âge ? 28 ans
• Comment avez-vous connu FF Rebirth ? J'étais là il y a fort fort longtemps...  Lily Hunter 1f474
• Avez-vous lu toutes les règles ? Y a t'il des choses que vous n'avez pas comprises ? J'ai pris connaissance des modifications du système de combat, mais si j'ai des questions, je les poserai sur le tas Wink
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